Analyse de texte: Texte 5 page 281, L’expérience Analyse de Texte Kant, Critique de la raison pure
Publié le 12/01/2014
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FAUCON Lundi 16 décembre 2012 Edwin TS4 Devoir Maison de Philosophie Texte 5 page 281, L'expérience Analyse de Texte Kant, Critique de la raison pure Emmanuel Kant est un philosophe d'origine Allemande et répond dans ce texte à la problématique, Quelle est la nature de la connaissance ? Il se pose cette question dans La critique de la raison pure, oeuvre écrite par lui-même. Kant détermine ce que la raison peut faire et ne pas faire à travers une critique de la raison pour déterminer ce qu'elle est la nature de la connaissance. Pour Kant l'ensemble de...
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la connaissance sont l'intuition et les concepts mais que cependant il faut se débarrasser de
ces connaissances empiriques pour atteindre la connaissance pure, ce qui détermine la thèse
de Kant.
Cette thèse s’axera sur deux parties, la première déterminant la connaissance et sur
quoi elle se base et la seconde sur ce qui fait qu’elle devient pure et comment atteindre la
connaissance pure.
La connaissance d’après Kant, est qu’en toutes connaissances il faut distinguer la
matière, c’est-à-dire, l’objet et la forme, c’est-à-dire, la matière dont nous connaissons
l’objet.
L’empirisme, est la doctrine selon laquelle toutes les connaissances sont basées sur
l’expérience.
Kant admet que c’est notre faculté de connaitre qui organise les connaissances
et non points les objets qui les déterminent.
On peut citer cette expression : « Nos
connaissances ne dérivent pas de l’expérience ».Ainsi, les prépositions car et si montrent
l’évidence que la connaissance n’est pas indépendante de l’expérience et ne dérive pas de
l’empirisme.
Il n’est de connaissance qu’à partir de l’expérience.
L’expérience est la matière
sensible de la connaissance, sa base concrète.
Néanmoins, le texte prouve que cette
expérience est toujours construire à priori par l’esprit.
Les objets frappant nos sens, des
réalités sensibles se présentant dans la perception avec un caractère stable.
Il y a toujours
dans la perception un aspect passif et subi, même si on organise et unifie son expérience.
Ce
sont des représentations virtuelles mais intellectuelles pour former la connaissance des
objets, l’expérience.
Toutes connaissances commencent avec les expériences dans le temps.
L’a priori est la connaissance indépendante de toutes expériences, c’est la
connaissance pure.
La raison, ensemble des principes à priori dirigeants la connaissance,
c’est tout ce qui est, selon Kant à priori dans les pensées.
C’est la faculté de ramener à
l’unicité les règles de l’entendement au moyen de principes.
La connaissance est dénouée de
l’expérience et des objets, elle se rapporte à l’entendement afin de procurer à priori et par
concept aux connaissances variées de cette unicité qu’on peut appeler connaissance
rationnelle.
Il existe tout de même une différence est à priori et pur, l’a priori désigne
l’indépendance de l’expérience et pur désigne la non appartenance au sensible.
Selon Kant la
métaphysique est une connaissance prétendant s’élever au-dessus de l’expérience.
Les
connaissances ne sont pas toutes résultantes de l’expérience.
La connaissance, d’après Kant,
est un assemblage, un ensemble de formé de deux éléments, le premier étant intuitif et le
second résultant du pouvoir à priori de l’esprit.
« En effet, il pourrait bien que notre
connaissance expérimentale fût elle-même un assemblage.
».
L’impression et l’expérience
donne accès à la connaissance pure.
Impossible de savoir ce qui compose cet assemblage et
de séparer impression et expérience sans distinguer la connaissance.
Mais il est possible de
séparer cette addition de la connaissance que renvoi l’esprit qu’avec la connaissance pure à
l’aide du pouvoir à priori de l’esprit.
Les sources de la connaissance sont l'intuition et les concepts mais que cependant il
faut se débarrasser de ces connaissances empiriques pour atteindre la connaissance pure.
La
connaissance ne peut se comprendre dans une perspective uniquement empiriste.
Kant
affirme cette thèse et la défend en mettant en avant la connaissance empiriste montrer les.
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