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Grand oral du bac : LES TRAUMATISMES CRÂNIENS

Publié le 05/02/2019

Extrait du document

sang qui comprime et déplace le tissu cérébral, il s’ensuit alors de graves troubles. Dans le cas de l’hématome sous-dural, celui-ci peut mettre des mois à se former, le patient doit donc faire attention à tout symptôme longtemps après un choc.

Signes et symptômes

Les traumatismes crâniens mineurs ne provoquent généralement qu’un léger mal de tête. Lorsqu’il y a commotion, la victime souffre d’étourdissements, elle voit trouble et son esprit est confus. Lors d’un traumatisme crânien grave, d’autres troubles symp-tomatiques apparaissent : dérèglement de la s tension artérielle, de la respiration et de la tempé- » rature. Dans certains cas, des zones bien précises du corps sont touchées secondairement. Ainsi, certains membres peuvent être paralysés et la victime souffrir de crises d’épilepsie. Un écoulement de liquide céphalo-rachidien (le liquide qui entoure le cerveau et la moelle épinière) par les oreilles et le nez indique que les méninges ont été lésées par une fracture ouverte du crâne.

 

Des vomissements persistants, des pupilles de taille inégale et des troubles de la conscience sont les symptômes d’une lésion cérébrale évolutive : ils apparaissent soit immédiatement après le traumatisme, soit après une guérison apparente. Il arrive que le patient oublie totalement ce qui vient de lui arriver (c’est ce qu’on appelle une amnésie post-traumatique), mais il est peu fréquent que la victime ne parvienne pas à se souvenir de ce qui s’est passé avant le traumatisme. Lorsqu’un hématome se forme, la pression qui en résulte à l’intérieur du crâne se traduit par certains symptômes. La victime ressent soit des maux de tête de plus en plus intenses, soit des vomissements, entre dans un état de somnolence ou bien est affectée d’une paralysie d’un seul côté du corps (hémiplégie).

 

Les traumatismes crâniens graves entraînent un état d’inconscience de quelques minutes ou un coma profond et parfois fatal. En effet, si le patient n’est pas soigné rapidement, il peut mourir durant celui-ci. Il existe plusieurs types de coma. Lorsque la victime est tombée dans un coma profond

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immédiatement après le traumatisme, il faut suivre l’évolution toutes les heures en prenant sa tension artérielle et surveiller son électro-encéphalogramme. Si les pupilles sont anormalement dilatées et si la victime a du mal à déglutir, ce sont les signes d’une grave lésion.

 

Mais un coma profond survient parfois quelques heures seulement après un accident. La victime peut aussi connaître un état de légère inconscience juste après le traumatisme et retrouver sa vigilance, puis retomber dans le coma quelques heures plus tard. Ce sont là les signes d’un hématome extra-dural ou sous-dural. Enfin, la victime peut rester consciente. Il faut alors effectuer et suivre l’évolution de son électroencéphalogramme afin de prévenir un coma ultérieur.

 

Examen médical et traitement

 

Un certain nombre de signes laissent donc deviner qu’une lésion cérébrale est apparue suite à un traumatisme crânien. Cependant, dans certains cas, la victime semble hors de danger, ne présentant aucun symptôme. Aussi faut-il après un choc important sur la tête, en particulier s’il y a eu une brève perte de conscience, consulter un médecin, même si aucun symptôme n’est apparent.

 

Le traitement dépend de l’étendue des lésions. Si le traumatisme crânien a entraîné une blessure du cuir chevelu, on pratique une anesthésie locale

« Les traumatismes crâniens Les conducteurs de motos sont i � particulièrement exposés aux a blessures à la tête.

Dans de nombreux pays, le port du casque est obligatoire.

Tous les casques sont dotés d'une couche de mousse épaisse appliquée sous la coque en plastique.

Cette couche sert à amortir les chocs.

Parmi les casques, ceux dits •casque intégral• sont les plus efficaces.

sang qui comprime et déplace le tissu cérébral, il s'ensuit alors de graves troubles.

Dans le cas de l'hématome sous-durai, celui-ci peut mettre des mois à se former, le patient doit donc faire atten­ tion à tout symptôme longtemps après un choc.

Signes et symptômes Les traumatismes crâniens mineurs ne provoquent généralement qu'un léger mal de tête.

Lorsqu'il y a commotion, la victime souffre d'étourdissements, elle voit trouble et son esprit est confus.

Lors d'un traumatisme crânien grave, d'autres troubles symp­ tomatiques apparaissent : dérèglement de la tension artérielle, de la respiration et de la tempé­ rature.

Dans certains cas, des zones bien précises du corps sont touchées secondairement.

Ainsi, certains membres peuvent être paralysés et la victime souffrir de crises d'épilepsie.

Un écoule­ ment de liqu ide céphalo-rachidien Oe liquide qui entoure le cerveau et la moelle épinière) par les oreilles et le nez indique que les méninges ont été lésées par une fracture ouverte du crâne.

Des vomissements persistants, des pupilles de taille inégale et des troubles de la conscience sont les symptômes d'une lésion cérébrale évolutive : ils apparaissent soit immédiatement après le trau­ matisme, soit après une guérison apparente.

Il arrive que le patient oublie totalement ce qui vient de lui arriver (c'est ce qu'on appelle une amnésie post-traumatique), mais il est peu fré­ quent que la victime ne parvienne pas à se souve­ nir de ce qui s'est passé avant le traumatisme.

Lorsqu'un hématome se forme, la pression qui en résulte à l'intérieur du crâne se traduit par cer­ tains symptômes.

La victime ressent soit des maux de tête de plus en plus intenses, soit des vomisse­ ments, entre dans un état de somnolence ou bien est affectée d'une paralysie d'un seul côté du corps (hémiplégie).

Les traumatismes crâniens graves entraînent un état d'inconscience de quelques minutes ou un coma profond et parfois fatal.

En effet, si le patient n'est pas soigné rapidement, il peut mourir durant celui-ci.

Il existe plusieurs types de coma.

Lorsque la victime est tombée dans un coma profond immédiatement après le traumatisme, il faut suivre l'évolution toutes les heures en prenant sa tension artérielle et surveiller son électro-encéphalo­ gramme.

Si les pupilles sont anormalement dila­ tées et si la victime a du mal à déglutir, ce sont les signes d'une grave lésion.

Mais un coma profond survient parfois quelques heures seulement après un accident.

La victime peut aussi connaître un état de légère inconscience juste après le traumatisme et retrou­ ver sa vigilance, puis retomber dans le coma quelques heures plus tard.

Ce sont là les signes d'un hématome extra-dura! ou sous-durai.

Enfin, la victime peut rester consciente.

Il faut alors effec­ tuer et suivre l'évolution de son électroencéphalo­ gramme afin de prévenir un coma ultérieur.

Examen médical et traitement Un certain nombre de signes laissent donc devi­ ner qu'une lésion cérébrale est apparue suite à un traumatisme crânien.

Cependant, dans certains cas, la victime semble hors de danger, ne présen­ tant aucun symptôme.

Aussi faut-il après un choc important sur la tête, en particulier s'il y a eu une brève perte de conscience, consulter un médecin, même si aucun symptôme n'est apparent.

Le traitement dépend de l'étendue des lésions.

Si le traumatisme crânien a entraîné une blessure du cuir chevelu, on pratique une anesthésie locale pour recoudre les plaies.

Des radiographies du crâne sont prises afin de voir s'il y a fracture ou non.

Une personne ayant une fracture fermée doit être hospitalisée et surveillée pendant 24 heures.

Si aucun signe n'apparaît, un traitement n'est pas utile car la fracture se referme d'elle-même.

En cas de fracture ouverte, il faut avant tout vérifier si la victime souffre d'un hématome extra-durai ou sous-durai.

S'il existe, il est nécessaire d'évacuer le caillot de sang qui comprime le cerveau.

On pra­ tique alors des petits trous dans le crâne (des trous de trépans) afin de drainer le sang.

Lorsque le crâne a été gravement enfoncé et que les os ont pénétré dans le cerveau, on intervient chirurgica­ lement pour replacer ou enlever les parties de l'os panneau latéral pouvant s'ouvrir pour atteindre le mécanisme de la visière .......

Les motocyclistes ne devraient pas porter un casque qui a déjà subi un choc, car un trou se forme entre la coque et la couche de mousse, qui réduit la capacité d'absorption des chocs.

fracturé et pour réparer le tissu endommagé.

On prescrit également des antibiotiques, car les risques d'infection sont importants.

Des pronostics difficiles La plupart du temps, après un traumatisme crâ­ nien important, des séquelles apparaissent, dont le pronostic est délicat.

Il dépend de la nature du traumatisme, de l'âge de la victime et de l'étendue des lésions cérébrales.

En cas d'hématome extra­ durai ou sous-durai, plus l'intervention chirurgi­ cale est rapide, plus l'issue est favorable.

L'épilepsie fait partie des séquelles possibles.

Des crises apparaîssent parfois plusieurs mois ou même des années après le traumatisme.

Le « syn­ drome subjectif des traumatisés du crâne » se caractérise par des céphalées (maux de tête), des troubles de la vision et des vertiges.

Il peut durer des mois, mais se guérit le plus souvent.

Des troubles de la mémoire ou du caractère peuvent se produire également.

Les progrès médicaux et chirurgicaux ont aug­ menté les chances de survie après un traumatisme crânien majeur.

Cependant, le cerveau ayant été atteint gravement, la victime peut rester paralysée ou connaître des troubles mentaux irrémédiables.

En effet, lorsque des cellules du cerveau ont été détruites, elles ne sont malheureusement jamais remplacées par de nouvelles.. »

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