État de choc

« les consequences vasomotrices de Ia liberation des cate- cholamines.

Les visceres abdominaux vont avoir un debit considerablement relentl.

Les celheles de Ia myqueuse intestinale vont mourir, Ia rupture des petits vaisseaux conduira a une diarrhea sanglante. 4 Le phenomene majeur de retat de choc est l'anoxie cellulaire.

Les cellules ne recevant plus assez d'oxygene, lour vie dans les organes abdominaux ne pout plus se faire en aeroblose.

La degradation anaerobic du glucose (glycolyse) va donc assurer momentanement leur survie. Mais le produit de cotta degradation, l'acide lactique, ne pout etre transforms par le foie dont les possibilities sont vice depassees, et s'accumule dans le sang avec les acides gras et les corps cetoniques.

Ces acides sont ainsi a l'origine de l'acidose caracterisant les perturba- tions metaboliques de retat de choc. 5 Les reactions biologiques al'agression sontun moyen de defense de l'organisme.

Cependant, elles pro- voquent des perturbations dangereuses pour lemilieu interieur et ne sont pas « homeostatiques » au sens pro- pre.

it Taut donc lutter d'abord contre la lesion.

On pout faire appal a Ia transfusion pour restaurer Ia masse san- guine et aux antimicroblens.

Le traitement dolt assurer une ventilation efficace, un bon fonctionnement de rap- pareil cardio-vasculaire et Ia regression de la douleur. les conséquences vasomotrlces de la libération des caté- cholamines. Les viscères abdominaux vont avoir un débit considérablement ralenti.

Les cellules de la muqueuse intestinale vont mourir, la rupture des petits vaisseaux conduira à une diarrhée sanglante.

4 Le phénomène majeur de l'état de choc est l'anoxie cellulaire. Les cellules ne recevant plus assez d'oxygène, leur vie dans les organes abdominaux ne peut plus se faire en aérobiose. La dégradation anaéroble du glucose (gtycolyse) va donc assurer momentanément leur survie.

Mais le produit de cette dégradation, l'acide lactique, ne peut être transformé par le foie dont les possibilités sont vite dépassées, et s'accumule dans le sang avec les acides gras et les corps cétoniques. Ces acides sont ainsi à l'origine de l'acldose caractérisant les perturba­ tions métaboliques de l'état de choc.

5 Les réactions biologiques à l'agression sont un moyen de défense de l'organisme.

Cependant, elles pro­ voquent des perturbations dangereuses pour le milieu intérieur et ne sont pas « homéostatiques » au sens pro­ pre.

Il faut donc lutter d'abord contre la lésion. On peut faire appel à la transfusion pour restaurer la masse san­ guine et aux antlmicrobiens.

Le traitement doit assurer une ventilation efficace, un bon fonctionnement de l'ap­ pareil cardio-vasculaire et la régression de la douleur.. »