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Grand oral du bac : LE DIAGNOSTIC MÉDICAL

Publié le 02/02/2019

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Le médecin regroupe ensuite les résultats de ces investigations cliniques et biologiques et établit un diagnostic différentiel dont il discute avec un spécialiste le cas échéant. Le diagnostic différentiel permet d’éliminer les maladies ou affections présentant des signes communs avec la maladie décelée.

 

Les traitements des maladies diagnostiquées

 

Les progrès de la pharmacologie ont permis de créer des substances chimiques aptes à éradiquer de très nombreuses maladies. C’est tout d’abord vers elles que le médecin cherchera celle qui est adaptée à la maladie de son patient. Il prend soin, avant de choisir le médicament approprié, de vérifier grâce à l’antibiogramme que le malade ne présente pas d’allergies aux substances entrant dans sa composition et qu’il est compatible avec les autres médicaments que son patient peut déjà utiliser. Il faut savoir que certains médicaments ne sont pas compatibles entre eux. D’autres ne peuvent être administrés à une femme enceinte; enfin, les doses varient en fonction de l’âge du patient.

 

On peut classer les médicaments selon leur origine (végétale, animale ou chimique), leur but

 

(préventif ou curatif), leur composition (simple ou composée), leur indication (stimulant ou sédatif), leur application (externe ou interne), laquelle se subdivise selon les cas en voie buccale, rectale, digestive, parentérale, etc.

 

Dans le cas de lésion non-microbienne et lorsque les organes profonds sont touchés, on recourt à la chirurgie. Celle-ci se répartit en chirurgie élective où le médecin choisit la date de l’intervention et les techniques suppléantes (pose de vis, de plaques, de prothèses dans le cas d’une fracture) et en chirurgie non élective lorsque les fonctions vitales du patient sont en jeu (accidents de la circulation).

 

Le laser a récemment révolutionné la chirurgie en permettant d’intervenir sur des affections qu’on ne traitait chirurgicalement qu’avec peu de chances de succès. C’est le cas des maladies de l’œil, de l’appareil digestif ou du cancer. Le laser a permis par ailleurs de réduire la taille des cicatrices sur le corps après l’intervention.

« Le diagnostic médical diagnostiquée.

Il peut s'agir d'une endoscopie (observation pratiquée en introduisant un instru­ ment muni d'un embout photographique dans les cavités du corps), d'une radiographie des membres ou du tronc, d'un électrocardiogram­ me (enregistrement des pulsations cardiaques), d'un électro-encéphalogramme (enregistrement graphique de l'activité du cerveau), d'une scano­ graphie (radiographie effectuée par des rayons X permettant de prendre des clichés d'un organe), d'une ultrasonographie ou Doppler (calcul de la vitesse de circulation du sang dans un vaisseau), d'analyses physiques et chimiques des humeurs (sang, urine, liquide céphalorachidien), d'exa-1 L'ophtalmologiste utilise un fluoroscope a pour examiner les dommages causés sur la surface de l'œil.

Les coupures ou les lésions de la cornée ressortent en vert fluorescent grâce à un colorant appelé fluorescéine déposé dans l'œil.

mens microscopiques des tissus lésés, du pus, des sécrétions.

Si ceux-ci se révèlent microbiens, ils sont mis en culture.

Il s'agit alors d'examens biologiques qui permettent d'identifier les espèces microbiennes en cause.

On effectue ensuite un antibiogramme pour identifier leur sensibilité aux antibiotiques.

Le médecin regroupe ensuite les résultats de ces investigations cliniques et biologiques et éta­ blit un diagnostic différentiel dont il discute avec un spécialiste le cas échéant.

Le diagnostic diffé­ rentiel permet d'éliminer les maladies ou affec­ tions présentant des signes communs avec la maladie décelée.

Les traitements des maladies diagnostiquées Les progrès de la pharmacologie ont permis de créer des substances chimiques aptes à éradi­ quer de très nombreuses maladies.

C'est tout d'abord vers elles que le médecin cherchera celle qui est adaptée à la maladie de son patient.

Il prend soin, avant de choisir le médicament approprié, de vérifier grâce à l'antibiogramme que le malade ne présente pas d'allergies aux substances entrant dans sa composition et qu'il est compatible avec les autres médicaments que son patient peut déjà utiliser.

Il faut savoir que certains médicaments ne sont pas compatibles entre eux.

D'autres ne peuvent être administrés à une femme enceinte; enfin, les doses varient en fonction de l'âge du patient.

On peut classer les médicaments selon leur ori­ gine (végétale, animale ou chimique), leur but Le sulfate ......

de baryum purifié est un produit naturel insoluble dans l'eau et d'une grande stabilité que l'on utilise en radiologie du fait de son opacité aux rayons X.

Il permet d'obtenir en radiologie et en radioscopie des images des cavités digestives.

(préventif ou curatiQ, leur composition (simple ou composée), leur indication (stimulant ou sédatiQ, leur application (externe ou interne), laquelle se subdivise selon les cas en voie buc­ cale, rectale, digestive, parentérale, etc.

Dans le cas de lésion non-microbienne et lorsque les organes profonds sont touchés, on recourt à la chirurgie.

Celle-ci se répartit en chi­ rurgie élective où le médecin choisit la date de l'intervention et les techniques suppléantes (pose de vis, de plaques, de prothèses dans le cas d'une fracture) et en chirurgie non élective lorsque les fonctions vitales du patient sont en jeu (accidents de la circulation).

Le laser a récemment révolutionné la chirurgie en permettant d'intervenir sur des affections qu'on ne traitait chirurgicalement qu'avec peu de chances de succès.

C'est le cas des maladies de l'œil, de l'appareil digestif ou du cancer Le laser a permis par ailleurs de réduire la taille des cica­ trices sur le corps après l'intervention.

Le suivi médical Quelle que soit la façon choisie par le médecin pour soulager et guérir son patient, ille suivra pas à pas au cours de son traitement.

Il procédera à de nouvelles investigations fonctionnelles afin de vérifier la complète guérison.

La disparition des symptômes et des douleurs énoncées par le patient, lors de sa première consultation, sont souvent le signe patent de la guérison.

Parfois, notamment dans le cas des maladies virales, le malade devra consulter son médecin tous les trois mois afin de s'assurer que la maladie est totalement résorbée.

Un bilan de santé régulier permet de détecter et de prévenir une récidive afin de la soigner au plus vite.

Pour s'assurer une bonne santé, il est nécessai­ re d'être à l'écoute de son corps et de respecter quelques règles d'hygiène élémentaires.

' Le cathétérisme cardiaque est utilisé afin d'étudier les maladies et les déficiences congénitales du cœur.

Un cathéter (sonde creuse) (1) est introduit dans la veine du bras (2) puis il est poussé jusqu'à la veine cave supérieure (3), à l'oreillette droite ( 4), au ventricule droit (5) et à l'artère pulmonaire (6).

Le côté gauche du cœur peut être observé en faisant passer un cathéter dans l'artère jusqu'à l'aorte (7), à la valve aortique (8) et au ventricule gauche (9).

LE CATHÉTÉRISME CARDIAQUE. »

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