Apprend-on à être libre ?

« Philosophie Charles de Montesquieu a dit, "La liberté est le pouvoir de faire tout ce que la loi permet.

Cela signifie de ne pas être harcelé ou même empêché de dire ce que vous pensez sans crainte.

Il est compris comme étant libre de contraintes extérieures. Dérivé du latin liber , le sens originel de la Liberté est fondamentalement l'état libre d'un être humain qui n'est ni esclave, ni prisonnier, ni déchu, c'est-à-dire libre de disposer de son corps et de participer activement à la vie de la cité.

Un maître ou un citoyen à la liberté a donc d'abord été un état social et politique garanti par un statut, c'est-à-dire des droits et des devoirs, avant d'être compris par les philosophes et les théologiens comme une caractéristique purement psychologique et morale de l'individu.

Le concept d'apprentissage est directement lié à la liberté.

L'apprentissage est le processus par lequel une personne acquiert des connaissances, acquiert une compétence ou développe une attitude.

La liberté semble consister à ne suivre aucune règle.

Il y a cependant un paradoxe, car le concept d'apprendre implique un besoin de faire un effort pour développer ses connaissances.

Apprendre, c'est apprendre.

Au contraire, la liberté semble naturelle, spontanée, libre de toute contrainte.

Donc, devoir apprendre à être libre, c'est ne pas être libre en premier lieu. Alors il n'y aura pas de liberté.

Il est également admis que les humains doivent être éduqués.

Sinon, il n'est pas vraiment libre, mais il obéit à ses volontés.

La liberté estelle donc une notion naturelle et donc inhérente à tout être humain, ou au contraire y a-t-il un certain besoin ou une obligation de l'apprendre, ou un besoin de l'acquérir tout au long de la vie ? comme un droit immédiat et inhérent, et dans la deuxième partie le besoin d'émancipation demande à être étudié, et la troisième partie est de voir si la liberté vaut la peine d'être apprise. I.

La liberté comme droit immédiat et inhérent La liberté est une dotation immédiate de conscience.

Il se connaît sans preuve émotionnelle.

Il suffit de vouloir ou de vouloir quelque chose pour manifester ainsi sa liberté.

Si la liberté signifie faire ce que vous voulez, comme tuer quelqu'un, et être libre signifie être le plus fort et contrôler les autres, alors tout le monde est né avec une capacité physique.

Il semble que vous puissiez être "libre" tant que vous l'avez. Sartre dirait que la liberté fait partie intégrante de l'être humain.

Vous ne pouvez pas le nier.

Comme il l'a dit, "L'homme est condamné à être libre.

(L'existentialisme est l'humanisme 1946).

En d'autres termes, nous n'avons aucune liberté, que nous soyons libres ou non.

Nous savons profondément que même si nous nous privons de notre liberté, nous pouvons toujours agir en d'autres termes, par exemple, par une "mauvaise éducation" qui nous prive de notre libre arbitre et nous conduit à un comportement mauvais et honteux.

Autrement dit, nous sommes libres.

Si nous apprenions à être libres.

La liberté peut ainsi être vue comme innée chez l'homme (« L'être humain naît libre et égal » confirme aussi la Déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen).

La liberté est la première condition de notre existence : La liberté ne s'apprend pas : elle n'a besoin d'aucune condition préalable à l'existence.

c'est dans le choix.

Je suis totalement libre de choisir entre deux choses. Je ne respecte aucune réglementation.

Cette liberté, appelée liberté d'indifférence, ne nécessite ni éducation ni apprentissage. II.

La nécessité d'une libération requiert un certain apprentissage En fait, si nous pensons qu'être libre n'est pas forcé, cela signifie que nous ne sommes libres que lorsque nous sommes seuls.

On peut en déduire que la société est un obstacle à la liberté.

En ce sens, vous n'apprenez pas à être libre.

A l'inverse, lorsque nous apprenons à vivre ensemble (à former.... »