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Devoir de philo Freud

Publié le 14/02/2013

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Le texte présenté ici, a été écrit par le psychanalyste Sigmund Freud. Le thème abordé est celui de la religion. Freud étudie le problème suivant : Existe-t-il une obligation fondée sur la croyance religieuse ? Sommes-nous obligés d’avoir la foi ou la raison suffit-elle à nous satisfaire ? Sa thèse est la suivante : « On peut réclamer de tous les hommes qu’ils se servent du don qu’ils possèdent, de la raison, mais on ne peut établir pour tous une obligation fondée sur un facteur qui n’existe que chez un très petit nombre d’entre eux. «   Freud ouvre son texte par une affirmation. De la ligne 3 à la ligne 4 il marque une limite. Puis de la ligne 4 à la ligne 8, il s’interroge et se pose diverses questions au sujet de l’instance de la raison, et de la vérité des doctrines religieuses. Il présente sa thèse de la ligne 8 à la ligne 10. Enfin, il conclut son texte par une interrogation, en se demandant quel intérêt à autrui, lorsque que l’Homme pense détenir la vérité réelle de sa propre doctrine religieuse. Dans un premier nous allons expliquer linéairement le texte, et dans un second temps nous rendrons compte du problème.   Ainsi, Freud ouvre son texte par une affirmation. Il affirme que les doctrines religieuses, qui sont l’ensemble des croyances, des opinions ou des principes d’une religion (c’est-à-dire le rapport de l’homme avec le sacré), ne sont pas liées aux exigences de la raison. Pour Freud, il existe une supériorité, il prétend que les doctrines religieuses sont supérieures à la raison. La raison qui est la faculté propre à l’Homme par laquelle il peut penser, avoir une réflexion. Il explique que la religion est liée à un sentiment intime, personnel et que les croyants obéissent sans se demander s’il existe une preuve objective, un élément rationnel. « Senti r « à la ligne 2 se distingue de « comprendre « ou de « connaitre «. Par ailleurs il faut penser la religion par le cœur et non pas par la raison ; la religion n’a rien de « cérébrale «, la religion à un caractère subjectif, contrairement à la raison.   A la ligne 3, les termes « seulement « et le restrictif « ne que « expriment une certaine limite. En effet la phrase « Seulement ce Credo n’est intéressant qu’à titre de confession individuelle « exprime une forme d&...
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« sont supérieures à la raison.

La raison qui est la faculté propre à l'Homme par laquelle il peut penser, avoir une réflexion.

Il explique que la religion est liée à un sentiment intime, personnel et que les croyants obéissent sans se demander s'il existe une preuve objective, un élément rationnel. « Senti r » à la ligne 2 se distingue de « comprendre » ou de « connaitre ».

Par ailleurs il faut penser la religion par le coeur et non pas par la raison ; la religion n'a rien de « cérébrale », la religion à un caractère subjectif, contrairement à la raison.   A la ligne 3, les termes « seulement » et le restrictif « ne que » expriment une certaine limite.

En effet la phrase « Seulement ce Credo n'est intéressant qu'à titre de confession individuelle » exprime une forme d'incrédulité à l'égard du croyant et de la valeur qu'il attribue à sa foi, la foi étant un engagement.

La « confession » est une déclaration publique que l'on fait de sa foi.

Le fait qu'elle soit « individuelle » signifie qu'elle ne concerne qu'une seule personne, ici l'individu qui à la foi.

C'est pourquoi Freud précise que ce credo, « en tant que décret, ne lie personne ».

Un décret est une décision imposée par une volonté supérieure.   Freud poursuit avec une question rhétorique, question à laquelle l'opinion commune connait déjà la réponse.

En se demandant « Puis-je être contraint de croire à toutes les absurdités ? », l'auteur se demande si une force supérieure peut contraindre l'homme à croire « toutes » les « absurdités » existantes ; il propose également une réflexion sur la foi.

Ajoutons que si dans la mesure où je ne suis pas contraint de croire aux « absurdités », Freud se demande alors pourquoi le serions-nous pour « celle-ci ».

Il met donc la religion sur le même plan que les absurdités, la religion serait d'après lui contraire à la raison, à la logique, car le terme « absurdités » est caractérisé par l'absence de sens préétabli, c'est un terme à connotation péjorative.

Par ailleurs, Freud veut montrer que les. »

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