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Commenter ou discuter cette pensée de Durkheim que les faits sociaux s’imposent aux consciences individuelles en vertu d’une puissance impérative et coercitive.

Publié le 07/02/2016

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durkheim

PLAN.

 

Introduction. — Définition de la sociologie. On a parfois tenté de la considérer comme une dépendance de la psychologie. Le grand sociologue français Durkheim s’y oppose. L’un de ses arguments, c’est que : ...

durkheim

« LA ii IS,L1flA'1IO I'I11LOUI'111QLI 2'3 .4.

- Impérative : les commandements de la morale B.

- coercitive, notamment o) la menace de châtiments légaux, pouvant aller jusqu'à 'a mort et au bannissement B la pression de la concurrence c) la pression de l'opinion publique ( mépris public, ridicule) 2 2e partie.

-- Analyse d'eenples.

c'est de cette faton qie peuvent s'imposer A.

- l'organisation de la /arniUe; B.

- le régime d'éducation C.

- le cide et ses différentes prescriptions (ex.

; obliga- tion du service militaiie) D.

- les idées morales ; L.

- la langue F.

- la monnaie G.

- les pratiques prof essionnelle.9 ; H.

- dans bien des milieux, les croyances et pratiques religieuses.

3e partie.

- Double réserve.

A.

- Tous les faits sociaux ne s'imposent pas ainsi (ex.

l• suicide, que Durkheim considère comme un fait social)'.

B.

- Certains individus résistent au nom de leur idéal i la pression de la société qui, après les avoir persécutés et parfois supprimés, subit leur influence 4.

Conclusion.

- La pensée de Durkheim n'en reste pas moins exacte.

La pression que la société exerce sur l'individu est, d'ailleurs, généralement bienfaisante.

L'homme est un animai civilisé par l'Humanité 5 .

1.

Ph.

S.

et M., p.

474 p.

230.

2.

Ph.

S.

cl M., p.

474; s, p.

193.

3.

Ph.

S.

e M., P.

180.

4.

Ph.

S.

dM., pp.

249 et suiv.; p.

326, 5.

Ph.

S.

.d M., p.. »

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