Dissertation : Peut on penser sans préjugés
Publié le 18/11/2013
Extrait du document
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faire ou ce que nous ne sommes pas.
Le rêve peut se traduire comme une libération de notre
conscient mais aussi de notre moi-même submergé par des désirs que l’on ne peut réaliser.
En
effet, Descartes dans le Discours de la méthode (1637) prouve ce qui est dit plus haut.
De même que
désirer ou rêver, ce ne sont pas forcément des préjugés, on est influencé pour les désirs par l’envie de
réalisé cette chose, et par les rêves, par le subconscient qui est la liberté.
On peut aussi penser préjuger, par exemple imaginer ou vouloir quelque chose, cela reprend ce qui a
était dit au-dessus, on n’est pas conscient de ce que cela engendre.
Certain peuvent dire que préjuger
est une forme de penser, mais surtout, il faut reconnaître que c’est une forme imparfaite de pensée
puisque l’on est maitre de rien.
C’est là que l’on se rend compte qu’il y a quelque chose au-dessus du
conscient, l’inconscient nous dirigent et guide nos envies.
De même que préjuger n’est pas vraiment dans le sens ou quand on nous inculque des morales quand
nous sommes petits, n’avons pas un esprit assez développé pour avoir une vrai réflexion sur le sujet.
Avoir des préjugés revient à avoir des idées toutes faites sur des sujets que certains connaissent et
ayant pu avoir une mauvaise expérience ou appréhension et qui, hélas, se reporte sur nous, on ne peut
donc pas penser lorsque l’on préjuge.
On parle de préjuger, mais quel est l’essence même de celui-ci ? Pourquoi n’irait-on pas critiquer
justement, cette essence qui consiste à préjuger ?
En effet, on ne peut penser sans préjuger car c’est la première étape de la pensée.
Cependant, le mot penser s’affecte étroitement à la notion de juger, puisqu’à la base même, la
quintessence, quand on pense, on est directement ancré dans le jugement.
Par exemple, penser à tuer
quelqu’un, on pense de suite à l’immoralité de ce geste.
En effet, quand on pense, on est déjà dans le
jugement, on ne s’n’en rend pas compte puisque c’est notre comportement humain qui est comme ça.
On peut parler d’un automatisme du jugement puisqu’on ne le contrôle pas mais aussi, il se forme
automatiquement lorsqu’une pensée vient à nous.
S’en suit des que l’on débute à penser, en parallèle on a tendance à juger, mais qui dit juger dit
préjugés puisque ces deux notions sont intimement liés à la même base.
Le préjuger vient de la pensé,
la pensé vient du préjuger, et des lors que l’on pense, on juge et on entre dans la catégorie du préjugés.
L’imagination peut aussi jouer dans le rôle du préjuger dans le sens où il l’imagination est infini et que
les préjugés peuvent se crées dans notre imagination, c’est une source inépuisable de chose, d’objets,
d’invention de notre propre inconscient.
Comme dit plus haut, penser revient à juger et donc à préjuger.
En effet, penser est lié étroitement à la notion de juger, et par définition, préjuger.
On ne peut penser
sans préjuger car, toute pensé fondée, est à la base du préjugés.
Cependant, est ce que cela signifie-t-il que toute pensée consiste à préjugé ?
En effet, si le préjugé est le point de base de la pensée, on peut se demander si la pensée, quel qu’elle
soit condamnée à toujours préjuger.
Le fait est que si le préjugé est le point de départ de la pensée,
alors on ne pourra jamais avoir un jugement objectif sur quelque chose, cependant, certaines
personnes, tout particulièrement les avocats arrivent à mettre les préjugés de côté et faire face aux
réelles situations importantes de la vie.
Ou alors, autre exemple, les personnes qui aident les autres
personnes plus démunis, dans des situations d’urgences, elles savent mettre les préjugés de côté pour.
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