Synthèse sur « Le savon » de Francis Ponge

Dans l’appendice 5, Ponge compare le fait d’applaudir au fait de se laver les mains avec du savon. En effet, selon lui, il y a un point commun entre ces deux actes: la notion de partage. Le fait d’applaudir est un acte clair et public qui permet de montrer aux autres notre satisfaction (et par conséquent de la partager avec eux), tandis que le fait de se laver les mains avec du savon nous procure une jubilation intérieure, tout en faisant mousser le savon (on retrouve encore cette notion de partage). Donc, tout comme nos mains ont besoin du savon pour pouvoir se décrasser, nous avons besoin des autres pour pouvoir nous découvrir, décrasser notre identité personnelle. Ce qui lui permet d’affirmer à la dernière page de son œuvre que notre paradis, c’est les autres! Suite à cela, il fait un lien avec le paradis de ce livre et dit la phrase suivante: « Quant au paradis de ce livre, qu’est-ce donc ? Qu’est-ce que cela pouvait être, sinon, lecteur ta lecture (comme elle mord sa queue en ces dernières lignes). «