En philosophie, c’est la guerre de tous contre tous.
Publié le 28/05/2015
Extrait du document
«
place dans les questions de l’au-delà c’est-à-dire les questions qui sont d’ordre
métaphysique comme dieu, la mort, la vie…
Car la raison humaine est très faible pour atteindre ces vérités.
Ensuite, devant la
religion, l’esprit critique et subjectif n’est pas permis l’obéissance triomphe.
C’est dire que dans certains domaines, les philosophes adhèrent en abolissant la
raison pour laisser place à la fois en outre, devant l’évidence, l’esprit critique ne
peut qu’accepter la vérité.
En se soumettant et d’adhérer avec les autres.
Car
l’esprit qui doute ne peut pas douter de son propre existence.
C’est ce qui fait
dire à Descartes : « je pense donc je suis ».
C’est à dire quel que soit notre esprit
critique et subjectif nous tombons tous d’accord sur notre existence.
C’est ainsi
que la diversité des philosophes fait leur force.
En effet, la critique et la
subjectivité font que les philosophes ont une démarche commune, ce qui les
diffère des autres connaissances.
Conclusion
Au terme de notre réflexion, nous pouvons dire que la démarche philosophique
est une activité basée sur la critique et la subjectivité, ce qui définit son vaste
champ de contradictoires.
Nous pouvons dire qu’en philosophie chacun a sa
vérité, sa manière de concevoir les choses d’où les philosophes ne sont jamais
d’accord sur un même point.
Ainsi, la philosophie a-t-elle toujours son aspect
contradictoire ? Tous.
»
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