Bonheur, intérêt et devoir
Publié le 08/06/2009
Extrait du document
Le bonheur, à la différence du plaisir, suppose un minimum de continuité, de durée. Les morales qui tendent à séparer âme et corps (Platon, pères de l'Église) ont considéré que la question du bonheur concerne l'âme au premier chef. Les morales utilitaristes ont, quant à elles, voulu faire résider la clef du bonheur dans un habile calcul des plaisirs et des peines. Kant et Freud ont souligné, chacun à sa manière, que le devoir n'est pas agréable aux instincts et s'oppose nécessairement à leur pleine satisfaction. •
Liens utiles
- Devoir de philosophie sur la question : La recherche du bonheur est-elle un idéal égoïste ?
- Le devoir empêche-t-il mon bonheur ?
- Ai-je le devoir de faire le bonheur des autres?
- Le bonheur peut-il être un devoir ?
- Expliquer le texte suivant : Kant - Devoir morale et Bonheur