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Voltaire : « Bêtes », publié en 1764, tiré du Dictionnaire philosophique

Publié le 21/09/2018

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Voltaire pense que les chiens ont quasiment tous « les mêmes organes de sentiments » que les humains lorsque ces derniers le « dissèquent vivant », pour nous montrer les « veines mésaraïques », les humains ont aussi ces veines. Voltaire utilise ces mots pour choquer le lecteur et Descartes, pour lui faire prendre conscience qu’il se trompe.

Voltaire utilise un jeu de mot, lorsqu’il dit « Répond moi machiniste », (homme qui pense que les animaux sont des machines), « la nature a elle arrangé tout les ressorts du sentiment dans cet animal », il y a un rapport entre le mot machiniste et le ressort (que l’on peut trouver dans une machine ».

Voltaire défend les animaux, en avançant des arguments qui contrent la thèse de Descartes, de plus il insulte Descartes directement sur sa pauvreté d’esprit, l’analyse de Voltaire apparait comme un dialogue, car il utilise des pronoms personnels, ou des expressions telles que « réponds moi », on dirait que Voltaire propose un débat entre lui et Descartes.

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« expansion, Descartes lui-même. Voltaire pense que les chiens ont quasiment tous « les mêmes organes de sentiments » que les humains lorsque ces derniers le « dissèquent vivant », pour nous montrer les « veines mésaraïques », les humains ont aussi ces veines.

Voltaire utilise ces mots pour choquer le lecteur et Descartes, pour lui faire prendre conscience qu’il se trompe. Voltaire utilise un jeu de mot, lorsqu’il dit « Répond moi machiniste », (homme qui pense que les animaux sont des machines), « la nature a elle arrangé tout les ressorts du sentiment dans cet animal », il y a un rapport entre le mot machiniste et le ressort (que l’on peut trouver dans une machine ». Voltaire défend les animaux, en avançant des arguments qui contrent la thèse de Descartes, de plus il insulte Descartes directement sur sa pauvreté d’esprit, l’analyse de Voltaire apparait comme un dialogue, car il utilise des pronoms personnels, ou des expressions telles que « réponds moi », on dirait que Voltaire propose un débat entre lui et Descartes. Avant et après la Révolution Française, l’animal était considéré comme un être sans conscience, les animaux étaient battus, aujourd’hui, battre un animal est passible de deux ans de prison et de 30 000 00euros d’amende.. »

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