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Dissertation philosophie : Sur quoi repose mon identité ?

Publié le 04/11/2017

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T ES 1 Dissertation philosophie : Problématique : Sur quoi repose mon identité ? D’un point de vue juridique, l’identité d’une personne est principalement basée sur son nom, son prénom, son sexe et ses caractéristiques physiques (taille, cheveux, yeux, empreintes digitales), sa date et son lieu de naissance, ses origines (parents, grands-parents…), son adresse de domiciliation, etc. La plupart de ces informations sont répertoriées sur la carte d’identité ou le passeport de l’individu. Toutefois, cette notion d’identité ne s’arrête pas à une simple définition légale. L’homme n’est pas seulement un citoyen répertorié dans un fichier national. Dès l’Antiquité, les philosophes se sont penchés sur cette notion, se demandant s’il existait ou pas une identité profonde, propre à chaque être humain. Aujourd’hui encore différentes visions de le l’identité subsistent : Kant (XVIIIe siècle) la relie à la nécessité de se rappeler de ses souvenirs, et d’avoir conscience de cette mémoire pour la relier en un centre : « je ». Certains comme Hume (XVIIIe siècle) la réfutent en s’appuyant sur tous les changements physiques et psychologiques, qui ne peuvent être compatibles avec un « moi » personnel, propre, stable et continu. C...

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« Tout d'abord, il est nécessaire de mettre en lien le rôle prédominant du corps qu'exerce celui-ci sur notre identité. L'identité est avant tout un principe qui repose sur le soi.

Pour beaucoup d'auteurs, le soi définit toutes les qualités, tous les attributs, les valeurs et les sentiments qu'une personne prend pour acquis.

Le soi peut être analysé comme un contenu (les caractéristiques qui font de nous une personne) et comme un processus (qui analyse l'information et s'inscrit dans la majorité de nos pensées, de nos sentiments et de nos gestes).

Le soi est très souvent assimilé à une conception psychanalytique, psychologique.

L'identité de soi se structure dans le rapport au corps propre.

Lorsque l'on l'on répond à la question « qui suis-je ? », on rapporte toujours le corps comme l'image de soi. Pourquoi cela ? Car le corps est ce qui peut être exhibé, ce qui peut être représenté et vue par les autres.

Pour savoir qui nous sommes, nous avons besoin de savoir ce que les autres personnes pensent de notre apparence. L 'acceptation ou le rejet du corps ont une influence sur la perception qu’une personne a d'elle.

L'adolescence est une période ou une personne souffre de complexes, d'un sentiment d'infériorité.

L’adolescent souvent, exprime un rejet vis à vis de son corps et donc cela influence sa vision qu'il a de lui-même.

Le corps peut se définir à la fois comme un sujet mais aussi un objet appartenant à la conscience.

Il y a donc relation entre la conscience et le personnage.

L'identité se traduit également par une continuité temporelle, une continuité dans l'espace.

Tout au long de notre vie, notre corps change, on passe de l'état de bébé à l'état de vieillard.

Le fonctionnement de nos cellules font que nous évoluons et que notre corps change.

Au final, nous sommes la même personne, même si les corps sont différents.

Notre corps est ainsi, ce qui permet de nous distinguer des autres..

L'identité repose donc sur des critères physiques.

La carte d'identité est par exemple, un marqueur de notre identité, elle nous inscrit dans une généalogie.

C'est un outil indispensable qui permet d'éviter toute usurpation de l'identité. Le corps est quelque chose d'essentielle permettant de construire l'identité de chacun.

C'est en ayant des apparences, physiques différents voir atypiques qu'on se distingue des autres.

Il influence notre perception de nous-mêmes.

Pour autant, la reconnaissance de l'autre est un élément fondamental dans la construction de notre propre identité.. »

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