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Analyse de l'Albatros par Baudelaire

Publié le 30/11/2015

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Laurence St-Jean Arts et Lettres PRÉSENTATION D’UN POÈME SYMBOLIQUE Synthèse Présenté à Lyne Beaumier Dans le cadre du cours Courants littéraires : ruptures et continuité Groupe 00201 Cégep de l’Outaouais Campus Félix-Leclerc 2015-11-16 Introduction Alors qu’il n’avait que 6 ans, Baudelaire perdit son père, qui mourut de vieillesse. Sa mère se remaria peu après avec un officier, le général Jacques Aupick. Les deux hommes eurent tout d’abords une relation père-fils normal jusqu'à ce que Charles Baudelaire atteigne l’adolescence. Le général Aupick jugeait le train de vie de bohème du jeune Baudelaire scandaleux et décida, en accord avec la mère du jeune homme, de l’envoyer en Inde. Le jeune poète ne ce rendit cependant jamais en Inde car il vécut, lors d’une escale aux îles Mascareignes, un traumatisme. À cette époque, une pratique courante chez les marins était la «Pêche aux Albatros». Les marins avait donc l’habitude de capturer les Albatros afin de leur tuer et de ce servir des diverses parties de leurs corps afin de faire des menus objets. Cett...




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« Introduction Alors qu’il n’avait que 6 ans, Baudelaire perdit son père, qui mourut de vieillesse.

Sa mère se remaria peu après avec un officier, le général Jacques Aupick.

Les deux hommes eurent tout d’abords une relation père-fils normal jusqu'à ce que Charles Baudelaire atteigne l’adolescence.

Le général Aupick jugeait le train de vie de bohème du jeune Baudelaire scandaleux et décida, en accord avec la mère du jeune homme, de l’envoyer en Inde.

Le jeune poète ne ce rendit cependant jamais en Inde car il vécut, lors d’une escale aux îles Mascareignes, un traumatisme.

À cette époque, une pratique courante chez les marins était la «Pêche aux Albatros».

Les marins avait donc l’habitude de capturer les Albatros afin de leur tuer et de ce servir des diverses parties de leurs corps afin de faire des menus objets.

Cette pratique à fortement bouleversé le jeune homme qui vue des albatros, oiseaux très impressionnants par leurs tailles et puissance, se faire torturer par pure méchanceté.

Plus tard, il s’inspirera de cet événement durant la rédaction du très célèbre «L’albatros» Le poème fut publié en 1857 lors de la deuxième édition des «Fleurs du Mal».

Il fait partie de la section «Spleen et Idéal» et est le deuxième poème du recueil. EXPLICATION DU POÈME. »

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