Dissertation: N'avons nous de devoirs qu'envers autrui?
Publié le 27/04/2015
Extrait du document
«
créer des dangers inutiles.
La prudence est le gouvernement de la liberté par la raison.
Par exemple si
on traverse une route sans regarder, on se créer un danger inutile, on met sa vie en danger et on est
négligent.
La prudence aurait permis d’éviter ce danger.
Nous avons le devoir de dire la vérité.
Le mensonge est indigne, il faut donc être sincère et
franc.
Le corps est lié à l’esprit.
Il ne faut pas lui refuser tout ce qu’il demande ni assouvir toute ces
demandes.
Car c’est affaiblir l’esprit à travers le corps.
Par exemple donner une abondance de
nourriture a son corps, peut compromettre la santé.
Et ce n’est donc pas se respecter.
Mais il ne suffi pas de maintenir la personne morale, il faut l’améliorer.
L’homme doit
développer sa volonté et s’exercé constamment.
C’est par l’éducation de lui- même que l’homme est
grand.
L’homme doit donc se préoccuper de son intelligence en priorité.
Car c’est l’intelligence qui
nous permet de discerné le bien du mal, et la vérité du mensonge.
On ne peut pas changer l’esprit
qu’on a au départ mais on peut le fortifier, en l’exerçant.
La paresse est nuisible a l’esprit il ne faut pas
le laisser sans rien faire.
Il faut aussi entrainer ca liberté, en résistant a ses tentations par exemple ou
en ne fuyant pas aux luttes.
C’est ce qui permet à notre liberté de grandir.
Tant que l’homme conserve son intelligence et ses libertés, l’homme aura toujours la notion de
bien et c’elle du devoir avec.
L’homme a donc des devoirs envers lui-même, mais ce ne sont pas les seuls devoirs qu’il a.
II-Devoirs envers autrui
L’homme dépend toujours des autres hommes.
C’est pourquoi le premier devoir est de ne pas
faire de mal aux autres.
Plus généralement, les devoirs visent à ce que chaque homme contribue autant
qu’il le peut au bonheur d’autrui .
Nous devons la vérité aux autres comme je me la dois à moi-même, car la vérité est la loi de
la raison.
La vérité est le bien propre de l’intelligence, et c’est donc un devoir de respecter le
développement de l’esprit, de ne pas arrêter et même de favoriser sa marche vers la vérité.
Nous devons aussi respecter la liberté d’autrui.
Je n’ai pas le droit d’empêcher l’autre de faire
une faute.
La liberté est si sainte que, même lorsqu’elle s’éloigne du bon chemin, elle mérite encore
d’être préservée.
Nous devons respecter les affections des autres.
Et de toutes les affections il n’y en a pas de
plus saintes que celles de la famille.
L’amour des hommes est quelque chose de bien général.
La
famille, c’est presque encore l’individu et ce n’est pas seulement l’individu : elle ne nous demande que
d’aimer autant que nous-mêmes ce qui est presque nous-mêmes.
Elle attache les uns aux autres par des
liens doux et puissants, le père, la mère, le frère, la sœur.
Elle donne à ceux-ci un secours assuré dans
l’amour de ses parents, à ceux-là un espoir, une joie, une vie nouvelle dans leurs enfants.
Attenter au
droit conjugal ou paternel, c’est attenter à la personne dans ce qu’elle a de plus précieux..
»
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