Devoir de Philosophie

Médecine: Le diagnostic médical

Publié le 22/02/2012

Extrait du document

Lors d'une consultation médicale le patient décrit l'ensemble des symptômes qu'il éprouve.À partir de ceux-ci et des détails qu'il a rassemblés au sujet du malade, le médecin établit un diagnostic qui lui permettra de proposer un traitement adapté. Pour établir un diagnostic, le médecin pose d'abord au patient un certain nombre de questions pour déterminer précisément la nature de la maladie en fonction des symptômes décrits. Il l'interroge sur ses antécédents familiaux et personnels (affections congénitales des parents, maladies survenues au cours de l'enfance, vaccinations et rappels effectués, accidents, traitements médicamenteux en cours ou passés, âge, profession, etc.). D'après les informations recueillies, il est à même de déterminer la nature de la maladie observée et de la classer dans la nosographie clinique (classification analytique de l'ensemble des maladies). Il peut alors déterminer par exemple si la maladie est infectieuse ou virale, si elle est due à une intoxication alimentaire ou à une allergie.

« Le Diagnostic Lors d'une consultation médicale le patient décrit l'ensembl~ des symptômes qu'il éprouve.

A partir de ceux-ci et des détails qu'il a rassemblés au sujet du malade, le médecin établit un diagnostic qui lui permettra de proposer un traitement adapté.

P our établir un diagnostic, le médecin pose d 'abord au patient un certain nombre de questions pour détermin er précisément la nature de la maladie en fonction des symptômes décrits.

Il l'interroge sur ses antéc édents familiaux et personnels (affections congénitales des parents, maladies survenues au cours de l'enfance , vacci­ nations et rappels effectués , accidents , traitements médicamenteux en cours ou passés, âge , profes­ sion , etc.).

D' après les informations recueillies, il est à même de déterminer la nature de la mala­ die observée et de l a classer dans la nosographie clinique (classif ication ana lytique de l 'ensemble des maladies).

Il peut a lors déterminer si la mala­ die est infectieuse ou vira le , si elle est due à une intoxication alimentaire ou à une allergi e .

Le diagnostic clinique L e diagnostic clinique regroupe l'ensemble des é léments fournis par le patient et les analyses éventuelles auxquelles celui-ci a pu être soumis.

Le médecin procède à une investigation fonction- ! Une fracture du bras peut être décelée au A moyen d'une échographie.

Cette méthode enregistre les échos produits par les organes soumis à une émission d'ultrasons.

Les ondes sonores sont relevées par l'échographe.

L'intensité sonore indique la densité du tissu à travers lequel le son est passé.

Cette technique donne parfois une image plus nette de l'os endommagé que celle réalisée par les rayons X (radiographie).

LA MESURE DE LA TENSION AVEC UN SPHYGMOMANOMÈTRE brassard gonflable colonne de mercure nelle.

Après avoir ausculté son patient , il poursuit par une palpation de son corps.

Il examine ensuite l'aspect de son visage , l'odeur de son haleine, la form e de ses pupilles, l'état de sa langue, la colo­ ration de la peau et des muqueuses , l'aspect des urines et l'état de son transit intestinal.

Il prend la tension artérielle du patient , compte les pulsa­ tions du pouls , l'état des réflexes tibiaux et plan­ taires.

La recherche au moyen de bandelettes réactives , de sucre , d ' acétone , de sang et d'albu­ mine dans les urines fait aussi partie de l'examen clinique .

En fonction des douleurs décrites par le patient , il oriente son investigation par des palpa­ tions sur les organes douloureux.

Au terme de cet examen , le médecin peut observer des signes uni­ voques qui ne permettent plus de douter de la nature de la maladie.

Les examens en laboratoire serviront d'appoint à ce diagnostic .

Les examens de laboratoire Les investigations que permettent les examens de laboratoire varient en fonction de la pathologie diagnostiquée .

ll peut s'ag ir d' une endoscopie ......

Pour mesurer la pression du sang, le médecin utilise un sphygmomanomètre.

Un brassard gonflable est passé autour du bras du patient et gonflé jusqu'à ce que les pulsions du poignet cessent.

La pression du sang est ensuite mesurée au moyen d'une colonne de mercure graduée.

En plaçant son stéthoscope sur le bras du patient, le docteur relâche lentement l'air qui compresse le brassard et le flux sanguin revient à un rythme normal.

On obtient ainsi deux lectures: la pression systolique (mouvements de contraction du cœur) et la pression diastolique (mouvement de décontraction du cœur).

L'importance des renseignements fournis par cet examen justifie sa pratique quasi systématique au cours d'une consultation carditHasculaire.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles