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Grand oral du bac : LE TOUCHER

Publié le 04/02/2019

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Les nocicepteurs perçoivent la douleur. Celle-ci peut être d’origine thermique ou mécanique et, par conséquent, mettre en jeu, outre les terminaisons nerveuses libres dans la peau, celles qui sont en contact avec les corpuscules sensibles spécifiques.

 

La transmission des messages

 

En réalité, les fibres nerveuses de l’organisme réagissent continuellement à toute une série de facteurs stimulants. La sensibilité de la peau dépend de la richesse en terminaisons nerveuses et en corpuscules tactiles de chacune de ses parties. La perception tactile est ainsi maximale sur la paume de la main, sur la pulpe des doigts et au bord des lèvres; à l’inverse, elle est minimale dans le dos et sur la face postérieure des membres. La qualité de la peau intervient également dans la fiabilité du toucher: quand la peau est fine, après avoir été l’objet d’un décapage (peeling) ou par l’exercice répété (comme chez les aveugles), le tact est plus développé.

 

Différentes expériences ont été menées pour déterminer si les fibres véhiculaient chacune un certain type de message relatif à un stimulus précis. On a constaté que certaines fibres envoyaient des messages uniquement en cas de brûlure de la peau, de pincement, d’irritation, etc.

 

Toutefois, la transmission du signal ne dépend pas de la terminaison nerveuse proprement dite, mais plutôt de la fréquence et de l’intensité des impulsions qui parcourent les fibres nerveuses relayant les informations, créant ainsi une chaîne ininterrompue de terminaisons nerveuses jusqu’au cerveau.

 

Quel que soit le type de sensations transmises, il existe un décalage entre le moment où se produit la stimulation et l’instant où le cerveau reçoit cette information et nous en fait prendre conscience: ce retard est estimé à environ un dixième de seconde.

« Le toucher sensibles à la pression cutanée légère, alors que ceux de Pacini le sont à la pression profonde.

Les nocicepteurs perçoivent la douleur.

Celle-ci peut être d'origine thermique ou mécanique et, par conséquent, mettre en jeu, outre les terminai­ sons nerveuses libres dans la peau, celles qui sont en contact avec les corpuscules sensibles spécifiques.

La transmission des messages En réalité, les fibres nerveuses de l'organisme réagissent continuellement à toute une série de facteurs stimulants.

La sensibilité de la peau dépend de la richesse en terminaisons nerveuses et en corpuscules tactiles de chacune de ses par­ ties.

La perception tactile est ainsi maximale sur la paume de la main, sur la pulpe des doigts et au bord des lèvres; à l'inverse, elle est minimale dans le dos et sur la face postérieure des membres.

La qualité de la peau intervient égale­ ment dans la fiabilité du toucher: quand la peau est fine, après avoir été l'objet d'un décapage (peeling) ou par l'exercice répété (comme chez les ave ugles), le tact est plus développé.

Différentes expériences ont été menées pour déterminer si les fibres véhiculaient chacune un certain type de message relatif à un stimulus pré­ cis.

On a constaté que certaines fibres envoya ient des messages uniquement en cas de brûlure de la peau, de pincement, d'irritation, etc.

Toutefois, la transmission du signal ne dépend pas de la terminaison nerveuse proprement dite, mais plutôt de la fréquence et de l'intensité des impulsions qui parcourent les fibres nerveuses relayant les informations, créant ainsi une chaîne ininterrompue de terminaisons nerveuses jus­ qu'au cerveau.

Quel que soit le type de sensations transmises, il existe un décalage entre le moment où se pro­ duit la stimulation et l'instant où le cerveau reçoit cette information et nous en fait prendre conscience: ce retard est estimé à environ un dixième de seconde.

LES RÉCEPTEURS CUTANÉS Grâce aux récepteurs sensibles aux stimulations extérieures qu'elle contient, ta peau est un organe sensoriel susceptible de réagir à un targe éventail de stimuli.

Ces récepteurs sont répartis en trois groupes selon le type de stimulation: DOULEUR mécanique, thermique ou douloureuse.

La plupart de ces récepteurs spécialisés sont situés dans le derme, où ils se présentent sous des formes distinctes.

terminaisons nerveuses libres FROID CHALEUR corpuscule de Krause corpuscule de Ruffini terminaisons corpuscule de Meissner corpuscule de Ruffini corpuscule de Krause graisse sous-cutanée derme nerveuses libres corpuscule de Melssner corpuscule de Paclnl L'exemple de la douleur La douleur est une sensation qui résulte de la stimulation de certaines fibres nerveuses cuta­ nées ou internes.

Elle s'inscrit dans un éventail de réactions qui vont du simple désagrément pas­ sager ou de la démangeaison à la douleur intolé­ rable qui peut aller jusqu'à provoquer une perte de conscience.

Les nocicepteurs situés dans le cerveau réagis­ sent presque instantanément -plus ou moins rapidement, d'où la nature différente des dou­ leurs- aux sécrétions chimiques relâchées par les cellules endommagées.

Ce rôle important joué par le cerveau dans la sensation de la douleur a été mis en lumière par des expériences tendant à mieux la supporter.

Il est à même de sélectionner et de contrôler les sensations tactiles.

� Le braille est une écriture en relief, que tes aveugles déchiffrent à l'aide de leurs doigts.

La pulpe des doigts possède une forte concentration de récepteurs cutanés sensibles à la pression profonde (corpuscules de Pacini).

Les récepteurs de ta pression superficielle (corpuscules de Meissner) sont aussi concentrés dans les doigts de la main.. »

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