Le phénix, âme du dieu solaire Rê
Publié le 21/12/2014
Extrait du document


«
de Rê », celui-ci était donc
c onsidéré comme une des
manifestations du dieu
lui
même .
La dées se Hathor, très
proche
du dieu sola i re, pou
vait également s'identifier à
l'oiseau et être désignée par
l'expression « benou du ciel ».
Le phénix et Osiris
P
lus étrange à première
vue est est le fait que le
benou, oiseau solaire entre
tous , soit associé au dieu
des
morts Osiris.
En tant qu 'ima
ge du
soleil renaissant, il de
vint en effet , en toute lo
gique, un symbole de la régé
nération du dieu .
Dans
les
Textes des Sarcophages, Osiris
est ainsi
appe lé « le grand be
nou dan s Héliopol is ».
Cette
épithète commune à Osir i s,
souvera in de l'au-delà obscur,
et à Rê -Atoum, seigneur des
contrées éclatan t es, découle
d'une croyance égyptienne
particulière : Osiris , mourant
et affaibli, ne retrouva it sa vi
gueur que grâce à l'action
bienfaisante du soleil lors de
sa traver sée nocturne du
monde des morts .
Le benou
devint ainsi une image de la
vie régénérée d'Osiris.
Une entité
protectrice
L
a figure du benou, char
gée
si positivement, ne
manqua
pas d 'être e x ploitée
par la magie.
Et en premier
lieu par la magie funéraire :
les morts, étant tous des Os i
ris, avaient avec le benou les
mêmes rapports que le dieu .
Comme lui, i ls deva i ent leur
salut
à la puissance régénéra
trice du
soleil, et le benou
était une image de leur pro
pre renaissance.
Ainsi une
formule bien connue du Livre
des
Mort s a pour but de
transformer
le défunt en be
nou,
ce qui lui garantit la re
naissance.
Par extension, le benou de
vint le symbole de l'int égrité
phy sique et de la bonne san
té,
et il n'est pas rare qu 'i l soit
utilisé dans la magie protec-.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- MEDITATIONS SUR LA PHILOSOPHIE PREMIÈRE, DANS LESQUELLES ON PROUVE CLAIREMENT L’EXISTENCE DE DIEU ET L’IMMORTALITÉ DE L’ÂME René Descartes
- Les comédies « profanes » Le théâtre de Marguerite dans son ensemble, et pas seulement la « tétralogie biblique » (la Nativité, les Trois Rois, les Innocents, le Désert), reprend toute sa pensée intime, toute l’inspiration religieuse de la poésie qui lui est parallèle; il est également marqué, de la manière la plus profonde, par la mort du frère de la reine. Ainsi, la Comédie sur le trépas du roy et la Comédie de Mont-de-Marsan disent-elles l’insupportable éloignement, mais aussi la s
- emparé de l'âme d' Ohrmizd, fils du dieu de la Lumière; un moment final où la division originelle sera rétablie après l'intervention de Jésus.
- Dieu et l'âme chez Spinoza
- Descartes: l'âme et Dieu