LA POLITESSE ENVERS LES CAMARADES
Publié le 22/02/2012
Extrait du document
1. Lecture et entretien.
(Après la lecture de chaque cas, demander ce qui est « bien » et ce qui est « mal ».)
Henri arrive à l'école, rejoint un groupe de camarades, dit « Bonjour » à chacun d'eux et prend part à la conversation. D'abord il interrompt René puis peu à peu il s'anime, s'énerve, fait de grands gestes ; on n'entend plus que lui. « J'ai fait ceci... je suis plus adroit que... moi... je... »
Ceux qui ne sont pas de son avis essaient de parler mais à peine ont-ils ouvert la bouche que des flots de paroles et de cris couvrent leur voix... (Qu'est-ce qu'Henri fait de bien ? Et de mal ?)
Dans le rang des élèves qui entrent en classe, François s'aperçoit soudain qu'il a oublié son cartable au pied d'un arbre. Pour aller le chercher, il se retourne brusquement et bouscule Jacques qui est plus fort que lui. Jacques le regarde d'un air mécontent ; alors François s'excuse. Puis il marche sur les pieds de Pierre et fait tomber les cahiers de Jean-Paul. Ces deux-là ne sont pas satisfaits. Mais ils sont plus petits que François qui, ne songeant qu'à ses affaires, n'a ni un mot ni un sourire pour personne. (Qu'est-ce que François n'a pas fait ?)
Jacqueline et Simone travaillent à la même table. Simone s'étale, se couche presque sur la table. Son coude dépasse le milieu ; elle gêne sa petite camarade.
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- Maxime a écrit 2 lettres, mais il a oublié l'en-tête et la formule de politesse.
- Max a écrit 2 lettres, mais il a oublié la formule de début et la formule de politesse.
- Expliquer cette pensée de La Bruyère : Il me semble que l'esprit de politesse est une certaine attention à faire que, par nos paroles et par nos manières, les autres soient contents de nous et d'eux-mêmes.
- La Bete Humaine C'est entendu, nous sommes camarades, sans que les autres, ni même mon mari, aient rien à y voir.
- la politesse