Cours : introduction à la philosophie de Platon « Résumer et commenter les définitions et les arguments de l’Hippias majeur »
Publié le 13/01/2024
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UEH
UNIVERSITE D’ETAT D’HAITI
ECOLE NORMALE SUPERIEURE (ENS)
DEPARTEMENT LETTRES MODERNES (PREPARATOIRE)
Cours : introduction à la philosophie de Platon
« Résumer et commenter les définitions et les arguments de l’Hippias majeur »
Participants : FRANCILLON Blouny
ALEXANDRE Jackson
JEAN Josena
Date limite : 03/08/2023
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Plan du devoir
Contextualisation
Introduction
Corps du devoir
Conclusion
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Contextualisation
L’Hippias majeur est un dialogue écrit par Platon le disciple de Socrate environ 421 et 415 av.
J.C(Woodruff).
Platon relate la vie de son maitre à travers ce dialogue qui a pour titre Hippias
majeur.
Ce texte traite le discours sur le beau il est considéré comme étant un genre anatreptique
ou encore refutatif.
Socrate soulevait le problème du concept car il avait peine à trouver de
définition pour les concepts, il jugeait qu’aucun concept n’avait pas de définition.
Pour arriver à
la définition il devrait respecter trois règles : l’universalité, l’unicité, l’immuabilité.
Sans ces trois
règles on ne peut parler de définition.
Le jeune Platon disciple du sage Socrate ayant été présent au cours des discours de son maitre
décide de mettre ses discours dans des dialogues (tout en sachant qu’on n’est pas certain qu’il
s’agit soit de la pensée de Socrate ou de Platon) Socrate de son vivant n’a laissé aucun écrit car
pour lui ses écrits ne pouvaient en aucun cas se défendre eux-mêmes.
C’est donc ce qu’on
constate dans ce dialogue Socrate réfute Hippias.
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Introduction
Hippias d’Élis c’est un grand sophiste impliqué dans le dialogue socratique Platon l’utilise pour
le mettre en scène face à Socrate.
Dans ce dialogue Socrate ne cesse de recourir a l’ironie non
seulement il s’humilie, mais il fait semblant de louer les compétences inexistantes du sophiste
Hippias, il l’encourage même à partager son prétendu savoir.
Socrate par la ruse se permet de
mettre à jour l’ignorance d’Hippias pour parvenir à cela il en fait usage de a sa fameuse méthode
d’interrogation réfutative, il prend pour l’objet une opinion qu’il questionne en parvenant à
réfuter l’opinion Hippias il cherche à libérer l’esprit de son interlocuteur du poids qu’est
l’opinion commune.
Hippias un éminent sophiste de la Grèce originaire de la cité d’Élis.
Dans l’Hippias majeurs il
semble a première vue lourdement caricaturer il est présenté comme un être terriblement
orgueilleux assez limiter notamment sur sa capacité à persuader La foule part des procédés
rhétorique sans même requérir une science véritable.
On peut voir ces deux personnes sont vraiment différents Hippias a tendance a juger que le beau
se confond avec des belle choses sa première définition du beau est une belle jeune fille tant
disque Socrate distingue le beau et les belle choses comme on va voir a plusieurs moment danse
dialogue des tensions apparent entre Hippias et Socrate.
A plusieurs reprises Socrate fait mention
d’un interlocuteur anonyme qu’il fiction de Socrate.
Socrate raconte a Hippias un certain homme
lui a reproché et blâme certaines choses du fait qu’elles sont laide et l’autre qui sont belles tout
en restant incapable de définir le beau ce qui a plongé Socrate dans l’embarra.
Pour cela Socrate
vient donc s’informer auprès du sophiste Hippias qui s’estiment pouvoir répondre le combat de
l’argument avec l’interlocuteur anonyme.
Il interlocuteur anonymes est en réalité une fiction de
Socrate, une fiction utilise, elle lui permet d’objectiver se moquer Hippias en toute sureté sans
craindre sa colère car il rend responsable l’interlocuteur anonymes de toute paroles Hippias juge
honteuse.
Cette double personnalité de Socrate donne une tournure comique à ce dialogue.
Nous
allons tenter de faire une résume d Hippias majeurs tout en commenter cette texte avec les
différant définition du beau.
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Les deux hommes ont d’abord renoué connaissance ensuite Hippias se vante de ne pas avoir le
temps raison de son absence aussi long dans la cite il vante ses profits qu’il tire grâce à ses
savoirs, il se voit comme plus savant que ses prédécesseurs et même plus que certains de ses
contemporains.
La discussion se poursuit, ils abordent d’autres sujets.
Apres avoir évoqué un de
ses beaux discours Socrate en profite pour lui dire qu’un individu cherche à jouer de son
ignorance en le demandant ce que c’est le beau.
Socrate exigent pour ne pas etre ridiculiser
devant l’homme veut à tout prix avoir une définition que l’homme ne saurait réfuter.
Il se
propose à être cet homme en question pour interroger Hippias.
En commençant Hippias demande des explications a Socrate cependant malgré ces
explications Hippias n’a pas compris la question compte tenu de sa première réponse.
Sa première définition du beau fut la suivante « le beau est une jeune fille » cependant
rien ne s’en suit après cette définition.
Socrate réfutera cette définition du fait qu’il
considère que la beauté d’une chose vient de quelque chose extérieur ensuite fera
l’énumération de 3 choses qui sont belles tout en montrant que chacune est belle.
Néanmoins Hippias n’acceptera pas que la dernière soit belle on ne peut la considérer
comme dite belle cae cette une marmite et la marmite est dérisoire.
Par la 6tsuite
Socrate lui fera savoir que la marmite peut etre belle aussi , il poursuit en établissant
une comparaison entre la marmite la fille et la race des dieux.
La fille est considérée
comme une marmite par rapport la race des dieux.
Hippias fut convaincu par
l’argument de Socrate, sa définition donc réfutée.
Commentaire
D’une part nous avons constaté que Socrate se joue ou plutôt ridiculise le sophiste Hippias qui
est représenté tel un arrogant.
Bien que Socrate s’humilie dans l’acte même de ne pas
questionner Hippias directement mais il profite des occasions pour mettre en relief l’ignorance
du sophiste Hippias.
D’autre part, nous avons fait le constat qu’un sage n’a nul besoin de se
vanter pour faire valoir sa sagesse, avoué qu’on ignore quelque chose n’est pas un crime mais il
dangereux de se précipiter car on sera ridiculiser par les autres.
Ceci donc est visible dans la
première réponse d’Hippias sur le beau ‘’ le beau est une jeune fille’’ sans même prendre le
temps pour réfléchir sur ce que Socrate voulait vraiment il y est allé la tête baissée.
Et il s’est
appuyé sur l’opinion de la foule pour convaincre le personnage sans pour autant tenir un
argument convaincant, le résultat fut un échec, il a échoué parce qu’il s’est précipité, parce que
son arrogance était plus fort que lui, parce qu’il n’a pas réfléchit d’avantage pour argumenter et
que c’était un ignorant ignorant.
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Le savant Hippias ne tarde pas à proposer une autre définition du beau, c’est avec
certitude qu’il lance ‘’ le beau c’est de l’or.’’ Car on fait paraître beau l’objet qu’on y
ajoute de l’or.
Le sage Socrate contre argumente en disant ceci ‘’ Phidias n’y a pas
ajouter de l’or dans sa statue d’Athéna et ça a peut être réduit dans la beauté de sa
statue’’ - l’ivoire est aussi belle dira Hippias… la pierre aussi si elle convient...
et si
elle ne convient pas elle est laide.
Il avouera alors que c’est ce qui convient à une chose
qui la rend belle.
–
-Est-ce une mouvette d’or ou une de figuier qui convient à une belle marmite plein de
légumes mise sur le feu ? demande Socrate
-Une mouvette de figuier répondit le sophiste Hippias tout indigné de savoir qu’un homme
puisse tenir un tel affront.
Commentaire
Dans cette seconde définition toujours il est question de précipitation de la part du sophiste
Hippias, son unique préoccupation est de répondre pour prouver son génie, sans le savoir ça le
rendait encore plus bête devant le sage Socrate.
Ce dernier le couvre d’éloges qu’il ne mérite
aucunement il l’élevait à une hauteur suffocante et cela faisait tourner la tête du sophiste alors il
se précipite encore une fois pour donner une réponse insatisfaisante qui se basera sur l’opinion
des autres et proposera même à Socrate de forcer à l’homme d’accepter sa réponse sans poser de
question, du fait qu’il n’a pas d’argument assez convaincant et ça le mettait en colère qu’on ne
soit pas satisfait de sa réponse.
Il devenait enragé et ne voulait en aucun cas accepter cela.
On
peut donc considérer que le sophiste Hippias manque de tact ne sait pas vraiment comme il
prétend.
Il n’a pas su énoncer une définition respectant les trois exigences de Socrate.
Socrate insistant, veut avoir une réponse ainsi Hippias lui dit que le beau ‘’ c’est d’ensevelir ses
parents et d’être ensevelit par ses enfants ’’ Socrate rétorque que c’est une déroute de la
question,
ce
beau
qui
est
pour
tous
et
pour
toujours.
Socrate
continuait
de
parler
comme
s'il
ne
s'agissait
pas
de
lui.
Hippias dira donc que "oui ça a toujours été ainsi" Socrate, lui, argumente ainsi " était-il
nécessaire pour Ulysse son grand-père, les enfants de dieux et les dieux eux même d'être
enseveli pour être beau ?" -Peut être répond le sophiste Hippias par la suite Socrate lui demande
si "Héraclès et....
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