Commentaire chapitre 3 de Candide de Voltaire
Publié le 22/02/2012
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ces privilèges qui a dépenser son argent et celui du pays, enfaite qui ne travail pas et qui dévient un paradissociale.
3 Le personnage de Candide :Le premier paragraphe commence par une description du personnage principale, en quelques lignes Voltaire expliquele sens du mot « Candide », quelqu'un qui ne connait rien de la vie, qui es naïf, mais qui a aussi de l'intelligence etun certains sens critiques, c'est donc un portrait positive et flatteur.
Il sert à critiquer lui aussi la société del'époque.
Il illustre le hasard de la naissance, la vie a fait de lui un bâtard il est le fils non reconnu de la soeur duBaron.
Il n'a ni titre ni nom.
Le Baron ne considère pas qu'il fait partie de sa famille.
Il n'a droit à rien, surtout pas àla fille du baron.
Il sera chasser du château.
Il illustre l'injustice sociale de la naissance.
II La caricature d'un philosophe1 Le rapport maître disciple :On peut remarquer que le portrait de Pangloss occupe la partie centrale du premier chapitre et à lui seul le tiers dece chapitre, il sert fixer le rapport entre lui et Candide, ce qui fait de lui un second personnage de l'intrigue.
Onretrouvera la même si tuation entre les deux personnage à la du conte au chapitre 30.
Pangloss est le précepteur deCandide c'est à dire qu'il est chargé de son éducation et de son instruction on a donc un rapport maître élève.Pangloss est représenter comme l'oracle de la maison, c'est à dire qu'il détient des vérités qu'il révèle.
On peutremarquer que Candide est sous le charme de Pangloss qu'il « écoute attentivement » et qui croit mais Voltairesouligne que c'est parce qu'il est naïf et qu'il ne connait rien.
Dans la présentation Voltaire va se moquer de sonpersonnage « maître pangloss le plus grand philosophe de la province par conséquent de la terre », il se moque delui aussi « métaphysico-théologo-cosmolo-négologie-nigologie » la métaphysique est une partie de la philosophie quisoulève le problème de la création du monde à l'existence de Dieu.
LA théologie étude de la religion, Cosmologie,étude de l'univers.
Il a une chute comique pour dire que Pangloss est abusé des naïf.
« Pangloss » est un nom trèssavent.
Pan = Tout Gloss = langue.
En Gros il parle pour ne rien dire.
2 Pangloss et la logique :LA première fois qu'il apparaît c'est pour prononcer un discours cette discours est au style directe « disait-il » pourmettre en valeur le personnage.
On aura à la même chose à la fin du chapitre.
L'objectif du discours c'est demontrer la logique du de Pangloss « il prouvait admirablement », le discours l'art de la démonstration de Pangloss « ilété démontrer ».
on peut remarquer l'abus systématique de connecteur logique « Car, pour, bien que, pour, aussi,pour, pour, pour, aussi,pour, par conséquent » l'utilisation d'une progression de l'argumentation appuie sur unemultiplication des exemples, qui se termine par une conclusion « par conséquent...
» des expressions quin'admettent pas l'objection « ne peuvent être autrement » « tout étant fait ».
cela donne l'impression d'une analyserigoureuse très logique.
À une lecture très attentive on découvre que le discours n'a rien de rigoureux, on peutremarquer par exemple qu'il prend 4 fois le même type d'exemple ce qui n'apporte rien à l'argumentation et constituedu bavardage, en plus il se trompe dans son raisonnement car il inverse la logique des choses.
Pangloss ne démontreque des évidence il les interprètent à l'envers 3 L'optimisme :La logique de Pangloss est entièrement guidé par l'optimisme, il s'agit pour lui de démontrer que « tout est au mieux,que dans le monde tout est calculer pour une fin heureuse » ce qui donne la phrase qui résume sa philosophie, qu'ilrépètera jusqu'à la fin du livre « tout est pour le mieux dans le meilleur possible ».
Pour le ridiculiser de chapitre enchapitre Voltaire va le plongé dans les pires catastrophe possible.
Déjà dans ce passage Voltaire va se moquer del'optimisme propre au conte de fée en reprenant un procédé d'écriture caractéristique de l'abus des hyperboles.
III Parodie d'une littérature amoureux1 La critique de la littérature amoureuse :Dans ce passage Voltaire va se livrer à une parodie à la fois l'optimisme du conte de fée en matière amoureuse « ilsvécurent heureux, et ils eurent beaucoup d'enfants » est aussi tr_tique des romans d'amours à la mode à l'époque,on peut remarquer que le dernier paragraphe constitue le stéréotype de la première rencontre amoureuse tel qu'onpeut la lire dans tout les romans d'amour, on peut y trouver les différentes étapes : la maladresse, le stresse «rougir » « voie entre coupé », la stratégie amoureuse « laissa tombé » « ramassa » la progression de la sensualité «pris la main » « baisa la main » « se rencontrèrent, s'enflammèrent, se garèrent » le comique est obtenu par diversprocédés : des phrases très courtes très souvent réduite à un verbe d'action.
L'enchainement de 13 passé simple sequi produit un effet d'accélération.
On a donc une succession rapide d'acte mécanique qui enlèvent tout caractèrehumain à la scène.
On a une effet de symétrie systématique entre les deux personnage qui accentue l'aspectmécanique « elle rougit, candide rougit aussi ».
enfin la chute est inattendue, la scène d'amour ne se termine pascomme d'habitude ce qui a un effet d'amour.
Pour compléter le narrateur à un point de vue extérieur ironique quirend la scène comique par exemple l'anaphore de « innocemment » 2 Le point de vu de Pangloss :L'un des effets comique vient de de ce que cette scène amoureuse succède à une autre scène amoureuse qui estcelle Pangloss et la femme de chambre.
On peut remarquer que si la seconde scène est très idéalisé, la première esttrès réaliste même si pour la décrire le texte utilise des figures d'atténuations (périphrase ou effenisme ) par exempleune leçon de physique expérimentale.
Le contraste entre cette réalité et l'idéalisme de la seconde scène à un effetcomique.
Le seconde effet comique vient de ce que Cunégonde est en situation voyeurisme on peut remarquel'insistance « elle observa, elle vie clairement, » ce qui lui enlève toute innocent.
3 La critique de l'Optimisme : Noussommes à la fin du premier chapitre Pangloss a été présenté comme le philosophe de la logique et de la fin heureusede toute chose on peut remarque que l'avant dernier paragraphe insiste sur l'enchainement causes et faits « leseffets et les causes, la raison suffisante ».
cette relation cause effet est reprise à la fin du dernier paragraphe.
Onpeut remarque que Cunégonde et Candide sont d'excellent élèves de Pangloss, ils mette en pratiquent ces théoriemais ici on peut remarquer que pour la première fois la théorie de Pangloss ne marche pas.
La même cause neproduit pas le même effets l'histoire d'amour se termine malle Candide est brutalement chassé du château « A grandcoup de pied » Cunégonde est giflé « souffleté ».
on peut remarque que tout se termine sur une note pessimiste «tous fut concerné » qui est le contraire de la phrase de Pangloss On peut remarquer que cette scène ou Cunégondejoue le rôle de la tentatrice et entraine Candide dans sa chute et la parodie de la scène de la bible ou Adam et Èvesont chassé du paradis.
ConclusionUn premier chapitre qui permet de fixé le genre, un conte mais qui se présente comme la version comique d'un conte.
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