Rien de fécond ne se fait ici-bas sans enthousiasme. Il faut savoir s'oublier, se sacrifier en faveur d'une cause, d'une idée qui nous dépassent. Commentez cette pensée en montrant que si les honpnes n'avaient jamais pensé qu'à eux-mêmes, n'avaient jamais obéi à un idéal désintéressé, le monde n'aurait pas pu se développer.
Publié le 08/03/2012
Extrait du document
Rien de fécond ne se fait ici-bas sans enthousiasme. Il faut savoir s'oublier, se sacrifier en faveur d'une cause, d'une idée qui nous dépassent. Commentez cette pensée en montrant que si les honpnes n'avaient jamais pensé qu'à eux-mêmes, n'avaient jamais obéi à un idéal désintéressé, le monde n'aurait pas pu se développer.
«
c) Enfin, les serviteurs de/ l'idée, ce\lJX qu.i, d.aniS l'ombre, travaillent sans espoir 1 de récompense, mus seulement par l'entho11siaS'IDe qU'i'1s ép:rouvent à l'é.gard des
.
grauds' créateur.s, ont reiJJd'u leur œm;r·e possible.
CoNCLUSION.
- Il faut développ.er en.
nous l'amoua- .
des idées déSIÎntél'essées, au serviœ des causes justes..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. Mes Pensées Montesquieu, Charles de Secondat, baron de. Commentez cette citation.
- En face d'une oeuvre d'art, il importe de se taire comme en présence d'un prince: attendre de savoir s'il faut parler et ce qu'il faut dire, et ne jamais prendre la parole le premier. Faute de quoi, on risquerait fort de n'entendre que sa propre voix. Le Monde comme volonté et représentation (1819) Schopenhauer, Arthur. Commentez cette citation.
- En face d'une oeuvre d'art, il importe de se taire comme en présence d'un prince: attendre de savoir s'il faut parler et ce qu'il faut dire, et ne jamais prendre la parole le premier. Faute de quoi, on risquerait fort de n'entendre que sa propre voix. Le Monde comme volonté et représentation (1819) Schopenhauer, Arthur. Commentez cette citation.
- Discuter cette pensée de Goblot : L’Idée de vérité ne se conçoit que par la vie sociale : sans elle la pensé ne dépasserait Jamais les fins de l’individu. PLAN.
- Commentez cette idée de Robert Mauzi (L'Idée du bonheur dans la littérature et la pensée françaises au XVIIIe siècle, A. Colin, 1960) : «Le bonheur appartient à ceux qui ont inventé un milieu entre la solitude et la socialité, sachant se tenir par rapport au monde à la bonne distance. Il exige surtout qu'on ait résolu le difficile problème de l'unité intérieure et de la liberté, en instituant une vivante dialectique entre le divertissement et la passion. »