la zoothérapie
Publié le 18/12/2014
Extrait du document
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problèmes d’allergie ou que le seul problème pouvant être relier au cout.
Nous pouvons donc
constater que la plupart des répondants n’ont pas une opinion négative de la zoothérapie,
qu’ils croient qu’elle peut apporter des bienfaits et qu’elle ne comporte pas de véritable
risque.
C’est probablement le fait que ce soit une thérapie dite alternative qui repousse les
gens.
En effet, ce n’est pas une méthode conventionnelle et on l’utile d’habitude lorsque une
véritable psychothérapie, à elle seule, ne fait pas effet.
Autant dire en dernier recours.
La
psychologie ayant déjà faite ces preuves les gens préfères aller dans ce domaine d’abord
plutôt que de tenter quelque chose donc ils ne sont pas sure de l’efficacité
Nous avons cherché des études portant sur les connaissances et les perceptions des gens sur la
zoothérapie, malheureusement aucun spécialiste ne s’est intéresser à ce sujet.
Toute les études
que nous avons consulté tentait de nous faire voire les aspect positif ou négatif de cette
thérapie alternative.
Les avis sur le sujet sont en effet très variés.
Les autres articles que nous
avons consultés tentaient d’éduquer la population sur la zoothérapie.
On peut donc en déduire
que ses articles ont été écrit en considérant que les gens ne possédait pas assez de
connaissance sur ce sujet.
Par contre, la plupart de ces articles ne sont pas écrit de façon
impartiale.
Ainsi, il est difficile de dire si la population possède des véritables connaissances
sur la zoothérapie.
De plus, aucun spécialiste ne s’est penché sur les perceptions que
pouvaient avoir les gens possédant des connaissances sur la zoothérapie.
Les résultats de notre
étude n’étant pas représentative nous n’avons pu répondre à ses questions nous-même.
De plus, aucune études scientifique avec groupe témoin n’a été faite, il est donc impossible de
savoir avec exactitude si la zoothérapie apporte de véritable bienfait ou non.
En psychologie,
on ne considère pas la zoothérapie comme étant une véritable thérapie, mais comme une
thérapie alternative qui doit être accompagné d’une psychothérapie pour pouvoir apporter des
résultats positifs a l’état du patient.
Ainsi, il n’écarte pas la possibilité d’utilisé la zoothérapie
pour aider dans l’évolution de certain cas.
On remarque ainsi une certaine ambigüité, en effet
on ne veut pas considérer que la zoothérapie, à elle seule, peut apporter une forme de
traitement mais on ne veut pas l’exclure des possibilités non plus.
Cela représente un peu ce
qu’on a remarqué grâce à nos résultats.
Les répondants semblaient croient que la zoothérapie
possédait des bienfaits mais sans avoir vraiment confiance en celle-ci.
A la lumière des
résultats obtenues, il est clair que nous n’avons pas posé assez de question, ni les bonnes
questions.
De plus, l’échantillon n’est pas représentatif, ainsi, peu importe l’interprétation
que l’on peut faire de nos résultats ceux-ci ne nous apprendrons rien de concret ni valide..
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