CHAPITRE 3, ESSENTIALISME CULTUREL ET TRANSCENDANCE, « IDENTITÉ ET TRANSCENDANCE » DE MARCIEN TOWA

« CHAPITRE 3, ESSENTIALISME CULTUREL ET TRANSCENDANCE, « IDENTITÉ ET TRANSCENDANCE » DE MARCIEN TOWA Les deux premiers chapitres ont montré intentions méthodologiques de deux auteurs, Bylden et Senghor.

Ils caractérisent l'état de la culture donné fondé et formulée, puis considéré globalement comme un tout sous l'angle de l'éternité et de l'intemporalité.

Senghor explique la passivité du « l'âme noire comme émotionnelle-féminité, tandis que Bylden se réfère à « l'âme noire », comme celle qui fait référence à Dieu. Dans ce chapitre, nous observons la réponse de Towa sur la façon dont la conception statique de l'âme noire en a fait une essence intemporelle à que l'essentialisme doit céder la place à un processus créatif utilisant des points critiques pour expliquer. Premièrement, alors que « l’essence » signifie ce qui est dans sa nature, Blyden et Senghor conçoivent l’âme noire comme une essence, terme qui décrit dans sa globalité la nature unique de tous les africains.

Pour repondre, Towa cite l’essentialisme culturel, l’essentialisme générique et l’essentialisme spécifique comme des formes de confinement de la nature humaine, car Herbert Marcuse soulignera le côté subversif de l'essence et des universaux.

Dans ses efforts pour montrer à nouveau le dynamisme de l'essentialisme, il apporte une correction sur l'essence comme n'étant pas seulement une entité qui subsiste mais une possibilité infinie, absolument universelle, d'une réalisation partielle ; c'est-à-dire que l'essentialisme confine chaque fois que l'essence coïncide avec un état de fait.

Towa présente les analyses.... »