Maladie vénérienne

« du tractus urogenital par suite de cicatrisation de plales internes, et aussi Ia sterilite. 4 La decouverte des antibiotiques avait considerablement diminue Ia frequence des infections.

Mais des observa- tions recentes montrent qu'en divers endroits du globe des souches se developpent, ayant acquis Ia propriete de detruire la penicilline.

La lutte contre ces souches deve- nant beaucoup plus difficile, des epidemies graves et &en- dues sont a redouter. 5 Bien qu'il s'agisse de maladies infectieuses, 11 n'existe pas de vaccin contre les MTS.

Dans le cas de la blen- norragie, maladiebacterienne, l'immuniten'est pas acquise : un malade a pu oontracter I'infectien jusqu'a vingt fois de suite.

L'explication de ce curieux pheno- merle serait que Is gonocoque (du moins certaines es* ces) aurait Ia possibilite de detruire les anticorps secretes contre son infection.

Dans le cas d'infectioo a base de treponeme comme is syphilis (elle aussi en recrudes- cence), Ia preparation d'un vaccin etait rendue impossible par l'absence d'un modele animal, Ia plupart des especes voisines de rate humain ne contractant pas Is maladie. Un treponeme proche de celui cause de la syphilis a pu etre toutefois dernierement inooule a un chimpanze, ce qui autorise les plus Brands espoirs. 6 A cote des infections gonococciques et a treponemes qui sont les plus courantes et les mieux connues, it existe des Infections virales par des agents assimilables aux virus herpetiques.

Ce type d'infection est potentiellement tits dangereux, car 11 y a une relation entre herpes et cancer.

Des virologues pensent que certains cancers de l'uterys (affection pratiquement inexistante chez les reli- gieuses) sont de veritables maladies veneriennes.

du tractus urogénital par suite de cicatrisation de plaies internes, et aussi la stérilité.

4 La découverte des antibiotiques avait considérablement diminué la fréquence des infections.

Mais des observa­ tions récentes montrent qu'en divers endroits du globe des souches se développent, ayant acquis la propriété de détruire la pénicilline.

La lutte contre ces souches deve­ nant beaucoup plus difficile, des épidémies graves et éten­ dues sont à redouter.

5 Bien qu'il s'agisse de maladies infectieuses, il n'existe pas de vaccin contre les MTS. Dans le cas de la blen­ norragie, maladie bactérienne, l'immunité n'est pas acquise : un malade a pu contracter l'infection jusqu'à vingt fois de suite.

L'explication de ce curieux phéno­ mène serait que le gonocoque (du moins certaines espè­ ces) aurait la possibilité de détruire les anticorps sécrétés contre son infection. Dans le cas d'infection à base de tréponème comme la syphilis (elle aussi en recrudes­ cence), la préparation d'un vaccin était rendue impossible par l'absence d'un modèle animal, la plupart des espèces voisines de l'être humain ne contractant pas la maladie.

Un tréponème proche de celui cause de la syphilis a pu être toutefois dernièrement inoculé à un chimpanzé, ce qui autorise les plus grands espoirs.

6 A côté des infections gonococciques et à tréponèmes qui sont les plus courantes et les mieux connues, il existe des infections virales par des agents assimilables aux virus herpétiques.

Ce type d'infection est potentiellement très dangereux, car il y a une relation entre herpès et cancer.

Des virologues pensent que certains cancers de l'utérus (affection pratiquement inexistante chez les reli­ gieuses) sont de véritables maladies vénériennes.. »