Grand oral du bac : La médecine vétérinaire
Publié le 12/11/2018
Extrait du document
UN MÉTIER AUX MULTIPLES FACETTES
Environ 15800 vétérinaires exercent en France et 170000 à l'échelle des vingt-cinq pays de l'Union européenne. Derrière le titre de docteur-vétérinaire se cache une grande disparité de métiers. Si la majorité des vétérinaires (85 %) soignent les animaux (de compagnie ou de rente), les autres occupent des fonctions diverses dans le public ou le privé : industrie pharmaceutique ou agro-alimentaire, enseignement, recherche et, surtout, contrôle sanitaire des denrées d'origine animale. Cette dernière fonction fait d’eux des agents essentiels de la sécurité alimentaire et donc de la santé publique.
HISTOIRE DE LA MÉDECINE VÉTÉRINAIRE
L'origine de la médecine vétérinaire repose sur un triptyque : les médecins, les guérisseurs et les hommes du cheval.
US MÉDECINS
Des médecins français (Montdar ou Héroard au xvi* siècle) ont publié des ouvrages sur l'anatomie ou les maladies des animaux, contribuant ainsi à la diffusion du savoir vétérinaire. Dans les années 1710, des médecins acceptèrent de mettre leurs compétences au service de l'État pour faire face à l'épidémie de peste bovine qui sévissait alors. On fit encore appel à eux pour traiter une épidémie de typhus (1743) et de clavelée du mouton (1746). Le corps médical raisonnait à l'époque par analogie, comme dans les enseignements d'Hippocrate, sans vraiment connaître les particularités des maladies animales.
Les guérisseurs
À défaut d'être appréciés par les hommes de l'art, les rebouteux et autres guérisseurs étaient en phase avec les attentes des paysans. Pour soigner, ils s'appuyaient à la fois sur l'observation de l’animal et sur l'invocation de forces surnaturelles ou religieuses. À côté des manipulations osseuses ou de l’administration de divers remèdes, des messes étaient dites pour favoriser la guérison des bêtes, et les curés bénissaient l'avoine qui leur était destinée. Cette médecine populaire parvenait à guérir
certains troubles, notamment articulaires, mais elle était limitée par l'incompétence scientifique des guérisseurs.
Les hommes du cheveu.
Ce sont eux qui ont certainement le plus compté dans la naissance de la médecine vétérinaire. À une époque où le cheval jouait un rôle essentiel, il était logique que les maréchaux (qui deviendront les maréchaux-ferrants au début du xvn* siècle) soient les acteurs incontournables d'une pratique vétérinaire balbutiante. La connaissance du cheval fut donc le socle de l'art vétérinaire.
En 1644, Jacques de Solleysel, écuyer de Louis XIV, publia Le parfait maréchal qui enseigne à connaître la beauté, la bonté et les défauts des chevaux, ouvrage qui devint une véritable bible sur la reproduction, le dressage et la thérapeutique du cheval. Un autre écuyer, Claude Bourgelat, rédigea des ouvrages sur le cheval, notamment Élémens d'hippiatrie (1750), dans lequel il évoquait son désir de créer un enseignement vétérinaire. De sa rencontre avec Henri-Léonard Bertin, contrôleur général des finances sous Louis XV, allaient naître les écoles vétérinaires.
La création des écoles vétérinaires En 1761, Louis XV demanda à Bertin de créer une école vétérinaire dont la direction serait confiée à Claude Bourgelat. L'objectif principal du gouvernement était de lutter contre les maladies qui ravageaient le bétail. La première école, dirigée par Bourgelat, fut inaugurée à Lyon en 1762. Celle d'Alfort, aux portes de Paris, ouvrit en 1766 avec Honoré Fragonard à sa tête, un des grands spécialistes de l'anatomie de l'époque. Suivront l'école de Toulouse (1834) et celle de Nantes, bien plus tard (1979).
En 1923, une loi institua le doctorat vétérinaire après un combat de titans entre corporations, surtout avec celle des
médecins, qui ne comprenaient pas que les vétérinaires puissent bénéficier du titre de docteur.
• Les stérilisations. Le vétérinaire pratique une ovariectomie (retrait des ovaires) chez la femelle, une castration (ablation des testicules) chez le mâle. La stérilisation peut se faire chez le jeune sexuellement immature ou chez l'adulte.
• Les maladies courantes.
On rencontre la même diversité de maladies que chez l'homme.
- Les problèmes cutanés ont le plus souvent une origine parasitaire (puces, tiques, poux, gale...), mais ils peuvent être dus à d'autres causes (problème hormonal, maladie lupique, tumeurs...).
- Les symptômes digestifs (vomissements, diarrhée, constipation, anorexie...) relèvent de causes variées, de l'intoxication (ingestion de produit caustique, d'aliments contaminés...) à l'infection virale ou parasitaire.
- Les problèmes cardiaques, diagnostiqués à l'occasion d'un examen de routine ou lorsque l'animal présente un essoufflement ou une toux à l'effort, sont le plus souvent des troubles du rythme ou des insuffisances cardiaques.
- Les problèmes respiratoires relèvent de causes diverses, de la bronchite à l'allergie en passant par la présence d'un corps étranger (passé par les narines).
- Les troubles rénaux : le plus fréquent est l'insuffisance rénale chronique (IRC).
- Les troubles urinaires : l'animal peut présenter une incontinence d'origine hormonale (après une castration) ou liée à une malformation, une obstruction ou un traumatisme.
«
t(
RURALE ,, ET u CANINE n :
DEUX APPROCHES
A la différence de son homologue
"canin», le praticien mixte partage
son temps entre son cabinet,
où viennent les propriétaires
de petits animaux, et les élevages,
où il se rend de jour comme
de nuit au "chevet des malades».
Son approche est radicalement
différente selon qu'il s'agit d'un
animal de compagnie ou d'élevage.
Les motivations de l'éleveur sont
essentiellement économiques, tandis
que celles du propriétaire d'un animal
familier (qui peut aussi être l'éleveur)
sont surtout sentimentales.
Le rapport
à la mort n'est pas le même.
Pour
deux cas de gravité comparable,
le vétérinaire pourra d'un côté
délivrer un certificat d'abattage,
de l'autre chercher à traiter ou
à soulager au maximum la maladie
ou les souffrances de l'animal avant
d'évoquer une euthanasie.
UNE MISSION DE SANTt PUBLIQUE
Les animaux d'élevage étant destinés à
l'alimentation humaine, les vétérinaires
de campagne assument un mandat
sanitaire, qui consiste à effectuer
des opérations de prophylaxie
collective.
Un premier volet comprend
les vaccinations (fièvre aphteuse,
brucellose, toxoplasmose, tuberculose,
rage, clostridiose ...
).
Un second volet
concerne le dépistage et l'élimination
des animaux malades.
Pour la
tuberculose, par exemple, les animaux
sont soumis à un test (tuberculination)
à l'entrée dans les élevages et des
contrôles post mortem ont lieu à
l'abattoir lors de l'inspection des
carcasses.
La brucellose, responsable
d'avortements chez les ruminants, fait
aussi l'objet d'un plan de lutte national,
qui passe par un dépistage obligatoire
en cas d'avortement et des contrôles
sanitaires réguliers au sein des
élevages.
Le vétérinaire doit également
s'assurer qu'aucun animal destiné à
l'alimentation humaine ne renferme de
résidus médicamenteux.
Il ne délivrera
pas de certificat d'abattage si l'animal
conserve des traces d'antibiotiques
dans les muscles et n'autorisera pas
une laiterie à recueillir du lait sur
des vaches qui ont été traitées
par injection intramammaire
deux heures auparavant.
LES MOnFS DE CONSULTATION FRtQUENTS
Le vétérinaire est amené à traiter des
maladies de toute nature, souvent
spécifiques aux ruminants et donc
différentes de celles des carnivores
domestiques (chiens et chats).
• Problèmes spécifiques au cheptel
laitier.
Les vaches laitières souffrent
fréquemment de mammites (infections
des mamelles}, qui peuvent, entre
autres, être liées à une mauvaise
hygiène de la salle de traite ou
de l'environnement de l'animal.
La traite doit être interrompue
durant le traitement (antibiotiques).
Le déplacement de la caillette (dernière poche
de l'estomac des ruminants) est
un autre problème courant au sein des
cheptels laitiers à haute production.
Il
survient dans les semaines qui suivent
le vêlage (mise bas) et nécessite une
intervention chirurgicale pour
repositionner correctement la caillette.
• Maladies courantes
- Les problèmes digestifs : ce sont
des diarrhées d'origine alimentaire,
infectieuse ou autre.
La stomatite
papuleuse des bovins, qui touche
surtout les veaux, est contagieuse
et peut se transmettre à l'homme
accidentellement, en cas de contact
d'une plaie avec des lésions animales.
Une intoxication (ingestion d'herbes
jeunes, de produits toxiques, de sacs
en plastique, de pierres ...
) nécessite
parfois la pratique d'une ruminotomie
(ouverture du rumen, ou panse)
par le vétérinaire.
- Les problèmes cutanés : les bovins
peuvent souffrir de mycoses
contagieuses (souvent à la tête et sur
l'encolure).
Les teignes bovines peuvent
se transmettre à l'homme, les éleveurs,
vétérinaires, techniciens d'élevage,
inséminateurs et maquignons
(marchands) étant particulièrement
exposés.
La lutte contre les agents des
gales et les poux repose sur l'utilisation
d'insecticides ou d'acaricides et sur des
mesures de prophylaxie hygiénique.
Les locaux occupés par des animaux
galeux font l'objet d'un vide sanitaire
durant plusieurs semaines.
Lorsqu'un
cas de gale est signalé dans un
troupeau, tous les animaux sont traités.
- Les troubles pulmonaires les plus
courants sont les pneumopathies
et les pneumonies chroniques.
- Les troubles nerveux peuvent être
dus à de nombreuses causes : ingestion
accidentelle de toxine botulinique,
listériose, méningite, tétanos et, surtout,
encéphalopathie spongiforme bovine
(ESB, ou maladie de la vache folle), qui
se transmettrait à l'homme (maladie
de Creutzfeldt-Jakob) par le biais
d'un agent pathogène appelé prion.
En France, la maladie semble décliner.
Sur quelque 3 millions de bovins
testés pour I'ESB en 2003, 135 ont
été confirmés positifs, contre 240
en 2002 et 270 en 2001.
• Les vêlages.
Le vétérinaire peut
être appelé chez un éleveur quand
une mise bos ne se déroule pas
normalement et nécessite une
césarienne (hystérotomie).
C'est
le cas lorsque le volume fœtal est
trop important par rapport au pelvis
de la vache ou lors de présentations et
positions défectueuses et irréductibles
par les manœuvres obstétricales.
La césarienne est actuellement
• Des gestes d'entretien
-Depuis les années 1980, la plupart
des bovins sont traités à titre préventif
(parage fonctionnel des bovins)
pour éviter des boiteries dues
à l'usure des pieds et à différentes
affections provoquant une croissance
anarchique des onglons.
-
L:écornage des bovins est pratiqué
pour éviter qu'un sujet ne blesse ses
congénères ou l'éleveur, mais aussi en
cas de problème de corne (croissance
anormale, fêlure, fracture ou tumeur).
Chez le jeune, le vétérinaire détruit
le bourgeon de la corne et de la
membrane kératogène; chez l'adulte,
il enlève la corne à l'aide d'une scie-fil
munie de deux poignées.
UN CAS PARTICULIER : US PRODUCTIONS
ANIMALES HORS SOL
Quelque 830 vétérinaires sont rattachés
à des exploitations hors sol
(établissements d'élevage intensif).
Ces
productions concernent essentiellement
les volailles {270 millions), mais on y
trouve aussi des porcs {15 millions),
des lapins (11 millions) et des veaux
de boucherie {720000).
Employés dans des coopératives ou
consultants extérieurs, les vétérinaires
assurent ici un suivi de routine
(contrôle de l'état de santé des
animaux, opérations de prophylaxie
réglementées) et ont un rôle de
formation des techniciens qui travaillent
sur place.
On fait également appel à
eux pour déterminer les points critiques
d'un élevage (surpopulation, problème
sanitaire) ou établir un diagnostic
en cas de mortalité inexpliquée
ou de troubles du comportement
(poules ou cochons qui tentent
de s'entre-dévorer, par exemple).
LES VÉTÉRINAIRES
ET LA FAUNE SAUVAGE
Les vétérinaires spécialisés en faune
sauvage sont peu nombreux, une
cinquantaine seulement.
Leurs
confrères libéraux peuvent aussi être
amenés à être consultants pour des
parcs zoologiques ou des cirques.
Leur pratique porte, selon les cas, sur :
-les soins aux animaux (zoos et parcs
animaliers) ;
-l'étude du comportement, des
maladies, de l'alimentation, de la
génétique ...
d'animaux en captivité
en vue d'organiser au mieux leur
réintroduction dans leur milieu naturel ;
-la recherche, par exemple sur
l'amélioration de la reproduction
grâce aux techniques de congélation
de semence, de transfert d'embryon
ou de fécondation in vitro.
LES VÉTÉRINAIRES DE
LA FONCTION PUBLIQUE
Les 2185 vétérinaires de la fonction
publique se répartissent en deux grands
corps : les vétérinaires inspecteurs et
les vétérinaires enseignants-chercheurs
des écoles nationales.
lES VhhiNAIRES INSPEffiURS
Ce sont des fonctionnaires de l'État
qui travaillent sous la responsabilité de
la direction générale de l'Alimentation.
Pour certaines missions, ils sont relayés
dans les campagnes par les vétérinaires
libéraux en charge du maillage sanitaire
via le mandat sanitaire.
•
Les mesures sanitaires : elles vont de
simples précautions prophylactiques
jusqu'à l'abattage de troupeaux entiers,
en cas de foyer de fièvre aphteuse
ou d'encéphalopathie spongiforme
bovine, par exemple.
• La protection animale : elle consiste
à contrôler les laboratoires de
recherche animalière, privés ou publics,
afin de faire appliquer les directives
en matière de protection de l'animal.
• La vérification
de la salubrité
des denrées
animales : elle
va des matières
premières (viande, œuf,
lait, poisson)
aux produits
transformés, en incluant toute la chaine
alimentaire (transport, transformation,
fabrication, procédés de conservation
et distribution).
L:exercice de ces
missions conduit parfois à la saisie
de denrées non conformes, dans des
restaurants ou chez des commerçants.
• Le respect de l'environnement :
cette mission peu connue consiste à
contrôler des installations susceptibles
de générer des nuisances (pollution)
eV ou de transmettre des maladies.
Les industries de transformation
des déchets générés par les élevages
(animaux morts notamment), par
exemple, sont concernées.
lEs vtltRINAIRES ENSEIGNANTS-CHERCHEURS
L:enseignement et la recherche
sont souvent liés dans les écoles
vétérinaires, même si des chercheurs
rejoignent d'autres instituts comme
l'INRA ou l'Institut Pasteur, voire des
entreprises privées.
Les domaines
de la recherche vétérinaire sont :
-le contrôle de la reproduction et des
performances des races (amélioration
des performances des vaches laitières,
par exemple) ;
-la biologie moléculaire (recherche
sur le prion, agent pathogène de
la maladie de la vache folle, mise au
point d'antibiotiques à spectre large,
développement de produits pour lutter
contre le diabète du chien, adaptation
au chat et au chien de traitements
humains contre le cancer.
..
).
De grands progrès peuvent leur être
attribués, qui dépassent le cadre de la
médecine vétérinaire.
Les recherches
sur l'animal bénéficient à l'homme
dans la mesure où la souris, le singe
ou le porc sont souvent utilisés pour
modéliser de futurs protocoles
thérapeutiques.
Elles permettent de
maîtriser ou d'éradiquer des zoonoses
(maladies qui se transmettent de
l'animal à l'homme), telles la rage,
la brucellose ou la tuberculose, ou
d'autres affections dans lesquelles
l'animal est un vecteur de maladie
pour l'homme, comme le paludisme
transmis par les moustiques ou encore
la maladie de Lyme véhiculée par
les tiques, que l'on retrouve, entre
autres, sur les chiens.
LE VÉTÉRINAIRE
DANS L'INDUSTRIE PRIVÉE
Ils sont environ 1 500 et travaillent
dans l'industrie pharmaceutique
(animale ou humaine) ainsi que,
dans une moindre mesure, au sein
de l'industrie agroalimentaire.
L'INDUSTRIE
PHARMACEUTIQUE
• Le vétérinaire sanitaire est
responsable des animaleries de
l'entreprise.
Il assure les soins, veille
au respect de la protection animale ...
• Le pharmacotoxicologue travaille
au développement de nouvelles
thérapeutiques et à l'étude
de la phys iologie animale.
• Le responsable de produits en
développement coordonne la mise
au point de futurs médicaments grâce
à sa connaissance de la physiologie
animale et de la pharmacologie.
• Le responsable marketing ou
commercial conçoit le marketing
des produits.
Il a souvent une double
formation (cursus vétérinaire et école
de commerce).
L'INDUSTR IE ACRO·ALIMENTAIRE
Du suivi des élevages en amont
à la qualité des produits finis, les
vétérinaires de l'agroalimentaire jouent
un rôle de garant de la salubrité des
aliments mis sur le marché.
Ils veillent
au respect de la réglementation et au
suivi des certifications de conformité.
Ils sont souvent en contact avec leurs
confrères du ministère de l'Agriculture
en charge de la santé publique.
D 'AUTRES MÉTIERS
Le diplôme de vétérinaire mène
à d'autres carrières plus confidentielles.
L:armée emploie ainsi des vétérinaires
pour s'occuper de ses chevaux
et d'autres animaux (faucons, par
exemple).
Des associations, comme
Vétérinaires sans frontières, organisent
des missions humanitaires pour
implanter des élevages dans des pays
en voie de développement.
En marge de leur pratique classique,
certains vétérinaires élèvent et
dressent des chiens (cynophilie),
font des expertises pour le compte
de compagnies d'assurance (lors de
décés d'animaux, par exemple) ou
d'associations de protection animale.
D'autres sont sapeurs-pompiers de
réserve et interviennent, par exemple,
pour secourir des troupeaux lors
d'inondations importantes, conduire
des chiens de haute montagne aprés
une avalanche ou attraper un animal
exotique, comme un serpent importé
par un propriétaire indélicat.
L'ORDRE NATIONAL
DES VÉTÉRINAIRES
Institué en 1942, il a plusieurs missions.
La première est administrative, avec
la tenue du tableau de l'Ordre, où sont
inscrits tous les vétérinaires faisant
état de leur diplôme pour l'exercice
de leur profession.
La deuxième est
réglementaire, l'Ordre soumettant
des projets de textes au législateur.
La troisième consiste à maintenir
l'ordre au sein de la profession en
réglant les litiges par le biais de la
conciliation, de l'arbitrage ou de la
sanction.
Pour cela, l'Ordre s'appuie
sur un Code de déontologie, à l'Instar
de celui des médecins, qui définit les
règles d'exercice, de communication
et de bienséance.
L:Ordre a aussi un
rôle social d'aide à des vétérinaires
ou à leur famille en difficulté.
Enfin,
il représente la profession vis-à-vis
de l'extérieur et assure le lien entre les
clients et les praticiens en cas de conflit.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Grand oral du bac : LA MÉDECINE VÉTÉRINAIRE
- Grand oral du bac : La sophrologie (Histoire de la médecine)
- Grand oral du bac : Les greffes d'organes, ou transplantations (Histoire de la médecine)
- Grand oral du bac : L'épilepsie (Histoire de la médecine)
- Grand oral du bac : Le cancer (Histoire de la médecine)