CM- HISTOIRE ET PHILOSOPHIE DES SCIENCES
Publié le 18/11/2024
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CM- HISTOIRE ET PHILOSOPHIE DES SCIENCES
Objectif vise à comprende le champ de la philosophie analytique.
D’après la logique et le langage de frege et ses potes, des anglais et des
allemands ont créé le mouvement cherchant la précision et en quoi le langage
diffère.
Philosophie continentale : plus grosse insistance sur l’histoire de la philo.
Carnap et Kaiïserliep(hyper mal écrit)
Surtout sur le rôle de la théorie dans les sciences.
Dans les débats contemporains
Qu’est-ce que la science ? Définir le concept pour en aborder les
problèmes ? Comment distinguer la science d’une non-science.
Peut
sembler
Est-elle unifiée
A-t-elle un but ?
Problèmes :
Comment distinguer la science et la non-science ? Débat entre
scientifiques qui ne se reconnaissent pas.
Auteurs ont des avis divergents.
Science descriptive=observation de faits sans emporter valeurs dans
annonces ou normative=dit comment les choses devraient être ?
Comment distinguer l’importance d’une observation, lesquels ne pas
prendre en compte ?
HUME, Traité sur l’entendement humain.
Distinguer ce qui est et devrait
être.
Sans quelque chose ajouté, on ne peut pas définir comment le
monde devrait être.
La science doit faire appel à l’aspect normatif.
A-t-elle un but ?
Comment distinguer la philosophie d’autres pratiques humaines ?
Quel est son objet ?
La différence entre la pratique de la science et la réflexion sur la science.
Le problème du CHANGEMENT et du PROGRES.
La physique d’Aristote
fonctionne très bien au niveau de l’œil nu.
A donné lui a des théories
comme l’astronomiques de Ptolémée.
Dès que camescope, la question
était faut il refaire toute la théorie ? Ce qui s’est fait de Copernic à
Newton.
Puis celle de Newton a fonctionné pour les télescopes qu’on avait.
Dès que plus puissant, nouvelle théorie quantique.
La portée de la théorie.
Que cherche-t-elle a prédire, comprendre, etc.
Questions épistémologiques abordent qu’est ce que la connaissance.
Etude
des entités qui existent
24 septembre
Le modèle standard :
L’origine européenne de la science comme pratique moderne et spécifique.
L’unification de l’observation et la représentation mathématique.
L’émergence d’une seule méthode scientifique (du 15ème au 17ème siècle)
Avec le modèle standard,
-
La science serait cumulative / Cependant, la science moderne est
marquée par des ruptures.
Elle serait désintéressée
Une seule description de la réalité/ Cependant, pourquoi et comment des
civilisations ont pu évoluer avec d’autres représentations.
Certaines figures auraient arraché la connaissance de l’obscurité
(Copernic, Galilée, etc…)
Car ce modèle permet enseignement facile sciences modernes, on a de plus
ne plus de mal à considérer d’autres modèles.
Pourquoi revoir le modèle standard ?
-
-
Celui-ci serait erroné.
Le modèle khunien remet en question le modèle
standard.
KHUNE insiste sur la rupture.
Pas cumulative mais rupture.
Cette
rupture est objective, désintéressée, et accepte une diversité d’actes.
Implique une communauté de chercheurs.
Comprend diverses méthodes
et descriptions.
TABLE d’EDDINGTON :
On dépend de la connaissance des experts qui n’expliquent pas à la masse
(pas de démocratisation
Alfred Sellars : Image manifeste / image scientifique.
Image scientifique, Eddington pense que l’image scientifique est celle qui
représente
FREGE et RUSSELL, WHITEHEAD.
Au début du XXème siècle, on remarque une tentative de refonder les
mathématiques, sur un syst.
justifié.
De nouvelles logiques ont été inventées
(propositions, etc.).
La philosophie moderne a été développée dans cet élan.
Formulation théorique basée sur le modèle standard.
L’objectif est de
définir et délimiter la « connaissance ».
Seule connaissance est empirique
et seule méthode l’induction (= raisonnement d’un cas particulier vers les
lois générales, cygne C1 ?).
Une des premières tentatives s’appelle l’EMPIRISME : toute connaissance
légitime provient en fin de compte de l’expérience sensorielle.
Une inférence est une forme de raisonnement qui crée un lien entre une
information et une autre.
Ce sont des liens de raisonnement (=totalité des
inférences, des prémices aux conclusions)
-
Inférence matérielle : je vois les deux cygnes donc je les relie entre eux.
Inférence formelle : Liens entre concepts qui s’imbriquent.
Leo est un lion
donc Leo est un mammifère.
correspond au sens commun.
L’objectif de la philo des sciences, c’est de formuler la logique et la structure de
cette méthod, notraent MOODLLLLLLLE
Pour se faire, il faut distinguer entre language censé et non sens.
(problème de
démarcation)
LANGAGE SENSÉ : OBSERVATION BASE SUR LES FAITS EMPIRIQUES.
Seulement
le langage empirique factuel permet l’induction.
Tout autre langage n’a pas de
signification.
Questions sociales etc.
ne sont pas proprement factuelles.
Voulaient vendre la
philosophie scientifique.
Pour eux, par le biais de la percée inductivisme, on peut
enfin construire une science solide et infaillible.
Dès que le langage est purifié, , on peut utiliser l’induction et l’enrichir par la
déduction (= argument valide pour laquelle on s’intéresse à la forme mais pas au
contenu.) C’est donc à l’observation de fournir le contenu, avec assez de
situations distinctes, pour justifier la déduction.
Lois scientifiques déduites par des observations généralisées.
Généralisations permettent définir situation idéales (les meilleures condition
spour prédire et expliquer les phénomènes).
La philo des sciences permet de
définit les conditions de vérification.
Le Cercle de Vienne avec RUDOLF CARNAP, MORITZ SCHILICK, OTTO
NEURATH
Une forme sophistiquée de cette philosophie des sicnes positivisme logique
Les chercheurs de Vienne sont partis au RU et USA pour continuer à développer
le Pos.Log.
-
PriEngage une attaque de la métaphysique traditionnelle
Usage disctinction analytique/ synthétique par KANT
Théorie vérificationniste de la signification.
Critique de la raison pure, KANT : Comment peut on avoir des mathématiques
justes et un eocnception de la Nature.
Fait donc la distinction entre :
à priori ( fondement de notre connaissance indépendement de l’expérience) , A
posteriori (grâce à l’expérience).
Quand on les formule comme de sjugements, entre la disticntion analytique
synthétique.
HUMES toute idée abstraite n’est qu’une copie des expériences passées.
Analytique, prédicat(=ce qui est dit par rapport au sujet) est contenu dans le
sujet (= ce dont parle le jugement).exemple : Pour KANT, la déf d’un corps est
d’être étendu, mais n’a pas forcément un poids)
Une proposition est synthétique si elle amplifie le sujet.
Positivisme logique , distiction permet épuration du langagen car elle crée aussi
la pssibilité de parler des math dans un cadre empirique.
Les mathématiques et la logique sont analytiques et donc ne décrivent pas le
modne, mais peuvent être appliquées à l’analyse et la représentation du monde.
TD HISTOIRE ET PHILOSOPHIE DES SCIENCES
1.
Sujet
2.
Affirmation principale
qu’il dit et pense
3.
Arguments
4.
Conséquences et Corolaires
qui l’enrichissons et le remettons en q
5.
Pbs et oppositions
seulement l’auteur, ce
c’est nous
TXTE
1.
Relation entre valeur et science.
Légitimité des fondements de la science.
La cohérence de la science.
2.
La science émet des jugements de valeur dès qu’elle considère ce qui est
objectif ou non.
La culture catholique valorisée une science correspondant aux idéaux chrétiens.
Le modèle galiléen hérétique a été sévi.
3.
La science ne peut pas elle-même justifier ses valeurs
4.
Tout discours dépend des axiomes ( =
2 ème partie du paragraphe, si on sépare valeurs et objectivité de la science
Dans le posivitisme logique, propositions morales contiennent émotivisme .
Propositions morales proposent une préférence, dégoument.
Dire que c’est bien
ou mal ne contient pas de valeur de vérité.
Empiristes peuvent se concentrer sur
le factuel, et de parler de la morale comme de quelque chose de factuel, en tant
qu’aspect de notre psychologie et notre aspect à vivre en communauté.
Ce qui
est bien et ce qui est mal devient arbitraire.
Pour Weil, l’objectivité de la science laisse un vide, le problème entre savoir et
pouvoir, connaissance et puissance, et nous alerte face aux dérives de la science
intéressée.
LANGUAGE VERITE ET LOGIQUE , p-42 à 45.
Sujet : Les critères de vérifiabilité.
La validité des énoncés.
La légitimité de
l’induction.
L’affirmation principale doit guider le sujet, la clé de comment on lit le texte.
Dans ce cas : Le crière de vérifiabilité permet de décider.
Sens fort : vérifiable empiriquement
Sens faible : probable car on peut concevoir une méthode de vérification.
On
peut pas aller derrière la Lune pour voir si il y a des montagnes ou pas mais on
peut imaginer une méthode scientifique pourla rejoindre.
Seulement ce qui est vérifiable peut être vrai ou faux sinon pas de valeur.
Tautologie : connaissance connue car le prédicat est contenu dans le sujet.
Pseudo-proposition : on peut être tromper par la grammaire d enotre langage.
Mais en réalité se peut être vide de sens.
Utilité Phe, établir des critères de
distinction.
Quark : particule sub atomique.
Théorie physique disait qu’il fallait un objet d’une
telle force pour vérifier la théorie.
Donc chercheurs ont défini un protocole et ont
réussi.
possibilité du progrès scientifique.
COURS DU 08/10 CM3
Problèmes du cours :
-
Problème du scientisme :
SCIENTISME : Idée que seul le langage et les méthodes de la science sont
valides.
Ne soutient pas le libre arbitre car pas objet de science.
Ça ne sert
à rien de parler....
»
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