Voltaire, De l'horrible danger de la lecture
Publié le 20/06/2014
Extrait du document
« 1) Etat fonctionne bien uniquement quand la population est tenue à l'écart du savoir, laissée dans l'ignorance. Imprimante instruirait trop = inverse de la pensée du philosophe 2) Doctrine empêche pop de se développer, on préfère la voir pauvre et en difficultés alors que savoir sur les techniques dans les livres d'Occident amélioreraient conditions de vie, notamment dans travail et manière de penser (élévation d'âme, amour du bien public). 3) Principes d'égalité et de justice doivent rester inconnus, tout comme le fantastique et le merveilleux. 4) Chefs d'Etats ne veulent pas que le peuple soit informé de la pensée des philosophe car elle pourrait être dangereuse et mettre en péril leur pouvoir, la puissance qu'ils exercent sur les gens. 5) On ne doit pas enseigner la religion dans son intégralité ni analysée par les philosophes car Dieu est partout donc pas besoin de clergé, moins de gens à la Mecque, détruit les habitudes et forme jugement critique. 6) Autorité préfère priver les populations du savoir de guérison qui impliquerait espérance de vie plus longue que de les autoriser à lire des livres occidentaux. Procédés d'écriture = anti-phrase du titre, ironie + connivence avec le lecteur qui rit presque de la mascarade (V dit le contraire de ce qu'il pense et le pousse à l'extrême), apologue. . »
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Voltaire - De l'horrible danger de la lecture - Sujet d'invention
- Voltaire: De l'horrible danger de la lecture
- DE L'HORRIBLE DANGER DE LA LECTURE - Libelle diffusé par VOLTAIRE en 1765, en réponse à la condamnation du Dictionnaire philosophique
- Voltaire - De l'horrible danger de la lecture - Lecture méthodique
- De l'horrible danger de la lecture (1765) Voltaire