Selon André Breton, un poème doit être « une débâcle de l'intellect ». Paul Valéry affirme au contraire : « J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité quelque chose de faible, que d'enfanter à la faveur d'une transe et hors de moi-même un chef-d'œuvre d'entre les plus beaux. » Faut-il donc condamner totalement le surréalisme ?
Publié le 07/11/2014
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- Selon André Breton, un poème doit être « une débâcle de l'intellect ». Paul Valéry affirme au contraire : « J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité quelque chose de faible, que d'enfanter à la faveur d'une transe et hors de moi-même un chef-d'oeuvre d'entre les plus beaux. » Faut-il donc condamner totalement le surréalisme ?
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