Désirer, est-ce être condamné au malheur ?
Publié le 05/11/2009
Extrait du document
Le désir a plusieurs rôles : il peut nous rendre esclaves nous privant de notre liberté et de notre raison. Mais il peut également nous apporter du bonheur et nous porter vers notre fin.
Certains désirs relèvent de la soif des plaisirs, ils ne sont en aucun cas nécessaires pour la personne, voie même inutile au bon déroulement de sa vie. Le fait de désirer peut nous condamner à être malheureux car nos désirs sont peut-être impossibles à satisfaire et cette impossibilité ne cesse pas de nous troubler et est donc responsable de la déception des personnes.
La douleur est toujours un mal mais elle n'est pas toujours à rejeter car nous pouvons penser le bien comme un mal et le mal comme un bien.
Liens utiles
- Traité: « Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! »
- Rousseau et le désir: Malheur à qui n'a plus rien à désirer
- Rousseau - La Nouvelle Héloïse: «Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède....» ?
- L'homme est-il condamné à désirer ?
- L'homme est il condamné au malheur ?