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Publié le 22/10/2012

Extrait du document

Le genre théâtral compose une grande partie de la Littérature depuis l'antiquité jusqu'à aujourd'hui. Le théâtre est une forme vivante de littérature, qui se prête à défendre des idées, de par ses dialogues qui peuvent adopter une forme argumentative, et par sa double-énonciation. Peut-on, en revanche, considérer le théâtre comme un bon support pour refléter l'absurdité du monde ou tente t-il de lui donner un sens ? Il est vrai que la fonction principale du théâtre est de divertir, mais le théâtre n'est pas lu ou écouté de façon assez attentive par le public pour qu'il puisse prendre conscience que la mise en scène est dans certaine pièce le miroir de la société tourné de façon dérisoire. Selon vous, le spectacle théâtrale relève t’il l’absurdité du monde ou cherche t’il a lui donner un sens ? Nous devrons nous demander dans un premier temps si le spectacle théâtrale reflète t-il l'absurdité puis, dans un deuxième temps si le spectacle théâtrale cherche t-il à donner un sens au monde. Le théâtre de l’absurde est un genre très différent des autres. En effet il relève l’absurdité de l’homme mais aussi bien du monde en général. Les personnages se sentent souvent étrangers dans le monde, pour eux l’univers a perdu toute signification. Même les événements les plus graves n’ont pas forcément d’impact sur la personne. On ressent une réelle solitude comme par exemple dans « le malentendu « d’Albert Camus. En effet Martha et sa mère son isoler dans la montagne ce qui réduit leurs contact avec l’extérieur. De plus elles tuent les visiteurs ce qui les insolents encore plus. Ceci est un véritable « cercle vicieux &raq...

« nommé Godot qui ne viendra en fait jamais.

En effet les personnages attendent ce fameux Godot sans indication de temps, ils sont là et attendent sans fin : «E : Allons nous-en.

V : On ne peut pas.

E : Pourquoi ? V : On attend Godot ».

Les personnages montrent donc aucun contrôle et sont diriger par le temps : « E : C'est vrai.

Alors comment faire ? V : Il n'y a rien à faire ».

Dans cette pièce les discours entre les deux vagabonds tournent au ridicule.

On à l'impression que leur attente infinie commence à les rendre un peu fou, leurs discussions ne rimes plus à rien.

Pour finir on remarque une difficulté de s'exprimer, le langage ne sert plus à rien.

Son but premier de communiquer à l'air d'avoir disparu.

Les personnages ne peuvent donc plus exprimer leurs sentiments, leurs phrases sont vides de sens.

Le langage est devenu inutile, comme dans « La leçon » par exemple.

Dans cette pièce un professeur parle à son élève et cet élève est incapable de répondre même aux questions les plus simples : « Le professeur : Revenons à nos allumettes.

J'en ai donc quatre.

J'en tire une, il n'en reste plus que...

L'élève : Je ne sais pas, Monsieur ».

On a l'impression qu'il n'arrive plus à rien.

On remarque d'ailleurs une dégradation au fur et à mesure du texte, au début les explications du professeur sont assez clair et l'élève comprend bien mais plus le temps passe moins l'élève comprend et plus le professeur s'énerve ce qui rend l'explication plus confus. Le théâtre relève d'une part l'absurdité du monde mais essai de lui donner un sens.

Le classicisme est un genre dans le théâtre.

"Classique" et "classicisme" désignent les auteurs de la seconde moitié du XVIIe siècle, siècle d'or de la littérature, qui développent une esthétique fondée sur l'idéal de perfection.

Le classicisme français correspond à une période brève dans l'histoire de France, la première partie du règne personnel de Louis XIV (1661-1685).

Ce n'est pas une école, mais l'affirmation d'un consensus autour des mêmes modèles et des mêmes goûts.

Ainsi, le classicisme possède une poétique, un ensemble de règles établies par des théoriciens.

Il devient un modèle artistique à suivre.

Il donne donc un sens au monde grâce en partie à la règle des trois unités très connus dans le théâtre.

Cette règle se divise donc en trois parties, la première est l'unité de temps qui consiste à l'imiter la durée de la pièce à trente heures, l'action ne doit pas dépasser une « révolution du soleil » d'après Aristote.

Dans les derniers vers d'Horace, Corneille rappelle que toute l'action a eu lieu dans la même journée.

Son but est de garder la concentration du spectateur sur la pièce et non à le faire réfléchir sur la durée qu'il s'est écoulé entre deux actes par exemple.

La deuxième consiste à ce. »

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