Comment S'Explique Selon Vous L'Intérêt De La Lecture De Pascal Pour L'Homme D'Aujourd'Hui?
Publié le 12/09/2006
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Lorsque Blaise Pascal entreprend de composer son Apologie de la religion chrétienne, il est loin de mesurer l'étendu de son projet: «[le] dessein [de Pascal] était bien plus ample et plus étendu que l'on ne se l'imagine« indique Etienne Périer dans la préface des Pensées de Port Royal. Effectivement, la portée des Pensées à travers les âges à été immense et l'est encore aujourd'hui. Elle est non-seulement l'oeuvre la plus lue de Pascal, mais c'est aussi très étudiée, de nombreuses fois au programme d'examens de littérature ou de philosophie. Mais où réside donc l'intérêt de la lecture de cette oeuvre et plus généralement de Pascal? Nous verrons que cette lecture possède un intérêt sur le plan historique, sur le plan stylistique, et surtout sur le plan thématique.
***
La lecture des oeuvres de Pascal présente d'abord un intérêt historique. Elle nous offre un aperçu de la religion, de la société, et du monde politique et culturel au XVIIème siècle.
On trouve avec Les Provinciales une vision du statut de la religion à l'époque de Pascal. En effet, cette oeuvre est véritablement au coeur de la querelle entre Jésuites et Jansénistes, partie importante de l'Histoire de France, reprise dans un d'autres oeuvres, par exemple dans L'Ingénu de Voltaire.
Ensuite, on peut, à travers la lecture des Provinciales et des Pensées, voir transparaître une image de la société de l'époque. Le peuple par exemple est très présent dans les Pensées. Il est tantôt vu comme sot et faible, tantôt comme ayant «des opinions très saines«, surtout dans la liasse V, «Raison des effets« avec des fragments comme le 87 ou le 88 qui sont intitulés «opinions du peuple saines«. On a également un aperçu des différents métiers de l'époque: le laquais du fragment 17, le cordonnier avec le «talon de soulier« des fragments 32 et 120, le magistrat, le médecin et les «gens de guerre« du fragment 41. Le clergé est aussi représenté dans les Pensées, par les allusions des fragments 12 et 41 aux chrétiens, et par la référence à l'abbaye de Port Royal dans le fragment 59. Le roi est également une figure prédominante dans ce tableau de la société du XVIIème; le roi qui, avant d'être l'image de la condition humaine, est le monarque absolu qui gouverne la France. Les évocations de la figure royale sont effectivement très abondantes dans les Pensées.
De plus, on trouve des allusions au statut politique de la France, avec des références à la Fronde (1648-1653), que Pascal connut trop bien et qui le fit souffrir énormément, la guerre civile étant «le plus grand des maux«. Les tensions de la France avec l'Espagne sont également évoquées, par exemple dans le fragment 56: «Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au delà.«
La lecture des oeuvres de Pascal possède aussi un intérêt culturel. Il nomme de nombreux auteurs qui sont ses prédécesseurs comme Montaigne, ou ses contemporains, comme Descartes. L'intertextualité des Pensées nous renseigne ainsi sur le type d'ouvrages lus à son époque. La lecture des traités scientifiques de Pascal peut également fournir des informations sur l'avancée de la science, notamment des mathématiques et de la nouvelle physique.
Ainsi, la lecture de Blaise Pascal nourrit en partie notre appétit pour l'Histoire, offrant des aperçus de la société et de la perception du monde en France au XVIIème siècle.
Les Pensées proposent au lecteur un intérêt sur le plan stylistique. De Pierre Simon Ballanche à Pascal Quignard, de François René de Chateaubriand à Albert Camus, le style fragmentaire des Pensées fascine. Dans Du sentiment considéré dans son rapport avec la littérature et les Arts, Ballanche déclare: «Quelle belle ruine que cette phrase isolée, tracée presque illisiblement sur un lambeau de papier et jetée là sans attention, par l'homme le plus éloquent, par l'écrivain le plus mâle et le plus profond qui ait encore été vu, par le sublime Pascal.« Effectivement, l'esthétique des Pensées est fondée sur un style fragmentaire captivant, bien qu'il soit non-intentionnel puisqu'il s'agit d'un ouvrage inachevé. Le style gnomique, parfois sentencieux des Pensées interloque et captive le lecteur. Nommons le fragment 22: «Condition de l'homme. Inconstance, ennui, inquiétude«, ou le 73: «Description de l'homme. Dépendance, désir d'indépendance, besoins.« Le lecteur est rendu perplexe par la lecture de tels fragments et il est incité à méditer sur ces pensées. Cependant, la réflexion, qui demande du temps, est rare dans notre société actuelle, où tout doit aller toujours plus vite pour créer un maximum de profit. C'est ce qui rend la lecture des Pensées particulièrement intéressante: puisque nous sommes forcés à prendre du temps et à réfléchir, nous obtenons une perspective différente de la société. Il s'opère alors une distanciation qui rend possible l'analyse. L'analyse permet ensuite d'identifier les problèmes et parfois de les résoudre. De là naitront des mouvement comme mai 68, où les slogans «on fait un pas de côté, on réfléchit« peuvent parfois rappeler certains fragments des Pensées...
Lucien Goldmann, philosophe qui consacrât une partie de ses études à Blaise Pascal, déclare dans Le Dieu caché, qu'«il n'y a pour une oeuvre tragique, qu'une seule forme d'ordre valable, celui du fragment«. Les fragments seraient donc indispensables pour ressentir profondément le tragique de l'oeuvre pascalienne. En effet, les fragments reflètent la condition tragique de l'homme qui est d'errer perpétuellement à la recherche d'un bonheur, d'un juste milieu, de ce dont il a été démuni, puisque l'homme est un «roi dépossédé« (fragment 108). Ces bribes de phrases flottantes sur le papier jauni par les âges, reflète le vagabondage incessant de l'homme dans l'univers. Cette destinée tragique est encore accentuée par l'écriture paradoxale qu'adopte Pascal. Nommons par exemple le fragment 121: «S'il se vante, je l'abaisse ; / s'il s'abaisse, je le vante / et le contredis toujours / jusqu'à ce qu'il comprenne / qu'il est un monstre incompréhensible.« Voilà en fait un des buts de Pascal: prouver à l'homme son incompréhensibilité.
Ainsi cette lecture qui au premier abord peut sembler ésotérique, désordonnée et confuse, devient source de méditation: elle incite à la réflexion sur notre société, et elle nous fait prendre conscience du tragique de notre condition.
Bien que l'évocation de Dieu ait aujourd'hui perdu de sa puissance, la lecture du brouillon de l'Apologie de la religion chrétienne et d'autres oeuvres de Blaise Pascal a des intérêts thématiques très importants. L''écrivain brosse une «peinture de l'homme«, représentant à la fois sa misère et sa grandeur. La vision de la condition humaine qu'il propose est très pertinente, tout particulièrement aujourd'hui. Après la seconde guerre mondiale et la découverte des camps de concentration, l'homme prend de plus en plus conscience des atrocités qu'il est capable de commettre à une telle échelle. Après les premières bombes atomiques lancées sur Hiroshima et Nagasaki, l'angoisse nucléaire plane dans le monde, et comme le dit si bien Albert Camus, «la civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie«. A présent, que nous sommes en train de prendre conscience du désastre écologique qui détruit notre planète, et en pleine crise économique, nous admettons mieux la précarité de notre condition, qui est celle d'une créature hybride, d'un «monstre incompréhensible«. En fait, il semble que Pascal ait eu une clairvoyance étonnante, vis à vis de la condition de l'homme, qu'il soit d'aujourd'hui ou du XVIIème siècle.
Dans les Pensées il parle déjà des problèmes en relation avec la propriété, thème que reprendront plus tard Rousseau et Proudhon: «Mien, Tien. / «Ce chien est à moi« disaient ces pauvres enfants. «C'est là ma place au soleil.« Voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre« (fragment 60). On pense alors à des mouvements actuels, tels que le mouvement anarchiste, qui se bat notamment contre la propriété.
Pascal évoque également les frontières, la division des hommes qui se regroupent dans des communautés, comme sources de conflits, de tueries, de guerres: «Pourquoi me tuez vous? - Et quoi! Ne demeurez vous pas de l'autre côté de l'eau? Mon ami, si vous demeuriez de ce côté je serais un assassin, et cela serait injuste de vous tuer de la sorte. Mais puisque vous demeurez de l'autre côté je suis un brave et cela est juste.« (fragment 47) Cette ironie n'est pas sans rappeler Candide de Voltaire, où des réflexions similaires sur la guerre et le peuple sont présentes. Cela ne nous rappelle t-il pas des conflits actuels comme par exemple la guerre israélo-palestinienne? «Quand je m’y suis mis quelquefois, à considérer les diverses agitations des hommes et les périls et les peines où ils s’exposent, dans la cour, dans la guerre, d’où naissent tant de querelles, de passions, d’entreprises hardies et souvent mauvaises, etc., j’ai découvert que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre.« (fragment 126) Cette réflexion nous mène à celle sur le divertissement. Selon Pascal, toute la misère et la faiblesse de l'homme vient de son incapacité à rester seul avec ses pensées. Cela est extrêmement vrai aujourd'hui. Noyé sous les flots d'informations qu'apportent les médias, noyé sous le travail, sous les plaisirs immédiats, l'homme ne prend pas le temps de réfléchir. Sa vie passe à grande vitesse, et il ne la consacre qu'à des vanité. L'homme s'abreuve de travail pour la gloire et et la renommée, pour être valorisé socialement. Ceci, aux yeux de Pascal n'est que vanité: «Métiers. / La douceur de la gloire et si grande qu'à quelque objet qu'on l'attache, même à la mort, on l'aime« (fragment 34). La valorisation sociale est aujourd'hui très importante, et il semble que l'avenir des enfants soit tout tracé: école primaire, collège, lycée, obtention de baccalauréat, études supérieures... Tout est mis en oeuvre pour distraire, pour détourner les hommes de leur condition misérable. Panem et circenses, voilà tout ce dont l'homme à besoin pour ne pas sentir son coeur «creux et plein d'ordures«. Cela, Pascal l'avait bien saisi: «Divertissement. / On charge les hommes, dès l'enfance, du soin de leur honneur, de leur bien, de leurs amis, et encore du bien et de l'honneur de leurs amis. On les accable d'affaires, de l'apprentissage des langues et d'exercices, et on leur fait entendre qu'ils ne sauraient être heureux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient en bon état, et qu'une seule chose qui manque les rendrait malheureux. Ainsi on leur donne des charges et des affaires qui les font tracasser dès la pointe du jour - Voilà, direz-vous, une étrange manière de les rendre heureux ! Que pourrait-on faire de mieux pour les rendre malheureux ? - Comment ! ce qu'on pourrait faire ? Il ne faudrait que leur ôter tous ces soins' ; car alors ils se verraient, ils penseraient à ce qu'ils sont, d'où ils viennent, où ils vont ; et ainsi on ne peut trop les occuper et les détourner. Et c'est pourquoi, après leur avoir tant préparé d'affaires, s'ils ont quelque temps de relâche, on leur conseille de l'employer à se divertir, à jouer, et à s'occuper toujours tout entiers. Que le coeur de l'homme est creux et plein d'ordure!« (fragment 129)
Ainsi, malgré les progrès scientifiques et technologiques qui ont une place très importante dans notre société de communication actuelle, Pascal nous rappelle que «l'homme passe infiniment l'homme«. L'incapacité que l'homme éprouve à dépasser sa condition l'accable, et il reste ainsi à mi chemin entre la bête et l'ange, à la recherche d'un juste milieu, tout tremblant de peur, dans l'immensité de l'univers.
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La lecture des oeuvres de Blaise Pascal rappelle donc à l'homme une partie son histoire, son errance dans l'univers, sa fragilité, sa misère, alors que celui-ci pense être parvenu à une certitude, à une vérité. Cette lecture propose un retour sur soi-même, sur sa condition de roi dépossédé. «Ô monde! Ô moi même et ma destinée très honteuse!«: la voix de Tête d'or bourdonne et vibre dans le creux de l'oreille. Un frisson parcoure l'échine de l'homme qui tremble, ce monstre incompréhensible.

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Ainsi cette lecture qui au premier abord peut sembler ésotérique, désordonnée et confuse, devient source de méditation: elleincite à la réflexion sur notre société, et elle nous fait prendre conscience du tragique de notre condition.
Bien que l'évocation de Dieu ait aujourd'hui perdu de sa puissance, la lecture du brouillon de l'Apologie de la religion chrétienneet d'autres oeuvres de Blaise Pascal a des intérêts thématiques très importants.
L''écrivain brosse une «peinture de l'homme»,représentant à la fois sa misère et sa grandeur.
La vision de la condition humaine qu'il propose est très pertinente, toutparticulièrement aujourd'hui.
Après la seconde guerre mondiale et la découverte des camps de concentration, l'homme prend deplus en plus conscience des atrocités qu'il est capable de commettre à une telle échelle.
Après les premières bombes atomiqueslancées sur Hiroshima et Nagasaki, l'angoisse nucléaire plane dans le monde, et comme le dit si bien Albert Camus, «la civilisationmécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie».
A présent, que nous sommes en train de prendre conscience dudésastre écologique qui détruit notre planète, et en pleine crise économique, nous admettons mieux la précarité de notrecondition, qui est celle d'une créature hybride, d'un «monstre incompréhensible».
En fait, il semble que Pascal ait eu uneclairvoyance étonnante, vis à vis de la condition de l'homme, qu'il soit d'aujourd'hui ou du XVIIème siècle.Dans les Pensées il parle déjà des problèmes en relation avec la propriété, thème que reprendront plus tard Rousseau etProudhon: «Mien, Tien.
/ «Ce chien est à moi» disaient ces pauvres enfants.
«C'est là ma place au soleil.» Voilà lecommencement et l'image de l'usurpation de toute la terre» (fragment 60).
On pense alors à des mouvements actuels, tels que lemouvement anarchiste, qui se bat notamment contre la propriété.Pascal évoque également les frontières, la division des hommes qui se regroupent dans des communautés, comme sources deconflits, de tueries, de guerres: «Pourquoi me tuez vous? - Et quoi! Ne demeurez vous pas de l'autre côté de l'eau? Mon ami, sivous demeuriez de ce côté je serais un assassin, et cela serait injuste de vous tuer de la sorte.
Mais puisque vous demeurez del'autre côté je suis un brave et cela est juste.» (fragment 47) Cette ironie n'est pas sans rappeler Candide de Voltaire, où desréflexions similaires sur la guerre et le peuple sont présentes.
Cela ne nous rappelle t-il pas des conflits actuels comme parexemple la guerre israélo-palestinienne? «Quand je m'y suis mis quelquefois, à considérer les diverses agitations des hommes etles périls et les peines où ils s'exposent, dans la cour, dans la guerre, d'où naissent tant de querelles, de passions, d'entrepriseshardies et souvent mauvaises, etc., j'ai découvert que tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne savoirpas demeurer en repos dans une chambre.» (fragment 126) Cette réflexion nous mène à celle sur le divertissement.
Selon Pascal,toute la misère et la faiblesse de l'homme vient de son incapacité à rester seul avec ses pensées.
Cela est extrêmement vraiaujourd'hui.
Noyé sous les flots d'informations qu'apportent les médias, noyé sous le travail, sous les plaisirs immédiats, l'hommene prend pas le temps de réfléchir.
Sa vie passe à grande vitesse, et il ne la consacre qu'à des vanité.
L'homme s'abreuve detravail pour la gloire et et la renommée, pour être valorisé socialement.
Ceci, aux yeux de Pascal n'est que vanité: «Métiers.
/ Ladouceur de la gloire et si grande qu'à quelque objet qu'on l'attache, même à la mort, on l'aime» (fragment 34).
La valorisationsociale est aujourd'hui très importante, et il semble que l'avenir des enfants soit tout tracé: école primaire, collège, lycée, obtentionde baccalauréat, études supérieures...
Tout est mis en oeuvre pour distraire, pour détourner les hommes de leur conditionmisérable.
Panem et circenses, voilà tout ce dont l'homme à besoin pour ne pas sentir son coeur «creux et plein d'ordures».
Cela,Pascal l'avait bien saisi: «Divertissement.
/ On charge les hommes, dès l'enfance, du soin de leur honneur, de leur bien, de leursamis, et encore du bien et de l'honneur de leurs amis.
On les accable d'affaires, de l'apprentissage des langues et d'exercices, eton leur fait entendre qu'ils ne sauraient être heureux sans que leur santé, leur honneur, leur fortune et celle de leurs amis soient enbon état, et qu'une seule chose qui manque les rendrait malheureux.
Ainsi on leur donne des charges et des affaires qui les fonttracasser dès la pointe du jour - Voilà, direz-vous, une étrange manière de les rendre heureux ! Que pourrait-on faire de mieuxpour les rendre malheureux ? - Comment ! ce qu'on pourrait faire ? Il ne faudrait que leur ôter tous ces soins' ; car alors ils severraient, ils penseraient à ce qu'ils sont, d'où ils viennent, où ils vont ; et ainsi on ne peut trop les occuper et les détourner.
Etc'est pourquoi, après leur avoir tant préparé d'affaires, s'ils ont quelque temps de relâche, on leur conseille de l'employer à sedivertir, à jouer, et à s'occuper toujours tout entiers.
Que le coeur de l'homme est creux et plein d'ordure!» (fragment 129)Ainsi, malgré les progrès scientifiques et technologiques qui ont une place très importante dans notre société de communicationactuelle, Pascal nous rappelle que «l'homme passe infiniment l'homme».
L'incapacité que l'homme éprouve à dépasser sacondition l'accable, et il reste ainsi à mi chemin entre la bête et l'ange, à la recherche d'un juste milieu, tout tremblant de peur,dans l'immensité de l'univers.***La lecture des oeuvres de Blaise Pascal rappelle donc à l'homme une partie son histoire, son errance dans l'univers, sa fragilité, samisère, alors que celui-ci pense être parvenu à une certitude, à une vérité.
Cette lecture propose un retour sur soi-même, sur sacondition de roi dépossédé.
«Ô monde! Ô moi même et ma destinée très honteuse!»: la voix de Tête d'or bourdonne et vibredans le creux de l'oreille.
Un frisson parcoure l'échine de l'homme qui tremble, ce monstre incompréhensible..
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