« VIe Nouvelle » - L'Heptaméron - Marguerite de Navarre
Publié le 26/05/2012
Extrait du document
On va procéder à faire une analyse de cet extrait, alors que, tout d’abord, on va le situer contextuellement. On verra qui est l’auteur, à quel période appartient-elle, le thème et quelques caractéristiques de l’extrait et le structure du texte. Ensuite, on analysera les caractéristiques du conte et on étudiera le double portrait réalisé du conte, celui de la femme et celui du borgne, et le portrait du mari trompé. Finalement, on fera une petite conclusion.
On a pu lire un petit extrait du « VIe Nouvelle « de l’œuvre L’Heptaméron. Cette œuvre appartient à Marguerite de Navarre (1492-1549), qui eut une grande influence politique et littéraire grâce à sa grande sagesse, en fait elle était connue comme « la Minerve française «.
«
compréhension du récit.
Elle aime bien un style direct sans aucune complexité.
C’est un
récit nu, discret et dense.
Un exemple de cette caractéristique est: « Il y avait un vieux
valet de chambre de Charles, dernier duc d'Alençon, lequel avait perdu un œil et était
marié avec une femme beaucoup plus jeune que lui.
».
On voit parfaitement la
simplicité avec laquelle décrit.
On trouve aussi que les dialogue ne brillent ni par la vérité ni par le comique, mais par
contre Marguerite va très bien savoir noter les détails concrets.
Vraiment, cette
caractéristique est une conséquence de son style directe.
Elle veut transmettre avec la
plus facilité et clarté possible, alors qu’elle n’utilisera pas presque des techniques
littéraires.
Elle veut être concrète et concise.
Comme a dernier aspect extérieur on remarquera que l’intérêt du récit se trouve surtout
dans la nature même des faits qui se trouvent toujours hors de l’ordre commun, se sont
toujours des situations extraordinaires, dans ce cas une infidélité qu’impliquera
l’abandon de l’homme à la femme.
(«Et, en ce disant, s’en alla et laissa sa femme bien
désolée»).
D’autre côté, on peut remarquer quelques aspects intérieurs, ainsi que la présence d’une
atmosphère évangélique dans tout le conte («Dieu vous veuille amender; car il n’est en
la puissance d'homme du monde de donner ordre en la malice d'une femme, qui du tout
ne la tuera.»), en plus, à la fin de l’histoire il y a une réflexion morale très importante,
comme il arrive dans chaque histoire.
Ensuite, on analysera le double portrait, celui de la femme et celui du borgne, et celui du
mari trompé.
Le portrait de la femme et du borgne est la typique situation d’adultère de cette période
de l’histoire.
C’est une confrontation d’intérêts produite par la différence d’âges où
chaque un cherche son propre bénéfice: D’un côté, l’homme, qui voit qu’il est proche à
la mort veut jouir de ses derniers moments avec une jeune fille.
Cela n’est pas difficile
d’atteindre pour lui (malgré son mauvais visage) parce qu’il a une bonne position social
et de l’argent pour lui combler de prévenances.
D’autre côté on a la jeune fille.
Elle a
trouvé sa source d’argent grâce à sa jeunesse, et en lui promettant d’amour éternel elle
aura cette source longtemps.
Mais, le désir sexuel envahit ses sens, alors qu’elle commet
l’adultère.
Elle n’a aucun problème avec cette situation parce qu’elle n’est pas
amoureuse du vieil, alors qu’avec cette panorama elle se trouve heureuse.
On voit alors
la manque de moral de la jeune fille, contrairement à celle de l’homme, qui l’aimait
avec sincérité..
»
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