dissertation,

« rassembler les phénomènes humains qui manifestent que l'homme n'est pas un être intégralement naturel, que parler une voir des langues être érudit être esthète se relier à dieu ne signifie pas forcement être bienveillant avec ses semblables et surtout avec les autres.

Et qu'ils nous faut quand même bine ici distinguer entre les différentes significations de l'humanité.

Car être humain signifie 3 choses, appartenir à l'espèce humaine bénéficier des facultés qui caractérises les hommes à savoir pouvoir parler, penser et se cultiver et enfin être bienveillant.

Pour autant que le langage nous dise que l'humanité signifie tout ceci n'est pas anodin : cela signifierait que tout homme se doit, si il veut être un homme de cultiver ses facultés spécialement humaines.

Ainsi un homme qui refuse de se conduire de manière bienveillante n'est précisément pas humain mais au contraire inhumain.

On comprend bien ici que seul l'homme peut se conduire de manière inhumaine ce qu'analyserons on particulier les philosophes des lumières de Rousseau quand il nous dit que l'homme seul être perfectible peut devenir le plus grand des imbéciles ou Kant par qui le devoir de tous hommes est d'apprendre à juger et à considérer « l'humanité en soit et chez les autres comme une fin et jamais simplement comme un moyen soit la formulation de l'impératif catégorique à savoir le commandement même de la moralité.

Aussi notre humanité c'est à dire l'épanouissement de nos facultés humaines dans toutes ses significations n'est telle pas spontané mais réclame au contraire l'effort constant des hommes pour dans leur humanité.

On comprend à partir de la que l'humanité n'est pas naturelle dans le sens ou elle n'est pas spontanée ou elle n'est pas un penchant même si le devoir de l’humanité de l'homme en temps qu'il possède les capacités humaines il tente de se conduire comme tel réclame qu'il tende vers elle.

On comprend du coup mieux le rôle que la culture peut jouer dans cette affaire.

Il s'agit d'abord de dialoguer plus tôt que d'avoir recours à la force.

Et a se titre on dit bien que le dialogue signifie la fin des combats au même titre que la guerre signifie l'échec du dialogue.

Mais le dialogue réclame une pleine reconnaissance de la personne d'autrui comme absolument nécessaire à la culture.

Socrate à se titre n'arrêtera jamais de nous dire que la vérité est inaccessible sans l'autre et qu'on ne sort de l'ignorance pas plus qu'on accède à la connaissance sans dialoguer avec l'autre.

A partir de la la culture ne peut vouloir signifier que l'ouverture à l'autrui comme condition irréductible à l'accès à notre humanité.

Et dès lors être cultiver ne peut vouloir signifier simplement accumuler des savoirs sans agir avec bienveillance envers les autres.

Bien au contraire nous ne pouvons être cultiver quand cultivant sans cesse notre humanité dans tous les sens du terme.

C'est à dire en prenant soin aussi bien des autres hommes que de nos propres facultés, possibilités.

C'est en effet le propre de la culture que de prendre soin même. Et c'est précisément cette volonté de signer qui peut quelque chose contre la violence.. »