Vaccin preventif
Publié le 01/05/2024
Extrait du document
«
La vaccination est un moyen assez fiable et efficace afin de se protéger contre des maladies ou
virus dangereux.
Les vaccins stimulent le système immunitaire afin de créer des anticorps de la
même manière que s’il était exposé a la maladie, de plus les vaccins ne renferment que des formes
tuées ou atténuées du virus/bactéries , il ne provoque donc pas la maladie et n’exposent pas le sujet
à des risques de complications.
A noter que la plupart des vaccins sont administrés par injection
cependant certains vaccins sont pris par voie orale ou par aérosol nasal.
La vaccination préventive
consiste quant à elle d’administrer le vaccins avant l’exposition a une maladie afin de prévenir son
apparition.
Nous nous demanderons: Quel est le principe de la vaccination préventive et son rôle a
l’échelle individuel et sociétal ? Dans un premier temps, nous expliquerons le rôle de la vaccination
préventive et pour finir nous expliquerons son rôle à l’échelle individuel et sociétal.
La vaccination est apparue pour la première fois vers la fin du 18eme siècle, nous savon que la
pandémie de variole est une pandémie infectieuse contagieuse qui est a l’origine des pis de la vache.
C’est là qu’un médecin anglais intervient : Edwar Jenner et va donc réaliser une expérience en
prélevant du pus de la main d’une fermière atteint de la variole et va par la suite l’inoculer a un
enfant et cet enfant, deux mois plus tard, il inocule le virus de la variole a nouveau mais l’enfant ne
déclare pas la maladie.
Afin d’expliquer le principe de vaccination, l’expérience est cette fois ci
réaliser sur des poules.
Des bactéries du choléra fraîches vont être inoculée a des poules qui n’ont
jamais été atteintes de la maladie.
Le lendemain, on remarque qu’elles vont être couchées et
boiteuse et le jour d’après, elles vont mourir.
En parallèle, des culture vielle de 2 semaine du même
type de bactéries vont être injecté a des poules préalablement vacciné au maximum (elles ont reçus
3 ou 4 fois des injections du microbe très atténué), elles sont aussi inoculé a la même heure que les
poules précédentes, mais contrairement aux poules précédentes, c’est poules-ci vont survivre.
On
peut en déduire que l’inoculation est un processus d’introduction délibérée d’un agent pathogène
qui a été affaibli ans le but de provoquer une réponse immunitaire.
Par la suite, on peut remarque
qu’il existe différents types de vaccins dont le vaccin atténué qui a été utilisé sur les poules dans
l’expérience précédente, et ce vaccin consiste à diminue la virulence des agents infectieux et induire
une protection immunitaire proche de celle qui fait suite a une infection naturelle.
Cependant il est
impossible d’atténuer tous les agents infectieux avec ce vaccins atténué.
De plus il existe d’autres
vaccins qui ont des objectifs différents, comme par exemple avec l’inactivation, mais aussi la
purification de l’agent infectieux, le génie génétique qui est encore en cours de développement et
pour finir l’ARN.
L’ARN produit une protéine du microbe ciblé qui empêche la maladie de se
développer, mais contre laquelle l’organise se prépare à combattre.
L’avantage de cette méthode
c’est quelle est plus simple et plus rapide pour produire des vaccins par rapport par rapport aux
méthode «classique».
Néanmoins, la fragilité de ces petites molécules d’acide ribonucléique impose
de conserver les préparation vaccinales à une température qui est extrêmement basse malgré le fait
que ses vaccins vivants soit efficaces, mais ils présentent des risques d’infections.
Les vaccins
atténués ou sous unitaire sont plus souvent utilisés mais ceci sont moins efficaces que les adjuvants.
L’anatoxine (antigène) a un pouvoir vaccinant accrue si on ajoute au vaccin une substance irritante
pour les tissus.
On en déduit donc que l’adjuvant a une action directe sur l’antigène puisqu’elle
déclenche la réponse innée qui va ensuite déclencher la réponse immunitaire adaptative avec une
plus grande ampleur.
En effet, on remarque que la concentration d’anticorps dans le plasma est plus
élevée en présence à la fois d’adjuvant et d’antigène que lorsqu’il y a seulement de l’antigène.
Au bout de 6 jours, la concentration est d’environ 5 U.A.
pour l’antigène avec l’adjuvant, pour 1,5
U.A.
lorsque l’antigène est seul.
Les adjuvant servent ainsi a renforcer la réponse immunitaire en
stimulant la réponse inné, provoquant par la suite la réponse adaptative.
De plus, d’après une équipe de chercheurs, il est possible d’analyser l’évolution de la spécificité
des lymphocytes B tout au long de la vie.
Pour cela, les chercheurs ont isolé un échantillon de
lymphocyte B d’un individus et ont examiné la présence de lymphocyte dont les anticorps
membranaires correspondent spécifiquement aux antigène portés ou sécrétés par certains agents
infectieux.
Par exemple l’individu a été vacciner contre le....
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