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Thème: Dans le cadre du thème « ce que manger veux dire », formes et fonctions du banquet jusqu’au milieu du XXème siècle.

Publié le 01/10/2018

Extrait du document

Le deuxième point commun entre le banquet du moyen âge et un repas festif de maintenant et qu’une fête à pour but de réunir tout le monde comme le dit de nouveau l’essai de Roger Caillois. Un repas festif, que se soit pour un baptême, pour un mariage ou encore pour un anniversaire, le but sera le même réunir tout le monde. On retrouve sa famille et ses amis comme dans l’article de Jacqueline Voisenet où le barbare invite sa famille et ses amis. Ils ont aussi pour but d’être généreux entre famille et amis, lors des fêtes e noël, d’un baptême, d’un anniversaire, de pâques de nouveau, les invités offriront des cadeaux, les familles s’offrent des cadeaux, comme une nouvelle fois, dans l’article de Roger Caillois. Pour pâque, par exemple, les familles se réunissent autour d’un repas pour ensuite s’offrirent de nombreux chocolats.

Donc si ont compare les banquets du moyen âge au repas festifs d’aujourd’hui, les nombre de nourriture et le nombre de boissons alcoolisées sera moins nombreuse cependant elles seront toujours présentent, et le but sera le même : réunir tout le monde.

« Ici le banquet a pour but d’être politique. 1.4 DOCUMENT N°4.Le document 4 est nommé « La fête comme excès » de Roger Caillois, tiré de l’essai « L’homme sacré », de l’édition Gallimard de 1938.

Cet essai est de type argumentatif.

Caillois veut démontrer que les fêtes ont changées mais qu’aujourd’hui les fêtes sont toujours composées de danse, de chant, de nourriture et de boissons. Les fêtes d’avant étaient plus discrètes, cependant toujours avec de la danse, du chant, de la nourriture en grande quantités.

C’est un moment de convivialité ou tous le monde se retrouve pour se défouler. 2.

Résumé. Les fêtes ne sont plus ce qu’elles étaient.

Celles des années 1938 étaient plus discrètes, cependant les bases sont restées les mêmes : les convives dansent, chantent, boivent et mangent jusqu’à ne plus en pouvoir.

C’est un moment convivial où les invités se retrouvent.

C’est aussi un moment où tout le monde peut se défouler.

(55 mots). 3.

Développement personnel. Les banquets d’hier sont maintenant appelés des repas festifs.

Le nombre conséquent de participants n’est plus le même, ainsi que les préparations de grande envergue.

Cependant c’est toujours un repas qui sort de l’ordinaire, qui ne fait pas partie des habitudes de tous les jours.

Qu’est-ce qui a changé d’un banquet du moyen âge à un repas festif de maintenant ? Dans une première partie, je décrirais les modifications qui ont eu lieu.

Dans une deuxième partie, je citerais les points communs entre les banquets du moyen âge et les repas festifs de maintenant. Tout d’abord, je vais commencer par les modifications qui ont eu lieu. Le premier changement est basé sur le nombre de participants.

Maintenant les invités sont de moins en moins nombreux et tourneront autour des cents convives.

Contrairement au banquet du moyen âge dans l’article de Jacqueline Lalouette « Les femmes dans les banquets politiques en France vers 1848 » où les invités sont au nombre de 1500 à 1600 hommes.

De plus maintenant les fêtes ne doivent pas avoir d’impact sur le voisinage, ce qui est une raison de plus pour avoir moins de convives lors d’un repas festif. Le deuxième changement est au niveau de la nourriture.

De nos jours, les repas festifs ne sont pas composés d’autant de viande.

Personnes n’auraient pour idée de servir de l’oie, du bœuf, du veau, du porc comme dans la fête de Gervaise.

C’était pour marquer le niveau social et pour sortir des repas habituels du quotidien.

Les moyens financiers ne sont plus les mêmes, le prix de la viande est élevée et pour un repas festif, une seul sorte de viande suffit. Le troisième et dernier changement concernera les boissons alcoolisées.

Lors d’un repas festif, aujourd’hui, les bouteilles ne sont pas de 3000 comme dans le banquet politique de l’article « Les femmes dans les banquets politiques en France vers 1848 » ou encore comme dans « La fête de Gervaise » où le vin coule à flot.

Aujourd’hui, les invités d’un repas festif rentre chez eux en voiture donc il est impensable de boire pour prendre le volant d’une voiture par la suite.

De plus, des contrôles réguliers se font par les. »

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