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« La nature du monde extérieur est insondable » Arthur Eddington (astrophysicien britannique)

Publié le 17/01/2024

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« « La nature du monde extérieur est insondable » Arthur Eddington (astrophysicien britannique) Sonde= machine qui sert à explorer les fonds de quelques choses (les aspects les plus reculer) Le 31 mars 1889, à eu lieu l’exposition universelle a paris.

Le public parisien découvre une tours de 300m de haut, créée par un ingénieur Gustave Eiffel.

Il l’a décrit comme un arc de triomphe (édifice que les romains ont créé pour honorer une bataille militaire) à la gloire de la science moderne.

Cela est symbolique car au 19e siècle est par excellence l’optimiste scientifique.

Car les progrès de la science sont fulgurant, dans les domaines de la physique (loi de la gravité), dans le domaine de la biologie (théorie de l’évolution par Darwin et Wallas), mais aussi les sciences humaines (la sociologie par Auguste Comte (positivisme), l’économie, ethnologie, …). Le monde dans toute ses dimensions, grâce à la science, semble alors entièrement explicable par l’esprit humain. À rebours de cette optimiste l’astrophysicien britannique déclare: « La nature du monde extérieur est insondable ».

L’adjectif insondable signifie, se dont il est impossible de connaitre le fond.

La thèse de Eddington affirme que notre connaissance ne permet pas d’atteindre la nature profonde du monde, son essence (l’essence de quelques chose est se qu’il fait qu’elle est se qu’elle est.

Son contraire est l’accident ou encore l’attribut).

Le sens de la thèse d’Eddington, il ne s’agit pas seulement de dire que le monde ne peut pas être connu dans son intégralité, ce qui est évident. Mais qu’il ne peut être connu que superficiellement ou en surface.

Comment un savant peut-il affirme une chose pareille? Comment apprécie la valeur de notre connaissance du monde? Sommes nous condamner à ignorer sa nature profonde? À ne saisir que sa nature surface? Vivons nous que dans un monde d’apparence? Ou bien au contraire est-il légitime d’espérer que garce au progrès de notre connaissance du monde nous parvenions à nous approcher de l’essence du monde. I.

La connaissance du monde A.

L’invention du concept de monde On a coutume d’appeler le monde, qui est l’ensemble des réalités physiques, matérielles.

Le monde et l’univers au premier sens du terme sons synonymes.

Ce termes englobe la totalité de se qu’il existe à l’exception des réalités que l’ont tiens pour immatérielles, spirituelle.

Par exemple: Dieux, l’âme, les anges, … Les personnes matérialistes pensent par exemple que l’esprit se situe dans le deuxième cerveaux alors que les immatérialismes dans l’âme.

On appelle parfois ces secondes sortes des réalités métaphysiques.

Dans, Les causes du vatican de A.

Gide, Lafcadio se demande s’il est libre. Etymologiquement, la traduction du mot monde, vient du mot latin: mundus qui provient lui-même du mot cosmos.

Avant de renvoyer à l’univers physique mundus et cosmos désigne une parure, un ornement, un univers de maquillage (cosmétique).

Par extension, ils en sont venu à désigner l’ordre, harmonie, la beauté, l’équilibre. Comment et pourquoi le mot cosmos à t-il été ensuite désigner l’univers physique? Le 1er à avoir utilisé le mot de l’harmonie pour désigner l’univers physique, est Pythagore (5eme siècle avant JC).

C’est une décision philosophique car selon lui, l’univers constitue un ordre harmonieux, beau et équilibré indépendante de l’homme. Platon consacre cette nouvelle représentation du monde.

Dans le Timée, il dit: « il est né notre monde, très grand, très bon, et très parfait, ciel unique qui est seul de son espèce.

C’est une nouveauté majeur, de pensé qu’il y a un ordre du monde, qui obéit à des principe à des règles, des principes ou à des lois.

Les grecques n’ignorent pas tout à fait que le monde exprime un certaines ordre dans leur mythologie qui se reflète dans l’épisode du meurtre de Cronos, par son fils Zeus.

Grâce à ce Parricide Zeus assure le règne des dieux de l’Olympe qui incarne l’ordre et la raison sur les titans (Cronos dieux de la première génération = titan).

Dans la vision des premier Grecs l’ordre garantie par les nouveaux Dieux apparaît toujours fragile et menacer.

La nature est perçu comme une puissance instable / capricieuse.

À tout instant elle est susceptible de déchainer ses forces contres les hommes (tempête, mauvaise récoltes, …).

C’est pourquoi les hommes sont contraints de toujours chercher à apaisé la nature par l’intermédiaire de rite, de prière, … Pythagore et platon rompt totalement avec cette vision.

Pour eux l’ordre du monde de dépends pas de la conception des hommes.

Le monde présente une logique et un ordre autonome (indépendant des actions humaines) il ne dépends pas de nous que la nature obéisse à des lois.

Cette révolution dans la manière de ce représenter le monde produit deux conséquences: - L’univers devient susceptible d’une explication rationnelle.

Pour rendre compte des phénomène physique, il n’y a pas besoin de recourir à la volonté de dieux capricieux.

Donc le mythe n’est plus le monde d’accès privilégier au réel, désormais cette fonction revient à ce que les grecs appelle le logos (la raison).

En claire c’est l’acte de naissance de la science et de la philosophie.

Il faudra attendre le 18e siècle pour que la science et la philosophique se sépare. - Puisque l’univers constitue un ordre juste et beau, et bien oil représente pour nous un modèle.

Cela signifie que dans nos actions il s’agit d’imiter la parfaite régularité des phénomène de la nature. Conclusion: en inventant le concept pour désigner l’univers physique, pour désigner l’ensemble des choses majeure.

Les Grecs ont fait une avancer majeure.

Il décrète que l’univers constitue un ordre juste équilibré et rationnel.

Ainsi il affirme la nature connaissable du monde. B.

Le premier système du monde Ernest Renan, parle du miracle grecs, car en quelques dizaines d’année il invente la raison, l’art ou encore la démocratie. Il revient à Aristote (3eme siècle avant jésus Christ), la révolution initie par pythtagire et par Platon.

En effet, jette les base de la représentation du monde qui reste dominante en occident jusqu’au 17e siècle.

Cette représentation reçoit sa forme définitive dans l’oeuvre de Ptolémée (2eme siècle après JC).

Dans cette représentation du monde, le monde est composé de deux régions: sublunaire (sous la lune, entre la terre et la lune), et supralunaire (se qui est au dessus de la lune). La région sublunaire à l’allure d’une sphère immobile.

La région sublunaire à l’allure d’une sphère immobile situé au centre de la terre.

Les changements qui se produisent dans cette régions sont affecté par la contingence (contraire de la nécessité): se qui peut être ou ne pas être.

Il y a du hasard, tout n’est pas entièrement prévisible Et les réalité sublunaire sont soumise à la génération et à la corruption (naisse et meurt). Autrement dit c’est le domaine du périssable, du changement, … La région supralunaire incarne la perfection.

Elle a la forme d’un sphère close qui entoure la terre (comporte les planètes et les étoiles qui sont des réalités éternelles).

Les mouvements sont toujours circulaires (cercle est l’image de la perfection) et aussi ils sont régis par la nécessité.

Cette représentation du monde va survivre à l’escort des monothéismes.

La raison en est simple, ce système est remarquablement efficace. Parce qu’il rends compte avec précision de l’ensemble des éléments visible.

On croit souvent que la science moderne est fondé sur l’observation.

Tandis que les savants de l’antiquité et du moyen âge on se baserait sur l’imagination et sur la croyance.

La science moderne nait avec l’affirmation de l’héliocentrisme, or l’héliocentrisme est profondément contraire à cela.

A l’inverse la science antique et médiévale, tout les principes qui l’anime la représentation de ce monde: la différence entre le ciel et la terre la parfaite régularité des mouvements des astres, le caractère de ordonnées et péricable des réalité terrestres, tous cela sont les traduction de ce que nos organes sensoriels perçoivent du monde.

Les grecs développe la première représentation du monde que l’on peut qualifié comme scientifique.

Cette représentation ne fait pas appelle au mythe, mais uniquement à la raison, et au données de la sensation.

Cette représentation est fondée sur formidable confiance dans les facultés de l’esprit humain (ce que je vois, ce que je touche qui peut transmettre une certaines vérités). C.

La réfutation du relativisme Comment justifié une telle confiance envers les facultés de l’esprit humain.

Est-il si évident que l’esprit humain possède les faculté permettant de sondé le monde.

Cette confiance apparaît problématique pour plusieurs raisons.

Pour comprendre cela ont peut parler des sophistes.

Les sophistes ne sont pas des philosophes, se sont des professeurs ambulants: sur la rhétorique (l’art de persuader par la parole).

Comme par exemple, Protagoras (5eme siècle avant JC) et Gorgias.

Il n’y aucun livre de sophiste mais seulement des citations dans d’autre oeuvre tel que celle de Platon. Les fondateurs de la philosophie (Socrate, Planton et Aristote), ont beaucoup communiquer avec les sophistes.

Ils reprochent à ces derniers une conception instrumentale du discours.

Pour eux, le discours n’a pas pour fonction de dire la vérité, de dénoncer la vérité.

Mais de s’arroger, de s’attribuer un pouvoir, une influence.

Il.... »

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