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Les douze travaux d'Hercule.

Publié le 09/11/2012

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hercule
Le Lion de Némée. Ce premier travail consistait à rapporter à Eurysthée la peau du lion de Némée. Némée, nom d'une ville d'Argolide située à 20 km au nord-est de Tirynthe, subissait les sévices du terrible et gigantesque fauve ; la bête terrorisait la région en dévorant les habitants à des dizaines de kilomètres à la ronde et il incombait à Héraclès d'en terminer avec ces massacres. Héraclès parcourt les quelques kilomètres qui séparent Mycènes de Némée interrompant son chemin seulement pour trouver hospitalité chez un ouvrier agricole du nom de Molorchos dans la petite localité de Cléones ; il explique au brave homme qu'il est à la recherche du fameux lion et que, par conséquent, tout renseignement lui serait utile. Stupéfait par cette folie et certain de ne plus jamais revoir le héros vivant, le paysan promet seulement de sacrifier une bête de son troupeau à la gloire de sa mort. Après ce court aparté, il découvre une région désertée par le reste de la population, effrayée par les rugissements glaçants du monstre, mais ne trouve personne pour lui indiquer où se terre le félin ; en grand chasseur il se lance à la recherche d'empreintes mais il peine à en trouver ; la colère commence à L'envahir quand, après plusieurs jours de traque, il aperçoit enfin L'énorme monstre derrière un buisson, la gueule barbouillée du sang de son dernier carnage ; Héraclès bande son arc et tire une volée de flèches : les projectiles touchent leur cible avec précision mais rebondissent sur sa peau épaisse ! Molorchos aurait-il raison ? L'animal serait- il invulnérable ? Le combat fait rage : d'un geste il saisit son épée et lui assène un terrible coup : la lame se plie comme du fer blanc ! Dans un grand cri il décide alors d'écraser sa massue sur le crâne du fauve mais le coup titanesque du héros ne fait que l'étourdir très légèrement ; groggy et effrayé, le lion se réfugie dans son antre. Héraclès finit par comprendre que ses armes ne lui serviront à rien et décide d'utiliser la ruse. Il traque l'invincible lion jusque dans sa tanière dont il obstrue l'une des deux entrées avec une ingéniosité qui ne lui est pas coutumière. Commence alors un duel acharné : Héraclès s'élance à mains nues vers le fauve qui bondit à son tour et lui arrache un doigt, le héros le prend alors à la gorge, il serre et serre de plus en fort... et finalement étouffe la bête. Après ce combat, il dépeça la dépouille avec les propres griffes du lion, tranchantes comme du verre, et revêtit la peau telle une armure invulnérable. Au retour, il se pressa d'annoncer à Molorchos de ne pas honorer sa disparition mais plutôt de sacrifier sa bête à Zeus car le jour de sa propre mort n'était pas encore venu. L’Hydre de Lerne. Lerne se trouve près d'Argos, contrée non seulement fertile mais aussi sacrée car c'est ici que Dionysos descendit au Tartare. C'est donc dans cette région, célèbre pour ses rites nocturnes, que doit se rendre Héraclès pour sa seconde épreuve ; cette dernière consiste à débarrasser la population d'une bête terrifiante qui répand un venin si toxique que son haleine ou son odeur seuls suffisent à empoisonner les mortels : l'hydre de Lerne, monstre au corps de crustacé (de dragon ou de chien selon les sources) à qui l'on attribue de 5 à 100 têtes dont l'une est immortelle. Son repaire se trouve dans le marais de Lerne, tourbière sans fond dans laquelle disparaissent de nombreux téméraires... Guidé par son neveu Iolas, Héraclès arrive dans la région désolée de Lerne. Ne voyant ni âme qui vive, il contraint le monstre à sortir de son antre en décochant des flèches enflammées sur les roseaux avoisinants ; effrayée par les flammes, la bête surgit sous un platane. Héraclès se lance vers l'hydre, sa massue en main, et retenant son souffle. Mais tandis que s'enroule la queue de la bête le long de sa jambe, le héros s'aperçoit avec horreur que pour chaque tête qu'il écrasait, deux ou trois repoussaient. Enragé par ce phénomène et pincé au pied par un énorme crabe venu porter secours à l'hydre, Héraclès demande le renfort d’Iolas ; ce dernier trouve rapidement une solution : pour empêcher que les têtes ne repoussent, il suffit de brûler les blessures au fur et à mesure qu'on les coupe. Il embrase alors la forêt avoisinante afin d'y recueillir des brandons ardents. à partir de ce moment les deux hommes joignent leurs forces : Héraclès s'arme d'une serpe d'or et tranche de sa force légendaire les innombrables têtes tandis que son neveu cautérise de ses tisons les chairs ensanglantées évitant ainsi qu'elles se régénèrent... Il reste alors à se débarrasser de l'ultime et immortelle tête de l'hydre que le héros frappe avec la même rage qu'antérieurement et qu'il enterre au plus vite, encore vibrante de sifflements perçants, sous un gros rocher. On raconte que, de nos jours, on peut encore entendre les terribles grondements de l'impérissable crâne envahir la contrée de Lerne. Quand le calme revient enfin envahir le marais, Héraclès se penche sur le corps inerte et mutilé du monstre, l'ouvre de haut en bas et trempe chaque pointe de ses flèches dans le venin de ses entrailles : dès ce moment, la moindre blessure causée par l'une de ces flèches empoisonnées entraînerait une mort certaine chez les mortels et des blessures incurables chez les immortels. Mais Héraclès ignorait que le poison qu'il venait de prélever de l'hydre serait la cause indirecte de sa mort (voir l'épisode de Déjanire et Nessus) Quand notre héros informa la Cour de sa difficile victoire, le roi de Mycènes et de Tirynthe contesta son succès : en effet, l'ingénieux Iolas avait permis à Héraclès de mener à bien son épreuve et, selon Eurysthée, ceci était une violation des règles qu'il avait établies. La Biche de Cérynie. Après les deux premiers succès éclatants d’Héraclès, Eurysthée lui ordonne de capturer un animal certainement moins effrayant que le lion ou l’hydre mais tout aussi extraordinaire : une biche tachetée étrangement dotée de cornes d’or et de sabots d’airain. Rapide comme l’éclair elle appartenait à l’attelage de la déesse chasseresse Artémis, autant dire que l’animal sacré ne devait pas être blessé et encore moins tuée par le héros. Elle avait été récemment aperçue en train de gambader en Argolide. Il n’en faut pas moins au héros pour se lancer à la poursuite du cervidé divin ; très vite il est en vue de la colline de Cérynie et, dans le bois d’Oénoé, aperçoit la biche que jamais personne n’avait réussi à approcher. Mais à peine a-t-il fait un pas en direction de l’animal que ce dernier s’enfuit à une vitesse prodigieuse. Héraclès se rend compte alors de la difficulté de l’entreprise : comme il ne peut pas s’approcher du quadrupède il décide de le vaincre à l’usure. Il s’arme de patience poursuivant sans relâche le véloce animal, le traquant jours et nuits ; la biche entraîne son chasseur toujours plus au nord, au-delà des territoires grecs, dépassant la mer Noire, traversant des régions brumeuses et envahies de neige, atteignant enfin le pays enchanteur des hyperboréens situé au nord le plus lointain, si lointain qu’on le localisait derrière le vent du nord. Un printemps éternel caractérisait cette contrée magique qu’on a parfois située au nord de la mer Caspienne. Bref, arrivée aux limites du monde connu, la biche, quelque peu lasse, décide de faire demi-tour afin de regagner sa colline grecque. Elle se remit donc à cavaler de plus bel vers le sud, traînant dans son sillage son entêté chasseur ; néanmoins, la patience d’Héraclès va être finalement récompensée lorsque l’animal s’arrête pour boire sur les bords du fleuve Ladon, le héros observe alors que la biche, quelque peu exténuée, hésite à franchir le cours d’eau en crue ; il ne lui en faut pas moins pour bander son arc et tirer une flèche qui vient se nicher entre l’os et le tendon : avec une dextérité hors du commun il réussit à immobiliser les pattes avants du cervidé sacré sans que ne coule une seule goutte de sang. Après une année entière de course poursuite, Héraclès pouvait enfin empoigner le jusqu’à présent insaisissable quadrupède, et le charger sur ses épaules. Il traverse ensuite l’Arcadie, et s’empresse de rejoindre Mycènes. Tandis qu’il se hâte à ramener la biche à Eurysthée, le héros se retrouve nez à nez avec les deux plus grands chasseurs de l’Olympe, les jumeaux Artémis et Apollon. Ils exigent purement et simplement que leur soit restitué l’animal sacré mais Héraclès leur explique qu’il est en mission pour le roi de Mycènes… Au final, il promet de libérer la biche seulement après avoir prouvé son succès devant la Cour. Artémis accepta le marché et le héros put enfin achever son troisième travail. Le sanglier d’Erymanthe. Après déjà plus d’une année d‘épreuves, Héraclès doit poursuivre ses efforts ; en effet le quatrième travail consiste à ramener vivant un sanglier géant qui vit sur les pentes accidentées d’une montagne d’Arcadie baptisée Erymanthe. Le monstre ne descendait de ses hauteurs bardées de cyprès que pour ravager la région saccageant les champs florissants de blés et certains racontaient qu’ils avaient aperçu les poils hérissés de son échine dépasser la cime des arbres ; la poursuite s’annonçait donc assez difficile… Dans le chemin qui le mène en Arcadie, le héros va vivre la première de ces nombreuses péripéties secondaires qui égayeront bon nombre de ses travaux : il rend visite au bienfaisant centaure Pholos qui l’accueille généreusement et lui offre l’hospitalité pour la nuit. La surprenante bonté de l’hôte mi-homme mi-cheval n’a pas de limite tant et si bien qu’il sert à Héraclès de la viande cuite alors que lui-même la mange crue… Repu par tant de mets, le héros sent la soif l’envahir lorsqu’il aperçoit un gigantesque tonneau de vin ; cependant le brave Pholos lui explique que la délicieuse boisson ne lui a été que confiée : elle est propriété commune de tous les centaures. Malgré cela, Héraclès insiste tellement qu’il parvient à convaincre le maître de maison ; après tout, personne ne se rendrait compte de rien et il ne s’agissait que de quelques gouttes du breuvage… les deux convives entament alors le bien le plus précieux de la collectivité sans que celle-ci n’eut son mot à dire. C’est justement à ce moment précis que les autres centaures, attirés par l’odeur du vin, apparaissent en masse, armés de flèches et de gourdins de sapins, pour éliminer le profanateur. A peine remis de sa dégustation, Héraclès aperçoit au dehors la horde menaçante et sans perdre de temps, il attaque les deux premiers agresseurs avec des brandons enflammés et abat aveuglement de ses flèches tous les autres assaillants en déroute. Toutefois, ses flèches n’abattirent pas seulement les centaures en colère mais elles tuèrent aussi le pauvre Pholos et blessèrent mortellement le malheureux Chiron qui n’avait pourtant pas participé à la bataille ; ainsi périrent les deux seuls centaures à la fois bons et sages de la mythologie grecque. Après ce triste épisode, Héraclès peut réétudier le cas du monstrueux sanglier ; il entame la chasse en pleine saison des neiges et escalade l’Erymanthe à la recherche du monstre. Pour le trouver il abat forêts et landes mais ne parvient à le faire sortir de son repaire qu’en poussant de terribles cris ; commence alors une poursuite effrénée : il pourchasse pendant plusieurs jours le sanglier jusqu’aux neiges éternelles, il le harcèle à coups de pierres et relève sans relâche chacune de ses empreintes laissées dans la neige ; petit à petit la bête s’épuise et c’est le moment que choisit Héraclès pour l’attirer dans une profonde cavité qu’il avait préalablement remplie de neige ; l’animal s’échoue lamentablement dans le piège et se retrouve immobilisé, le héros se jette alors sur son dos le maîtrisant de ses mains nues et l’enchaînant solidement. Chargeant l’animal sur ses épaules, notre héros dévale le désormais célèbre mont Erymanthe et se dirige vers Mycènes. Certaines mauvaises langues relatent que, quand on lui présenta le sanglier, le courageux Eurysthée fût tellement horrifié qu’il plongea une nouvelle fois dans sa jarre… Les Ecuries d’Augias. Après quatre premières épreuves qui renforcèrent un peu plus la légende du héros, Eurysthée décida de froisser l’amour-propre d’Héraclès en lui assignant une mission aussi laborieuse que dégradante : nettoyer les écuries d’Augias. Selon lui, l’orgueilleux fils de Zeus méritait une bonne leçon de modestie et quoi de plus jouissif, pour un homme comme Eurysthée, que d’humilier un demi-dieu. Héraclès, résigné, accepta l’ordre sans broncher : c’était le prix à payer pour conquérir l’immortalité. Héraclès quitte donc Mycènes et se lance en direction du royaume d’Elide, au nord-ouest du Péloponnèse. Il est bien décidé à ne pas perdre plus d’une journée dans ce travail d’esclave, sans aucun doute le plus dégradant qu’il n’aura jamais à réaliser. Le héros longe le nord de la péninsule, traverse l’Achaïe et arrive aux frontières de l’Elide où une forte odeur âcre parvient à ses narines. Au fur et à mesure qu’il pénètre à l’intérieur de la région, l’air se fait de plus en plus irrespirable et Héraclès découvre la cause de cette puanteur : les pâturages de la vallée se trouvent totalement recouverts d’excréments bovins et la couche nauséabonde empêchent non seulement le labourage des terres d’Elide mais en plus, elle commence à asphyxier les peuples voisins. Le héros comprend assez vite que cette puanteur est liée au travail qui lui a été confié et il part à la rencontre du fameux Augias. Ce dernier, souverain d’Elide et fils d’Hélios, vit non loin de là, dans la cité d’Elis ; il peut se vanter de posséder le plus important troupeau du monde : parmi ses 3000 têtes de bétail, on ne compte pas moins de 12 taureaux argentés consacrés à son père, le soleil, auxquels s’ajoutent 200 taureaux rouges et 300 taureaux noirs à pattes blanches… De plus, ses bêtes allient une santé de fer à une extraordinaire fécondité. On imagine un peu mieux l’état des écuries royales d’autant plus qu’elles n’ont pas été nettoyées depuis plus de 30 ans ; bref, le fumier des étables n’attendait plus que les bras fermes d’un héros courageux. Confiant en sa force, Héraclès demande à être reçu par Augias. Sans jamais évoquer l’ordre d’Eurysthée, il lui propose le marché suivant : il se charge d’extraire tout le purin des écuries en une seule journée en échange d’un dixième du formidable troupeau d’Augias; il prend d’ailleurs à témoin Philée, le propre fils du roi. Augias accède à la demande du héros et il ne lui donne sa parole d’honneur que parce qu’il est certain de l’échec de l’entreprise. Sur place, Héraclès constate le degré extrême de saleté ; jamais il n’avait vu autant d’immondices dans un même lieu et le nettoyage allait nécessiter sans aucun doute une immense quantité d’eau. Ainsi lui vient l’idée toute simple de détourner les deux fleuves de la région : en déviant l’Alphée et le Pénée il se simplifierait les choses sans se souiller les mains. Sans perdre un instant, et avec la délicatesse qui le caractérise, il prend sa massue et crée deux brèches dans un des murs de l’écurie après avoir mis les animaux à l’abri. Il se lance ensuite sur les bords des deux rivières et il creuse deux tranchées en directions des étables ; avec sa force titanesque il jette dans les eaux des fleuves les plus lourdes pierres qu’il rencontre et bloque ainsi leur cours naturel. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, l’Alphée et le Pénée s’écoulent dans les canaux tracés par Héraclès et se précipitent vers les écuries, les décrassant, les nettoyant, les purifiant. Les eaux tumultueuses charrièrent tout le fumier accumulé depuis des années et emportèrent avec elles l’énorme couche d’excréments qui étouffaient les terres fertiles d’Elide. Héraclès contemple fièrement le résultat de sa grande lessive et, voyant s’éloigner vers la côte les flots infâmes, il répare les dommages qu’il a causé. En une seule journée le héros réussit à rendre aux étables royales leur aspect originel ; en deux temps trois mouvements il colmate les brèches de l’écurie et rend aux deux fleuves leur lit d’origine. Réjoui d’avoir fini sa c...

hercule

« arrache un doigt, le héros le prend alors à la gorge, il serre et serre de plus en fort...

et finalement étouffe la bête. Après ce combat, il dépeça la dépouille avec les propres griffes du lion, tranchantes comme du verre, et revêtit la peau telle une armure invulnérable.

Au retour, il se pressa d'annoncer à Molorchos de ne pas honorer sa disparition mais plutôt de sacrifier sa bête à Zeus car le jour de sa propre mort n'était pas encore venu.   L'Hydre de Lerne. Lerne se trouve près d'Argos, contrée non seulement fertile mais aussi sacrée car c'est ici que Dionysos descendit au Tartare.

C'est donc dans cette région, célèbre pour ses rites nocturnes, que doit se rendre Héraclès pour sa seconde épreuve ; cette dernière consiste à débarrasser la population d'une bête terrifiante qui répand un venin si toxique que son haleine ou son odeur seuls suffisent à empoisonner les mortels : l'hydre de Lerne, monstre au corps de crustacé (de dragon ou de chien selon les sources) à qui l'on attribue de 5 à 100 têtes dont l'une est immortelle.

Son repaire se trouve dans le marais de Lerne, tourbière sans fond dans laquelle disparaissent de nombreux téméraires... Guidé par son neveu Iolas, Héraclès arrive dans la région désolée de Lerne.

Ne voyant ni âme qui vive, il contraint le monstre à sortir de son antre en décochant des flèches enflammées sur les roseaux avoisinants ; effrayée par les flammes, la bête surgit sous un platane.

Héraclès se lance vers l'hydre, sa massue en main, et retenant son souffle.

Mais tandis que s'enroule la queue de la bête le long de sa jambe, le héros s'aperçoit avec horreur que pour chaque tête qu'il écrasait, deux ou trois repoussaient.

Enragé par ce phénomène et pincé au pied par un énorme crabe venu porter secours à l'hydre, Héraclès demande le renfort d'Iolas ; ce dernier trouve rapidement une solution : pour empêcher que les têtes ne repoussent, il suffit de brûler les blessures au fur et à mesure qu'on les coupe.

Il embrase alors la forêt avoisinante afin d'y recueillir des brandons ardents.

à partir de ce moment les deux hommes joignent leurs forces : Héraclès s'arme d'une serpe d'or et tranche de sa force légendaire les innombrables têtes tandis que son neveu cautérise de ses tisons les chairs ensanglantées évitant ainsi qu'elles se régénèrent...

Il reste alors à se débarrasser de l'ultime et immortelle tête de l'hydre que le héros frappe avec la même rage qu'antérieurement et qu'il enterre au plus vite, encore vibrante de sifflements. »

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