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Corpus Exemple

Publié le 07/11/2013

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Le corpus est composé d’un extrait du Tableau de Paris de l’écrivain Louis-Sébastien Mercier publié entre 1781et 1788, puis du recueil épistolaire sous forme autobiographique de George Sand, Histoire de ma vie, paru en 1855, ainsi que de l’essai de Simone De Beauvoir, Le Deuxième Sexe, édité en 1949. Ce corpus présente une unité thématique puisque tous abordent la question de la femme. Mais quelle vision de la femme ces trois textes prônent-ils ? Tout d’abord, nous pouvons observer que ce corpus montre une vision sommaire de la femme par L’Homme. En effet, Louis-Sébastien Mercier présente dans Tableau de Paris, un homme qui s’accroche à une image superficiel de la gente féminine comme le suggère l’expression « L’Homme aimera toujours mieux la beauté d’une femme que son esprit &raqu...

« comprend alors que la société n'avait guère de place pour les membres du sexe faible, elle avait déjà un rôle prédéfinit, celui de servir le sexe fort.Dans ses conditions, il est juste de dire que la femme est rendu objet, et soumise aux désires et aux préjugés de l'Homme. Enfin, après l'étude d'une vision soumise de la femme, nous nous attarderons sur la vision d'une femme crainte par le genre masculin.

En effet, Mercier dans son Tableau de Paris, dit clairement que « L'homme redoute toujours dans la femme une supériorité quelconque » : de ce fait, l'auteur nous prouve qu'il pense que s'il l'on donne à la femme la possibilité de s'instruire, elle pourrait avoir une chance de le surpassé.

De la même manière, George Sand dans Histoire de ma vie, explique que la situation de la femme, à cette époque est due à une « mauvaise éducation » : tout comme son confrère, elle nous montre que s'il la femme recevait une éducation avec « les progrès nécessaire » et que les hommes avait lui aussi une meilleur condition pour l'étude, il n'existerait pas de sentiment d'infériorité chez les femmes.

De son côté, De Beauvoir, dans Le Deuxième Sexe, affirme contrairement à ses consoeurs que seul le sexe a son importance, et que l'homme, est seul souverain.

De la sorte, la vision de la femme, ici, change : elle peut être l'égale de l'homme si on lui en donne les moyens. En somme, on peut conclure que dans se corpus, la femme est dépeinte comme soumise, inférieur à l'homme et qui semble pourtant effrayer la gente masculine.. »

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