« la liberté commence-t-elle quand le travail finit ? »

« travail permet d'évoluer dans l'échelle sociale, et nous procure du confort.

Le travail que l'homme a fourni durant notre Histoire, nous permet aujourd'hui de ne plus rester soumit a la nature et donc d'etre libre.       Mais le travail et la liberté sont-ils nécessairement opposés ? De plus, le fait de pouvoir travailler peut être une liberté.

Certaines personnes aiment travailler.

Cela distrait certaines personnes en souffrance, cela soulage la conscience d'autres personnes.

Le travail serait donc un moyen de soigner sa santé mentale. L'Homme survient à ses besoins en utilisant ses capacités physiques et mentales et cela, pour lui procurer un certain confort aussi bien physique mais aussi mental, car comme l'a dit Freud « la santé mentale est la capacité à aimer et à travailler en même temps ».

L'homme peut donc ressentir un certain plaisir à travailler.

Il serait donc libre de travailler.                                                                                     D'ailleurs, les romains inventeront le travail du corps, qui permettra le sport dans les jeux romains.

Ce culte du corps est lui aussi une contrainte mais nécessaire pour de bons résultats sportifs. Le travail se réduit-il uniquement à une contrainte ? L'Homme peut très bien éprouver du plaisir à travailler.

Ce peut être une passion, une raison de vivre...

En travaillant, il serait donc libre d'exercer ce qui lui souhaite.

Le travail deviendrait donc un loisir et non une contrainte, et donc une liberté        Le travail est donc nécessaire à l'homme, mais en quoi l'est-il véritablement à la liberté. Il est vrai que le travail est le seul moyen que l'homme ait pour assurer sa survie.

Nous serions donc moins libre dans nos choix car nous devons survivre, ce que nous influence dans nos choix.

Le travail est donc un effort pour survivre.

Mais puisque nous sommes forcés de travailler pour survivre, nous ne sommes pas libre. Mais par cette contrainte temporaire on obtient la liberté de profiter de notre argent gagner pour partir en. »