Cônes et cylindres : cours de mathématique
Publié le 28/10/2012
                             
                        
Extrait du document
La difficulté est donc de calculer l'aire A de la base, ce qui n'est pas toujours poss ible de façon mathématique. Si on veut mesurer le volume d'un solide, une so lution est de le plonger dan s un récipient gradué et de me surer la différence de volume, qui sera égale au volume du solide immergé. On peut aussi calculer l'aire de la surface latérale du cylindre, qui est égale au produit de la hauteur du cylindre et du périmètre du contour. Ainsi , si P est le périmètre du contour et H la hauteur du cylindre, l'aire latérale A du cylindre est A= H x P. Une manière encore plus abstraite de définir un cylindre serait d'imaginer un cylindre quelconque qui n'aurait pas de ba se et qui se prolongerait à l'infini. Une image pertinente de ce cylindre « généralisé « est celle d'un faisceau...
«
                                                                                                                            grandeur: 	l'apothème 	a.
                                                            
                                                                                
                                                                    Il s'agit 	simplement 	de la longueur 	d 'un 	segment 	reliant 	le sommet 	au cercle 	de 	base.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le théorème 	de Pythagore 	permet 	d'exprimer 	a.
                                                            
                                                                                
                                                                    En effet, 	le 	triangle 	SOD 	est rectangle 	en O.
                                                            
                                                                                
                                                                    On a 	donc 	a  = v(R1 +  H1).
                                                            
                                                                                
                                                                    	Grâce 	à l'utilisation 	de l'apothème 	on 	peut 	calculer 	l'aire et le volume 	du cône 	tout 	aussi 	facilement 	que 	pour 	le 	cylindre.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Si on appelle 	R le rayon 	du 	cercle 	de base 	et H la hauteur 	du cône, 	l'aire 	de la base 	est A,= 	rrR1
• 	
Par ailleurs, 	l'aire 	de la surface 	latérale 	est Ac= 	rrRa.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'aire 	totale 	du cône 	est donc 	la somme 	de l'aire 	latér	ale et de l'aire 	de la base	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	A=Ac+A , 
A= rrRa+rr R	1 	
A=	rrR(R+a) 	D'autre 	part	, on peut 	calculer 	le volume 	V du cône 	en utilisant 	l'expression 	suivante 	: 	V= 	H(rrR1)/ 3 	Le volume 	d'un cylindre 	est donc 	égal 	à 	l'aire de sa base 	multipliée 	par 	rr et par 	la hauteur 	du cône, 	le tout 	étant 	divisé 	par trois.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La connaissance 	de ces deux 	grandeurs, 	aire 	et volume, 	permet 	de résoudre 	des 	problèmes 	plus 	complexes.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Imaginons 	une 	balle 	de 	tennis 	de rayon 	R.
                                                            
                                                                                
                                                                    Nous 	voulons 	savoir 	quel 	est le volume 	minimal 	du cône 	qui 	pourra accueillir 	cette 	balle	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'hypothèse que 	nous 	faisons 	est que 	la balle 	de 	tenn	is est une 	sphère 	parfaite 	et nous 	voulons 	que 	la balle 	touche 	les côtés 	latéraux 	ainsi 	que 	le 	cercle 	de base.
                                                            
                                                                                
                                                                    Notre 	but 	est d'obtenir 	le volume 	de cône 	le plus 	petit 	possible 	en ayant 	fixé 	R.
                                                            
                                                                                
                                                                    L'expression d e la 	hauteur 	du cône 	qui correspond 	à un 	volume 	intérieur 	minimum 	est H  = 	4R/3, 	le volume 	du cône 	étant 	alors 	deux 	fois 	plus 	gran	d que 	celui 	de la 	sphère	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
G ÉN É	RALISATION 	On peut 	en fait définir 	un cône 	de 	manière 	plus 	large 	:tout 	d'abord	, on 	peut 	prolonger 	« à l'infini 	>> le cône 	que 	nous avons 	étudié 	préc	édemment, 	en 	ne définissant 	pas de base 	qui 	« limiterait 	» les côtés.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Cette 	opération 	peut 	être réalisée 	de part 	et d'autre 	du 	sommet 	: il suffit 	de prolon	ger la 	surface 	latérale 	du cône 	en réali	sant 	une 	symétrie 	centrale 	de centre 	S.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
Soleil 	
Mais 	on peut 	aller 	plus loin 	dans la 	générali	sation 	d 'un cône 	: sa base peut 	ne pas 	être un cercle, 	ni même 	être 	régulière	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ainsi, 	un cône 	possédant 	une 	base 	polygonale 	est une 	pyramide	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Pour 	différencier 	les différents 	types 	de 	pyramides 	réalisées 	selon 	leur 	polygone 	de base, 	on parle 	tour 	à tour 	de pyramide 	à base carrée, 	rectangulaire	, hexagonale 	...
                                                            
                                                                                
                                                                    et le 	sommet 	de la pyramide 	se nomme 	alors 	l'apex.
                                                            
                                                                                
                                                                    Lorsqu'au contraire 	la 	forme 	de la base est un cercle, 	on parle 	de cône 	de révolution.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le seul impératif 	pour 	d éfinir 	un cône 	est donc 	que 	les droites, 	appelée	s 
« 	génératrices 	» se coupent 	en un 	même 	point.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La définition 	la plus large 	que 	l'on puisse donner 	d 'un cône 	est 	donc 	la suiva	nte 	: un cône 	est la 	réunion 	de toutes 	les droite	s 	(les 	génératrices) 	passant 	par 	un m ême 	pointS 	(sommet 	du cône	) et 	rencontrant 	une 	même 	courbe 	C 	(sa directrice	).
                                                            
                                                                                
                                                                    	Alors 	que 	la définition 	élargie 	du 	cylindre 	permettait 	de mettre 	en 	équa	tion différents 	types 	de cylindres	, 	un cône 	est facile 	à mettre 	en équation 	à condition 	qu'il 	soit 	de révolution	, 	c'est-à-dire 	que 	sa base 	soit un cercle.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Dan	s un repère 	orthonormé 	(0 ; 	x; y; z), l'équation 	du cône 	de 	révolution 	de rayon 	1, centré 	en 0 est: 	x' + 	y' = 	z'tan(J	/2) 	Pour 	obtenir 	un cône 	dont 	le centre 	du 	cercle 	de base a pour 	coordonnées 	(Xo; 	y0 ) et un rayon 	R
, l'équation 	cartésienne 	du cône 	devient	: 	(x' -Xo1
) + (y' -Y0 1
) =  z'R '	tan(J	/2) 	Outre 	le cône 	lui-même	, nou	s 	rencontron	s également 	souvent 	des 	« tronc	s de cône 	» : cette 	forme 	géométrique 	est un cône 	au sens 	usuel 	du terme 	qui a été« 	étêté».
                                                            
                                                                                
                                                                    	Il s'ag	it de 	deux 	cercles 	de rayons différent	s R, et 	R2 .
                                                            
                                                                                
                                                                    La droite 	qui relie 	les centres 	01 e
t 	02 des 	cercles 	est perpendiculair	e aux 	rayons.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La distance 	séparant 	01 d e 02 	est H .
                                                            
                                                                                
                                                                    En conséquence, 	si l'on 	prolongeait 	la surface 	L qui joint 	ces 	deux 	cercles, 	on obtiendrait 	un cône 	de 	sommetS 	et de hauteur 	H+h.
                                                            
                                                                                
                                                                    	C'est 	cette 	constatation 	qui va nous 	permettre 	de calculer 	le volume 	et l'aire 	du tronc 	du cône 	en imaginant 	deux 	cônes 	imbriqué	s l'un dans l'autre	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Le 	volume 	du tronc 	de cône 	est don	c égal 	au volume 	du grand 	cône 	Cl moin	s 	celui 	du petit 	cône 	C2.
                                                            
                                                                                
                                                                    On a donc 	V= 	VI -V2 = rr(R ,'(H+h	)-R,'h)/ 3 	= rrR11H + rrR
,'h -	rrR21h
/3 	= rr(R ,'H+h	(R,'-	R,'))/3 	On peut 	par 	ailleurs 	calculer 	l'aire 	totale 	du tronc 	de cône 	en additionnant 	
L 'éclipse 	de 	lune 	
Te	rre 	
l'aire de la surface 	latérale 	et les aires 	des deux bases.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'aire 	de la surface 	latérale 	s'obtie	nt de la même 	façon 	que 	le volume 	du tron	c de cône 	: on calcule 	les aires 	de la surface 	latérale 	du petit 	cône et du grand 	cône à l'aide 	d e la 	formule 	générale de l'aire 	de la surface 	latérale 	d 'un cône	, puis 	on calcule leur 	différence	.
                                                            
                                                                                
                                                                    On obtient 	alors	: 
A , 	=A1-A2 	= rr(R1v( R,' 	+  (H+h	))-R2v(R,' + h1
) 	
Les aires 	des cercles 	de base sont 	respeL 	...
                                                            
                                                                                
                                                                    ement 	A s1 = rrR,' et A s2 = rrR,' 	L'aire 	totale 	du cône 	A , qui 	repré	senter	ait la quantit	é de papi	er 	néces	saire pour 	recouvrir 	le tronc 	de 	cône 	est donc 	: 
A=  AL	+As1+As2 = rr((R,v( R,'	+(H+h)	')	R21v
(R,' +  h1
) + R ,' + R,' ) 	Cette 	expression 	lourde 	n'est presque 	jamai	s employée 	en pratique	, puisque 	l'on additionne 	les aires 	des 	cercles 	de 	base, que 	l'on a calculées 	au préalable 	avec 	l'aire 	de la surface 	latérale	, 	calculée 	à l'aide 	de la formule 	que 	nous 	avons 	donnée	.
                                                            
                                                                                
                                                                     La 	définition 	élargie 	d 'un cône 	possède 	également 	de 	nombreuse	s applications 	dans 	des 	domaines 	scientifique	s très différents 	tel que 	l'astronomie 	ou la physique 	quantique.
                                                            
                                                                        
                                                                    
L'ANG	LE SOLIDE 	En astronomie	, on peut 	prédire 	les 	éclipses 	en observant 	le mou	vement 	des plan	ètes par 	rapport 	au soleil.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Prenons 	l 'exemple 	d 'une 	éclipse 	de 	
Lune	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ce phénomène 	spectacu	laire 	se 	produit 	lorsque 	le Soleil	, la Terr	e et la 	Lune 	sont a li g n	és dans 	cet ordre	.
                                                            
                                                                                
                                                                    La 	Terr	e projette 	alors 	son 	ombre 	sur la 	Lune	, en formant 	une tâche 	sombre	.
                                                            
                                                                                
                                                                     La 	Lune 	est ainsi 	occultée 	plus ou moins 	comp	lètement.
                                                            
                                                                                
                                                                    	On peut 	représenter 	la 	forme 	d e  l'ombr	e de la terre 	dans 	l 'espace 	par 	un cône 	dont 	les 	génératrices 	seraient 	tangentes 	à la 	terre.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Plus 	généra	lement, 	en 	astronomie, 	on utilise beaucoup 	le 	cône.
                                                            
                                                                                
                                                                    	On peut 	par 	exem	ple r eprésen	ter 	des angles 	dans l'espace, 	on parle 	alors 	d 'angle solide.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le but 	d e l'angle 	solide 	est de déterminer 	facilem	ent quelle 	partie 	de l'espace 	peut percevoir 	un 	phénomène	, comme 	une 	éclipse de 	Soleil.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Ainsi	, lorsqu 'on est dans le cône 
........
                                                            
                                                                                
                                                                    	
L u ne 	
d'ombre 	de la Terre	, plus on s'éloigne 	de cette 	dernière	, plus 	il va falloir 	être 	proche 	de l'axe 	Soleil-Lune 	pour 	que 	la 	Terre 	cache 	le Soleil.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'angle 	au sommet 	J du cône 	qui a pour 	sommet 	la Lune 	et 	qui est tangent 	à la Terre 	est alors 	appelé 	angle solide	.
                                                            
                                                                                
                                                                    On le calcule 	la 	plupart 	du temp	s en radian	s.
                                                            
                                                                                
                                                                    Si la Terre 	se situe 	exactement 	dans ce cône 	e t est 	alignée 	avec 	le Soleil, 	alors 	la Lune 	ne 	voit 	plus le Soleil.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Une 	formul	e 	mathématique 	simple 	permet 	de relier 	les radians  aux 	degrés, puisque 	rr 	radian	s repré	sentent 	90°, 	c'est-à-dire 	un angle 	droit.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Dans 	l'espace, 	un 	phénom	è n e 	visible depui	s tout 	l'espace 	sera représenté 	par 	un angle 	solide 	de 	4rr radia ns 	{360°).
                                                            
                                                                                
                                                                    	Si seule la moitié 	de 	l'espace 	peut 	percevoir 	ce phénomène	, 	l'angle solide 	correspondant 	sera d e 2rr 	radians	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
LE C ÔNE DE LUMI	ÈR E 	En physique 	quantique, 	on distingue 	les 	éléments 	qui 	peuv	ent communiquer	, 
c '	est-à-dire 	avoir 	une influence 	l'un sur 	l'autre 	à un m ême instant, de ceux 	qui 	ne peuvent 	pas 	communiquer.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Ce 	phénomène 	est lié au fait qu'il 	faut 	un 	certain 	temps 	pour 	que 	les informations 	émises 	par 	un élément 	parviennent 	à 	un autre	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ainsi, s i 	une 	étoile 	très 	lointain	e meurt	, nous 	ne le saurons 	que 	dans des millier	s d'année	s car c'est 	le 	temps 	qu'il faudra 	pour 	que 	la lumière 	qu'elle a émise 	avant 	de mourir 	ne 	nous parvienne	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ainsi	, lorsqu	'on reçoit 	de la lumière 	émise 	par 	une 	étoile, 	on 	peut savoir 	quel 	était 	son état 	au 	momen	t où elle 	l'a émise, mais nous ne 	pouvon	s rien 	dire 	sur l'état actuel 	de 	l'étoile	, ni mêm	e si elle 	existe 	encore.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Cette 	différence 	d 'interaction 	entre 	des 	événements 	peut 	se repré	senter 	dans 	l'espace-temps 	par 	un cône 	de 	révolution	, droit	, mais prolong	é à 	l'infini.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le sommet 	du cône 	est l'instant 	présent	, tous 	les éléments 	situés 	à 	l'intéri	eur 	du cône 	mais en dessou s du 	somm	et repr	ésen	tent 	le passé et ceux 	situés  à l'intérieur du cône 	et au-dessus 	du sommet 	représentent 	l'avenir.
                                                            
                                                                                
                                                                    	C'est 	ce que l'on appelle 	le genre temps	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Les 	génératric	es du cône représentent 	le 	genre 	lumière	, alors 	que 	l'extérieur 	du 	cône 	r eprésente le genre 	espace, 	qui ne 	peut 	pas communiquer 	avec 	l'instan	t 	présent.
                                                            
                                                                                
                                                                    
DÉFINITIO N 	
paraboles 	et des hyperboles	, qui ont 	pour 	caractéristique 	que 	tous 	les points 	d'une conique 	se situent à égale 	distance 	d'un point	, appelé 	foyer 	et 	d'une 	droite	, appelée 	directrice	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
ELLIPSES, PARABOLES, 	HYPERBOL	ES 	Con	sidé	rons en premier 	lieu 	le cas le 	plus simp	le : le plan 	ne coupe 	le cône 	qu'une 	seule fois.
                                                            
                                                                                
                                                                    La figure 	obtenue 	est 	une ellipse	.
                                                            
                                                                                
                                                                    La particul	arité d 'une 	
ellipse est que 	tous 	les point	s sont 	tels 	que 	la somme 	de leur 	distance 	à deux 	points fixes appelés 	foyer	s est 	constante.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Il est donc 	assez 	facile 	de 	tracer 	une 	ellipse 	sur le sol : il suffit 	de 	planter 	deux piquets 	-les foyers 	-et 	d'y attac	her 	une 	corde	.
                                                            
                                                                                
                                                                    On trace 	alors 	une ellipse 	en tendant 	la corde 	avec 	un 	troisième 	piquet	, que 	l'on déplace 	autour 	des foyer	s, en prenant 	garde 	que 	la corde 	soit 	toujours 	tendue.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La 	ligure 	obtenue 	est un cercle 	aplati 	qui, 
a u 	lieu d'être caractérisé 	pa r 	un unique 	rayon 	fait appel 	à un grand 	axe 	et un 	petit 	axe.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'aire 	de l'ellipse 	varie 	en 	fonction 	de la position 	et l'inclinaison 	du plan qui coupe 	le cône.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'aire 	de l'ellipse s'obtient 	grâce 	à la 	r e lation 	:A= 	rrab.
                                                            
                                                                                
                                                                    Pour 	s'en souvenir	, 	on peut 	faire une 	analogie 	avec 	le 	cercle	, dont 	l'aire 	est rrR1
.
                                                            
                                                                                
                                                                    Nou	s avons 	vu que 	l'ellipse est caractérisée 	par 	son 	grand 	axe 	a et son 	petit 	axe 	b, brisant 	la 	sym étrie du cercle	, caractérisé 	par 	son 	rayon R.
                                                            
                                                                                
                                                                    Mais 	un cercle 	est un cas 	particu	lier de l'ellipse	, car si le grand 	axe 	et le petit 	axe 	ont 	la même 	longueur, 	alors 	l'ellipse 	devient 	un 	cercle.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'aire 	de l'ellipse 	s'obtient 	donc 	en remplaçant 	le rayon R 	multiplié 	par 	lui-m	ême par 	le produit 	du grand 	axe 	et 	du petit 	axe.
                                                            
                                                                                
                                                                    Lorsque 	le plan 	qui coupe 	le c ône est parallèl	e à un plan 	tangent 	au cône, 	on obtient 	une 	parabole	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
Enfin	, s i on coupe 	un cône 	infini 	par 	un 	plan, on peut 	obtenir 	une 	autre 	figure 	que 	l'ellipse 	et la parabole	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ainsi	, si le 	cône 	est infini 	dans la direction 	vertica	le et que 	le plan 	considéré 	est 	incliné 	ou parallèle 	à l'axe 	et coupe 	les 	d eu x 	nappes 	du cône	, alors 	on obtient 	une 	hyperbole 	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
CONCLUSION 	Les cônes et les cylindr	es présentent 	de 	nombreuses 	ressemblan	ces d e par 	leur 	natur	e mathématique.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Néanmoin	s, 	leur	s différences 	et propriétés 	ont 	été 	étudiées 	en détail 	dès 	l'Antiquit	é par 	Apollonius 	de Perga qui a élabor	é la 	théorie 	des 	coniques..
                                                                                                                    »
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- Bézout Étienne, 1730-1783, né à Nemours (Seine-et-Marne), mathématicien français, auteur d'un Cours complet de mathématique (1780) et d'une Théorie générale des équations algébriques (1779).
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