Rousseau et la sexualité dans Les Confessions

« d'user de la vulgarité.

En revanche lorsqu'il traite de ses rapports à la sexualité, ces termes ont l'air contrôlé et mis à même pour mettre en avant son innocence.

Ainsi,le floue de ses réels pensées sur la sexualité est crée.

Ces confessions ne peuvent être donc totale, une part de déni persiste.

Son innocence et sa victimisation doiventfaire parti de son déni, son refus d'avouer son penchant vicieux et libidineux coulant/intrinsèque de la nature humaine. b)Au centre de sa vie, influence de la sexualité sur son existence Le choix de Thérèse Levasseur n'est pas anodin, il semble rechercher en chaque femme mdme de Warens, et donc a posteriori sa mère.

Puisque mdme de Warensprend la place de sa mère pour rousseau.

(cf II).

De plus, le fait que la plupart de ses idylles furent avec des femmes plus âgées est révélateurs du manque de sa mère.Ainsi sa sexualité qui s'est formée de manière anormale dans son enfance du au manque de sa mère, le dirige durant toute sa vie.

Ces premières expériences letraumatisent ( la première étant homosexuel et pédophile).

Il a donc une vision de la sexualité détachée de l'amour, il voit les femmes comme des sortes d'anges, desêtres pures et gracieux.

Tandis que le plaisir de la chair est présenté comme vil, et bien inférieur au plaisir simple de la présence des femmes.

Il se contente du plaisirde l'être du sexe opposé qui semble signifié pour lui le bonheur, l'ataraxie et ne semble pas avoir besoin du sexe.Etant donné, que Rousseau a subit des traumatisme durant son enfance, on peut supposer (de manière freudienne) qu'il a rejeté ses pulsions sexuelles par refoulement(dégout) et morale (éducation de son père, homme vertueux).

En effet selon freud, il y a 4 forces de résistances psychiques : la moralité, le dégoût, la pudeur et ladouleur)qui doivent limiter la sexualité pour atteindre un stade « normal ».

Or, 3 de ces forces pour Rousseau tiennent une place excessives et annihilent ainsi sasexualité.

Il dit voir « l'union des sexes comme l'acte le plus indifférent ».

Par conséquent, il détourna ses impulsions vers des activités qui le canalise telles que lamusique, la botanique...

La musique pourrait donc indirectement venir de son refoulement sexuel.

Mais n'oublions pas que durant sa jeunesse il eût aussi une baissede ses forces de résistances qui lui firent faire notamment un acte d'exhibition (cf : à Turin).Son traumatisme est révélé notamment par son affectation durant 3semaines après avoir vu la première prostitué à Venise alors qu'il avait déjà 27ans.Donc, sa sexualité lui permet de découvrir de bonne choses comme la musique, la considération méliorative des femmes, pour leur beauté intérieur plutôt que pourleur aspect d'objet de désir… mais le contraint aussi, dans certaines de ses relations, influence son moral.. »