Bouche-à-bouche et massage cardiaque.

« Bouche-à-bouche et massage cardiaque Massage cardiaque : placer les mains l'une sur l'autre sur le sternum , ATTENTION Les manœuvres de réanimation cardiaque et respiratoire doivent être poursuivies jusqu'à l'arrivée des secours médicalisés, jusqu'à la reprise des fonctions spontanées stables ou jusqu'à l'avis de décès formulé par un médecin.

Comment pratiquer un massage cardiaque ? Technique du massage Le talon d'une main, zone située entre la paume et le poignet, est posé sur le sternum juste entre les seins.

Si cette main reste bien au centre de la poitrine, il y a moins de risques de fracturer les côtes.

L'autre main est placée sur la première .

Les bras du sauveteur sont tendus à la verticale et transmettent un appui net appuyer pour enfoncer le sternum de 3 à 5 cm, mais sans brutalit é .

Dès que le sternum s'est enfoncé de 3 à 5 centimètres, l'appui est relâché et une fraction de seconde d'arrêt est observée pour que le cœur se rempliss e à nouveau .

Technique à un sauveteur seul Le sauveteur commence par pratiquer trois ou quatre insufflations, puis vérifie si le cœur ne bat pa s .

Il commence alors une série de dix mas sages, puis reprend en alternance deux insufflations.

Cette proportion de dix massages pour deux ventilations est maintenue tout au long de la manœuvre .

Des temps de pause sont observés à intervalle régulier pour contrôler la reprise éventuelle des fonctions spontanées.

Technique à deux sauveteurs L'un pratique la ventilation orale pendant que l'autre pratiquer 5 massages pour une insufflation .

pratique le massage cardiaque.

La proportion est de cinq massages pour une insufflation , en essayant d'év iter tout temps mort.

On obtient ainsi une fréquence d'environ soixante massages par minute pour une dou za ine d'insufflations .

Quels sont les résultats ? S'il s'agit d'une maladie cardiaque ou pulmonaire mortelle , il y a peu de chances de récupération.

En cas d'accident ou d 'intoxication chez un sujet en bon état général aupara­ vant, les chances de succès sont meilleures.

C'est chez les enfants, qui résistent bien à un manque d'oxygè ne , que l'on a les plus grandes chances de réussite, même après plusieurs minutes d'arrêt cardiaque.

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