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Grand oral du bac : Médecine LES VIRUS

Publié le 05/02/2019

Extrait du document

La chronologie des défenses naturelles de l’homme contre une invasion de virus se développe toujours selon trois étapes identiques. La réponse initiale qui survient pendant les quatre premières heures n’est pas spécifique du virus mais est une réaction universelle contre l’intrusion de protéines étrangères dans le corps. Elle met en jeu des globules blancs particuliers: les lymphocytes tueurs, ou cellules NK (natural killers).
 
La réponse secondaire dure de la quatrième heure au quatrième jour et n’est toujours pas spécifique mais se traduit par la sécrétion d’interfé-rons, médiateurs chimiques libérés par les cellules agressées, qui stimulent à leur tour les lymphocytes tueurs.
 
La réponse tardive qui se déclenche à partir du cinquième jour implique d’autres globules blancs, les lymphocytes T stimulés par la mémoire du système immunitaire. Elle agit aussi à travers les interférons et les anticorps spécifiques qui viennent se fixer sur les protéines virales pour y attirer les cellules tueuses ou les macrophages, éboueurs du corps humain.
 
La lutte antivirale
 
Le principe de la vaccination repose sur la capacité d’un type de virus à faire réagir la mémoire immunitaire enregistrée après un premier contact avec lui, que le virus soit vivant, tué ou fragmenté en particules inactives.
 
C’est ainsi que sont efficaces les vaccinations contre la poliomyélite, la rougeole, la rubéole, la grippe, les oreillons, les hépatites A et B, la fièvre jaune ou les encéphalites virales d’Europe et d’Asie. Des vaccins contre les virus responsables de diarrhées ou des maladies tropicales, comme la dengue, sont à l’essai.
 
La mobilisation des chercheurs contre le sida a conduit à la mise au point récente des premiers médicaments antiviraux, très différents des antibiotiques inactifs sur les virus. Leur action repose sur plusieurs modes différents: ils empêchent l’accrochage sur la membrane et l’injection du matériel génétique, interdisent sa lecture ou la transformation d’ARN en ADN, neutralisent les enzymes virales qui déclenchent la réplication, bloquent la reconstitution du virus à partir de ses éléments séparés.

« Les virus primates, parce que la membrane des cellules humaines ne possèdent pas les sites spécifiques d'accueil que les virus doivent reconnaître et ouvrir pour s'accrocher et se reproduire.

C'est la défense la plus élémentaire.

La chronologie des défenses naturelles de t'homme contre une invasion de virus se déve­ loppe toujours selon trois étapes identiques.

La ré­ ponse initiale qui survient pendant les quatre pre­ mières heures n'est pas spécifique du virus mais est une réaction universelle contre l'intrusion de protéines étrangères dans le corps.

Elle met en jeu des globules blancs particuliers: les lymphocytes tuems, ou cellules NK (natural ki/fers).

La réponse secondaire dure de la quatrième heure au quatrième jour et n'est toujours pas spé­ cifique mais se traduit par la sécrétion d'interfé­ rons, médiateurs chimiques libérés par les cel­ lules agressées, qui stimulent à leur tour les lym­ phocytes tueurs.

La réponse tardive qui se déclenche à partir du cinquième jour implique d'autres globules blancs, les lymphocytes T stimulés par la mé­ moire du système immunitaire.

Elle agit aussi à travers les interférons et les anticorps spécifiques qui viennent se fixer sur les protéines virales pour y attirer les cellules tueuses ou les macrophages, éboueurs du corps humain.

La lutte antivirale Le principe de la vaccination repose sur la capaci­ té d'un type de virus à faire réagir la mémoire immunitaire enregistrée après un premier contact avec lui, que le virus soit vivant, tué ou fragmenté en particules inactives.

C'est ainsi que sont efficaces les vaccinations contre la poliomyélite, la rougeole, la rubéole, la grippe, les oreillons, les hépatites A et B, la fièvre jaune ou les encéphalites virales d'Europe et d'Asie.

Des vaccins contre les virus responsables de diarrhées ou des maladies tropicales, comme la dengue, sont à t'essai.

La mobilisation des chercheurs contre le sida a conduit à la mise au point récente des premiers médicaments antiviraux, très différents des anti­ biotiques inactifs sur les virus.

Leur action repose MULTIPLICATION DES VIRUS sur plusieurs modes différents: ils empêchent t'accrochage sur la membrane et t'injection du matériel génétique, interdisent sa lecture ou la transformation d'ARN en ADN, neutralisent les enzymes virales qui déclenchent la réplication, bloquent la reconstitution du virus à partir de ses éléments séparés.

LA CLASS IFICATION DES VIRUS PATHOGÈ NES Les virus pathogènes pour l'homme sont ceux qui peuvent provoquer une maladie chez lui.

FA MILLE Virus à ADN Po xvi rus Herpès virus Adénovirus Papovavirus ou papillomavirus Virus à ARN Myxovirus: Orthomyxovirus Paramyxovirus Togavirus: Alphivirus Flavivirus Non classés Arénavirus Coronavirus Rhabdovlrus Réovirus Picomavirus: Plus de 300 étaient classés et répertoriés en 1997.

NOM BRE DE TYPES 3 plus de 6 33 2 5 8 20 30 20 3 1 1 3 MA LADIES OU VIRUS TYPES vaccine, variole, molluscum contagiosum varicelle-zona, cytomégalovirus, herpès, Epstein-Barr (cancers), Kaposi rhumes, infections respiratoires verrues, papillomes grippe rougeole, oreilllons, influenza, virus respiratoire syncytial encéphalites tropicales fièvre jaune, dengue, fièvres hémorragiques fièvres hémorragiques, encéphalites méningite virale gastro-entérites rage infections respiratoires Entérovirus plus de 80 poliomyélite, échovirus, coxsackies Rhinoviros plus de 100 rhumes Rétroviros 4 HTLV 1 et 21 Oeucémies), VIH 1 et 2 (sida) Non classés plus de 8 rubéole, hépatites (au moins 7 types) Cette classification ne tient pas compte des virus oncogènes, responsables probables de cancers.. »

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