de la nature à l'humanité
Publié le 30/04/2014
Extrait du document
«
Homme pas d’instinct exemple de instinct maternel (infanticide, abandon), instinct de survie
(pas universel, nécessite apprentissage)
IV.
Texte de Mauss, les techniques du corps
L’homme est un être social dont le comportement, la pensée, les croyances, etc.
s’expliquent
par l’appartenance à une société.
Le corps intériorise des techniques sociales qui lui sont
transmises par la tradition.
Le corps lui-même relève de l’appartenance culturelle.
B.
La culture, le monde humain
I.
L’homme comme être de culture
Pratiques théoriques
Pratiques artistiques
Pratiques religieuses pas inné = culture, monde humain
Pratiques politiques
La culture c’est bien le monde humain en tant qu’il a rompu avec la nature
On peut considérer la culture comme un édifice qui repose sur 4 piliers, cette structure est
universelle : la technique, la droit, l’esthétique, la pratique théorique.
Le langage est le socle
de ces 4 piliers.
II.
L’éducation
Educ nécessaire pour rentrer dans le monde de la culture rien n’est inné chez l’homme,
tout est de l’ordre de l’acquis.
L’enfant sauvage qui ne côtoie pas la culture ne peux pas
devenir homme Enfants sauvages Jean Itard.
Education permet à l’élève de développé ses
facultés.
Au départ, l’homme est un être de culture en puissance puis il le devient en acte par
l’éducation.
L’être humain actualise sa raison par l’éducation.
L’éducation est nécessaire car
l’homme n’a pas d’instinct.
C.
La pluralité des cultures
I .
La confrontation des cultures
Rapports conflictuels, tendance à considérer que sa propre culture est supérieure aux autres =
ethnocentrisme CQ : ethnocentrisme est une source majeur de préjugés, on porte un jugement
subjectif sur les autres cultures sans en avoir conscience.
Les différences d’une culture à
l’autres sont traitées comme des inégalités.
Par l’éducation et par l’appartenance à une culture,
nous intériorisons un système de référence, c-à-d des jugements de valeurs, d’opinion, centre
d’intérêts, sans que nous ayons conscience de notre intériorisation.
Préjugé ethnocentriste met au cœur de la hiérarchie culturelle l‘économie et la technologie ce
qui créée une distinction entre cultures développées et sous développées.
Si on prend un autre
critère la hiérarchie entre les cultures pourrait changer CQ = pour Lévi Strauss, il faut
abandonner toute idée de hiérarchie entre les cultures, aucune culture n’est supérieure à
l’autre relativisme culturel
II.
Peut-on résister au relativisme culturel ?
Le danger du relativisme culturel de Bouveresse (voir en dessous)
D.
L’exigence de culture a-t-elle un sens pour l’homme ?
Il existe la culture anthropologique et humaniste : anthropologique : ensemble des structures
sociales qui composent l’être humain et culture humaniste : c’est l’ensemble des
connaissances acquises par l’homme, l’instruction, le savoir et notamment la connaissance des
plus grandes réalisations de l’homme
I.
Position théorique de la sociologie de la culture, pierre Bourdieu
Critère sociologique qui permet de définir ce qui est de la culture ou pas.
Avant Bourdieu on
pense que l’expérience artistique et esthétique n’a rien à voir avec la société.
L’expérience
esthétique transcende les enjeux sociaux.
Bourdieu est le premier à faire une enquête
statistique et sociologique sur les publics qui fréquente les lieux d’arts.
Public qui le fréquente
est majoritairement une classe sociale très favorisé.
Même si l’état met en place des dispositifs
rendant accessible à tous les lieux de cultures, statistiques n’évoluent pas.
Il ya plus qu’une.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- En s’éloignant de la nature, l’humanité a-t-elle fait son propre malheur ?
- La protection de la nature et de ses ressources constitue aujourd'hui une nécessité pour l'ensemble de l'humanité.
- L'exploitation technique de la nature constitue t-elle un idéal pour l'humanité ?
- « L'âme du XVIIIe siècle, c’est l'humanité, c'est-à-dire une vraie sympathie pour la nature humaine, l'idée de ses droits et le désir de son bonheur, la révolte contre les injures qu’on lui fait et les maux qu'on lui inflige. »
- Peut-on parler d'une histoire de la nature ou l'histoire est-elle le privilège de l'humanité ?