André Lalande : La véritable personnalité morale, que l’on confond avec l'individualité, s’en dégage au contraire par degrés, à mesure qu’un être progresse dans la voie de la ressemblance et de l’unité humaine.
Publié le 07/02/2016
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Il est souhaitable que tout homme soit, en mêne temps une individualité originale, méritant l’attention et la sympathie, et une personnalité morale, identique à toutes les autres et méritant le respect.
«
304
LA DISSERTATION PHILOSOPIIIQV
C.
- de
souvenirs
et
d'aspirations
1
3e
partie.
- A l'individualité ainsi comprise on peut
opposer
la personnalité morale car
A.
- les
devoirs
qui s'imposent à un homme s'imposent
aussi aux autres
(il faut)
2
13.
- les
qualités morales,
les vertus, sont ou plutôt doivent
être
identiques
en tous les hommes (ex.
courage, justic,
cliari
té).
C.
- S
>
il y a encore (les divergences sur le contenu, ou la
ma! iirQ, (le la moralité,
011
peut peiiser que ces divergences
s'atNnueront ; que l'humanité
finira par s'accorder sur les
mêmes vérités
morales,
comme sur les mêmes
vérités scienti-
fiques
.
4C
partie.
- Dès lors, l'homme qui se développe morale-
nient « progresse dans la voie de la ressemblance et de
l'unité humaine».
En lui s'atténuent les différences
A.
- de
famille
B.
- de
nasse
et de Parti
C.
-
de nation
et de
race
Conclusion.
- Il est souhaitable que tout homme soit
en
m' ne
temps une
individualité originale,
méritant l'attention
et la sympathie, cl.
une
personnalité morale,
identique à toutes
las autres, et mri an t le respect .
.
Ps.
A'., pp.
697-703.
2.
J'/,.
S.
et M., pp.
229-230.
3.
Ph.
S.
et Al., pp.
257-261.
4.
Ph.
S.
et M., p.
647.
5.
Ph.
S.
ii M.,
p.
640; p.
647..
»
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