La Sciatique

« blemes sinon toujours les plus graves, du moins parmi les plus difficiles poses au neuroiogue.

A cause de la structure et du fonctionnement relativentent simples at bien connus du systeme nerveux peripherique, on pour- rait penser que sa pathologle serait egalement simple. II n'en est rien.

A l'heure actuelle, on est incapable de trouver une explication satisfaisante pour les affections qui frappent plus de la mottle des patients entrant dans un Witsl avec un trouble du systeme nerveux periphe- rique.

Les modifications pathologiques subies par chacun d'entre eux n'ect pu etre cleterminees, et les bases physio- logiques des symptomes enregistres sont inconnues. 5 La simplicite du systeme nerveux peripherique est toute relative.

Elle est evidente si l'on compare sa struc- ture a la formidable complexite du systbme nerveux cen- tral, mais sa structure est assez diversifiee pour permettre des attaques en de multiples points, que ces egressions solent degenerescentes, infectieuses ou le resultat d'un traumatisme.

Ainsi, des transformations de l'environnement non directement !lees au systeme nerve= peuvent I'affec- ter lourdement.

Tel est le cas de maladies arterielles diffuses ou localisees qui peuvent empecher l'approvision- nement metabolique correct des nerfs. 6 De plus, les effets de la pollution generalisee ne sont sans doute pat etrangers a certaines affections du sys- teme nerveux peripherique.

D'une maniere generale, les nerfs sont proteges par une gaine constituee de graisses complexes : la myelin.

Des toxines absorbees dans l'ali- mentation, qui seraient douses d'affinite pour ces sub- stances formant la gaine des nerfs, pourraient conduire progressivement a leur mauvais fonctionnement.

blêmes sinon toujours les plus graves, du moins parmi les plus difficiles posés au neurologue.

A cause de la structure et du fonctionnement relativement simples et bien connus du système nerveux périphérique, on pour­ rait penser que sa pathologie serait également simple.

Il n'en est rien.

A l'heure actuelle, on est incapable de trouver une explication satisfaisante pour les affections qui frappent plus de la moitié des patients entrant dans un hôpital avec un trouble du système nerveux périphé­ rique.

Les modifications pathologiques subies par chacun d'entre eux n'ont pu être déterminées, et les bases physio­ logiques des symptômes enregistrés sont inconnues.

5 La simplicité du système nerveux périphérique est toute relative. Elle est évidente si l'on compare sa struc­ ture à la formidable complexité du système nerveux cen­ tral, mais sa structure est assez diversifiée pour permettre des attaqués en de multiples points, que ces agressions soient degénérescentes, infectieuses ou le résultat d'un traumatisme. Ainsi, des transformations de l'environnement non directement liées au système nerveux peuvent l'affec­ ter lourdement.

Tel est le cas de maladies artérielles diffuses ou localisées qui peuvent empêcher l'approvision­nement métabolique correct des nerfs.

6 De plus, les effets de la pollution généralisée ne sont sans doute pas étrangers à certaines affections du sys­ tème nerveux périphérique. D'une manière générale, les nerfs sont protégés par une gaine constituée de graisses complexes : la myéline.

Des toxines absorbées dans l'ali­ mentation, qui seraient douées d'affinité pour ces sub­ stances formant la gaine des nerfs, pourraient conduire progressivement à leur mauvais fonctionnement.. »