Analyse du Candide de VOLTAIRE .

« personnages on a l'impression que tout va pour le mieux grâce à des indices.

Dès le début du conte, on voit que laphilosophie se met en place.présentation des personnagescaractéristique du conteintention de l'auteur à traversl'ironie I.

PRESENTATION DES PERSONNAGES Candide est le 1 er personnage qui nous est présenter, sa physionomie, qualité intellectuel esprit simple=naïf té,modestie.

Candide = pureté.

La fin du paragraphe s'appuie sur ses origines (71 quartiers=7 ou 8 générations).

Un filsnaturel.

M Le baron est un des plus puissant (pouvoir) signe extérieur de sa richesse (château, chien,...)apparemment le personnage est riche puissant c'est le plus puissant.La Baronne :volume (350 livres =175 kg)apparaît comme une exelante mère de maison, on insiste sur le respect.

Cunégonde :fille (fraîche, grasse) aucunrôle intéressant mais représente la sensualité.

Pangloss :il arrive en dernier, représenté comme une personneélogieuse, il est représenté à travers ses raisonnements et des exemples qu'il donne (lunette et les jambes) II.

CARACTERISTIQUE DU CONTE Un conte commence toujours part "il était" une fois.

Le conte nous met en scène un monde petit protégé de tout,hyperbole, tonalité émerveiller.

On reconnaît un conte par il était une fois et là on a il y avait.

Une époque imprécisele lieu pas très bien préciser un pays pas trèsconnu, les sonorités du nom, un monde lointain.

On a le château de la belle au bois dormant qui ressemble.

On a uncontexte aristocratique gens riche, règle sociale bien établi.

C'est un monde ou tout va bien, beaucoup de superlatifet de qualité. III.

INTENTION DE L'AUTEUR On a des choses qui sont mis ensemble et l'on s'aperçoit que ce n'est pas compréhensible. o Rapprochement logique La Baronne est respecter par son poids=fausse logique et ici le pouvoir et la considérationne sont pas justifiable.

Le Baron puissance car il a un château. o La confusion des plans Puissance du baron est contestable grâce à ce à quoi elle est dû.

(les chiens de bas couraffamé).

Le viseur du village devient aumônier, il apparaît comme un grand seigneur alors que c'est un petitseigneur.

Ce n'est pas une critique de grand c'est une critique de vivre dans un monde réel. o Les absurdités Les absurdités se révèlent dans la théorie du lecteur, elles sont représenté logiquement, structuréet avec les effets.

La fonction du nez : respirer ; lunette :améliorer la vue On a des révélations qui sont fausse ; lerôle des jambes : marche ; chausse : protéger.

Pangloss résonne de manière incohérente.

On ne peut pasconsidérer sa conclusion car tout ce qui conduit à la conclusion est faux.

Tous ses décalages attirent le lecteur seforme d'anomalie qui sont mis en place pour attirer l'attention du lecteur et que le monde est un monde d'illusion,illusion du pouvoir, richesse, rang social, raisonnement qui fonctionne à vide.

Candide ne connaît que se monde là,ce qui explique qu'il perçoit tout d'une façon, élogieuse.

Voltaire met en place dans le chapitre 1 un monde fermécelui du conte qui fonctionne sur un système de valeur faux.

Pangloss est le plus grand philosophe de la Terre car ildonne le 2e degrés de bonheur à Cunégonde.

Pour éveiller Candide, il faut le jeter dehors, des illusions pour qu'ilpuisse mettre à l'épreuve l'enseignement de Pangloss en mettant à la réalité.

Voltaire à 2 buts : l'objectif du paradis- l'objectif philosophique La séparation va rompre le lien amoureux et il va la rechercher dans l'histoire (rebondissement).

Sur le planphilosophie il va affronter le monde celui de l'enseignement de Pangloss. Question : Sens de la formule finale ''il faut cultiver son jardin''? A première vue, les derniers mots du texte semblent une leçon de résignation.

Candide va épouser Cunégonde alorsqu'il n'en a pas envie, sur sa petite terre, la petite société va vivoter...

c'est à dire connaître une prospéritématérielle qui n'a rien d'exaltant.

Voltaire veut en fait dissiper un certain nombre de mirages...

Le jardinier philosophede Ferney Voltaire exilé à Ferney va cultiver son propre jardin.

Il le cultivera à merveille: asséchant les marais,multipliant les innovations agricoles.

Tous les biographes l'ont noté :Voltaire était roi en son domaine.

Il donneradonc luimême l'exemple d'une retraite heureuse et d'une œuvre féconde sur le plan économique.

La philosophie dujardinier La Sagesse pragmatique ( qui fonde ses jugements ou ses comportements sur l'expérience acquise et nonsur des grandsprincipes théoriques) prônée dans la conclusion du conte est un peu courte.

Il est cependant essentiel de retenir : ∙Le refus de la métaphysique: la parole du derviche est très explicite à ce propos: il est vain de s'interroger sur desquestions qui ne relèvent pas de notre entendement, auxquelles nous n'aurons jamais de réponses.

(Candiderenonce aux belles paroles sans prise dur le réel, à l'angoisse métaphysique pour se consacrer à une tâche modeste. »