« Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas les faire, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles. » SENEQUE

« les jambes.

Nous arrivons donc au moment où, nous voulons défier les lois de la nature et voler.

Nous nous disons (comme Sénèque) que les choses ne sont pas difficiles et qu'elles le sont seulement parce que nous n'osons pas.

Donc, nous repoussons nos limites et nous osons voler tel un aigle majestueux au dessus la vallée, frôlant la paroi rocheuse.

Le drame survient lorsque certains la frôlent d'un peu trop près.

Ce test s'est donc avéré non fructueux.

Si bien leurs familles qu'eux en ont payé les pots cassés.

Ils n'étaient tout simplement pas à la hauteur pour un défi de cette envergure, comme quoi, le fait d'oser, ne facilite pas toujours la chose.       Ensuite, une question se pose, et si cette citation n'était pas qu'une simple phrase mais bien un reflet de notre société actuelle où nous ne cessons de dénigrer le travail et/ou la réussite d'autrui ? En effet, à force de se faire rabaisser, décourager,...

nous n'osons plus rien oser de peur d'être juger.

Telle est la situation chez la majorité des jeunes, aux jours d'aujourd'hui, ils se disent deux fois perdant.

Une première fois, en testant de repousser leurs limites et en tentant d'atteindre un but fixé.

Une deuxième fois, en échouant et donc en s'attirant les moqueries de leurs « amis ».

Et même lorsqu'ils atteignent leurs objectifs après avoir enfin oser les faire, ils se disent perdants suite aux réactions négatives et de jalousies des autres.

Mais finalement, à quoi bon écouter les critiques des autres et sans cesse se diminuer par rapport aux autres ? C'est justement ce que mon équipe de basket et moi- même nous nous sommes dit lorsque nous participions à un tournoi internationale à Knokke. En effet, nous observions nos adversaires pour le match du lendemain qui étaient occupé à donner une correction à d'autres sur le terrain.

Dépités, nous rentrons à l'hôtel en pariant sur le score de notre défaite.

C'est à ce moment que notre coach nous rappela le bon état d'esprit à avoir pour préparer une rencontre comme celle-ci.

Nous nous sommes encouragés et entrainer pour vaincre cette équipe en se disant : « Pourquoi ne pas essayer de gagner ? Après tout nous n'avons rien à perdre, il nous suffit d'oser repousser nos limites et jouer mieux qu'eux ! » Et c'est avec certes, un peu de chance mais aussi avec conviction et courage que nous avons réussi gagné ce match important pour la suite de notre tournoi ! Nous avons osé, et nous avons gagné.

Telle fut. »