Chapitre III : Le temps

« Chapitre III : Le temps Bergson Le langage nous masque la réalité - Dissimule la diversité concrète du réel derrière l’unité de concepts généraux - Masque le caractère de la réalité derrière des mots et des idées figées L’art nous donne accès à la réalité - la contemplation de l’œuvre d’art invite à la contemplation du monde - l’œuvre d’art permettrait d’accéder à l’intuition du réel : la connaissance de la durée Deux façons de se rapporter au monde Perception temporelle du monde -> L’essence du temps véritable (la durée) est d’été en flux continu. -> L’œuvre d’art suscite des Approche spatiale du monde -> l’espace est à l’infini émotions non modélisées par le en unîtes discontinues et distinctes langage: sa contemplation nous reconnecte avec notre durée -> le langage est lié à une intérieure approche spatiale du monde.

Les Perception temporelle du monde mots découpent la réalité (continuité du réel) Approche spatiale du monde (segmentation du réel): arbre, pomme, maison —> La pensée de Bergson se fonde sur un questionnement à propos de la nature du temps. —> il s’agit d’interroger l’essence du temps… —> or l’essence du consiste dans un rapport problématique entre temps et existence. Le temps est de qui échappe toujours à l’être (l’existence), il est instable et fluctuant. Le paradoxe du temps selon Augustin -> Nous avons une compréhension globale du temps >le sentiment de savoir que le temps existe -> Mais on se heurte à des difficultés des qu’on cherche à l’expliquer. >le passé n’est pas, n’est plus >le futur n’est pas encore > le présent passe = n’est pas non plus le temps n’existe pas —> En toute rigueur, on ne peut pas dire que le temps « est » il advient à partir du passé il devient à partir du présent. »